Recherche du sous-marin argentin disparu: les news (2)

Maintenant dans la commission d'enquête bicamérale du sous-marin ARA San Juan, nous demandons la présence du ministre Oscar Aguad pour expliquer les retards dans l'embauche d'une entreprise pour la recherche des 44 membres d'équipage.

https://twitter.com/MagdalenaOdarda/status/1001482968068698112

Salut Olivier,

Il y a quelques jours, tu as écrit ceci : " Je ne m'intéresse qu'au sous-marin et à ce qui y a bien pu lui arriver, pour le reste je m'en fous complètement des hauts gradés et des politiciens véreux argentins "

Je ne suis pas persuadé que tu penses vraiment ce que tu affirmes ainsi.

Car aujourd'hui, si on ne connaît pas la cause de la perte du San Juan, on commence à comprendre la cause ou les causes de la cause !

Et pour moi, le sujet est aussi intéressant puisqu'il s'agit d'un parfait exemple de dilution de la responsabilité et d'une partie de poker-menteur à rebondissements probables.

Une des causes de la cause est évidemment claire lorsqu'on relit la traduction d'un article que tu as postée dernièrement.

" Une telle disproportion subsistant dans l'armée en 2018, a augmenté dans la Marine, avec 34 officiers amiraux et 429 capitaines de navire, ce nombre est le plus haut de son histoire, pour un effectif total de 18.322 hommes, alors qu'en 1983 elle avait 27 officiers amiraux et 212 capitaines de navire, pour un total de 40.059 hommes.

L'Armée de l'Air, avec 43 officiers brigadiers , a également le plus grand nombre de ces grades dans son histoire, bien que le nombre de 474 commodore en 2018 soit inférieur aux 525 qu'il a atteint en 2015, pour 12.808 effectifs. Cependant, en 1983 il avait, respectivement, 39 et 211, quand il avait 21.903 effectifs.

La comparaison avec des forces armées efficaces montre que dans celles-ci, la relation entre le nombre d'officiers de chaque degré est celle d'une pyramide, avec un sommet dans les principales classes et un nombre croissant à mesure qu'il descend.

En Argentine, une telle relation n'existe pas, étant fréquent que le personnel d'un degré est plus grand que celui du degré inférieur. Une telle disproportion dans des hauts degrés, en plus d'avoir un impact sur les frais en personnel, élève la moyenne d'âge et augmente le coût de la passivité militaire. "

J'ai fait le calcul !
nombre de hauts gradé : 34 + 429 = 463
effectif hors hauts gradés : 18.322 - 463 = 17.859
Si on divise 17.859 par 463, on arrive au chiffre incroyable de 1 haut gradé pour +/- 39 hommes !!!

Faut donc pas s'étonner si cette marine part en c..illes (au propre comme au figuré, pouvais pas rater ça !).

Et puis ceci : " étant fréquent que le personnel d'un degré est plus grand que celui du degré inférieur".

Ce qui est valable pour la Marine l'est tout autant pour le reste de l'armée.
Et ce qui est valable pour l'armée semble l’être tout autant pour le pays entier qui appelle le FMI au secours.
Les latinos ont le sang chaud, je me demande s'ils vont supporter encore longtemps le mépris des ganaches du genre d'Aguad et Macri et de la clique qui joue au golf avec eux.

Le suspens continue sur tous les plans.

Allez, bon 1/4

@PAUL a écrit:

Il y a quelques jours, tu as écrit ceci : " Je ne m'intéresse qu'au sous-marin et à ce qui y a bien pu lui arriver, pour le reste je m'en fous complètement des hauts gradés et des politiciens véreux argentins "  

Je ne suis pas persuadé que tu penses vraiment ce que tu affirmes ainsi.

Salut PAUL,

Tu as raison, toute cette histoire tragique m'intéresse au plus haut point et j'espère bien (comme toi et comme beaucoup d'autres je suppose) pouvoir connaitre un jour toute la vérité !? Et quand je dit que je m'en fou des hauts gradés et des politiciens véreux argentins, c'est de leur sort que je voulais parler

Hello

En supposant qu'on le retrouve, reste que les secrets du naufrage restent enfermés dans la coque et qu'il faut
d'autres moyens pour pouvoir y pénétrer et il n'est pas dit que l'équipage ait pu laisser un rapport de ce qui
s'est passé.
J'ai vécu au Mexique 10 ans et en Argentine c'est la même mentalité Latina. En cas de grosse cata , on laisse couler
l'eau sous les ponts . Ici, on fatigue les familles jusqu'à ce qu'elles en ait marre ...
Après quoi , on continue sans rien améliorer , y a pas le fric pour ,

titian a écrit:

En supposant qu'on le retrouve, reste que les secrets du naufrage restent enfermés dans la coque et qu'il faut
d'autres moyens pour pouvoir y pénétrer et il n'est pas dit que l'équipage ait pu laisser un rapport de ce qui
s'est passé...

Salut titian,

Oui, pour savoir ce qu'il s'est passé, il faudra absolument le renflouer, mais là c'est une autre histoire

Enfin, si ils le trouvent ils n'auront pas le choix

Commission bicamérale, parmi les questions abordées aujourd'hui, on a appris que la Commission demandera au ministre de la défense Oscar Aguad de publier par écrit dans les 48 heures sur la raison de la modification du délai pour le recrutement direct d'une entreprise

https://twitter.com/Los44AraSJ/status/1001572443398524929

https://twitter.com/vocesparlasur/status/1001577157372665856

traduction google de l'article :

Citation :

ARA San Juan: Ils ont nommé des spécialistes qui fourniront des conseils techniques (29.05.2018)

Six mois après l'incident et après l'exposition de l'ancien chef de la marine, l'amiral Marcelo Srur, le mardi 15 mai, la commission d'enquête bicamérale sur "la disparition et les opérations de recherche et de sauvetage de l'ARA San Juan" présidée par le sénateur José Ojeda, a établi un calendrier pour les citations futures qui "ordonnent et accélèrent" les temps des témoignages.

En outre, le 1er vice-président de la commission, le député Guillermo Montenegro, a déclaré que des rapports ont été demandés au ministère de la Défense pour savoir dans quelle situation l'embauche de l'entreprise devrait se poursuivre avec la recherche du sous-marin, "ce qui permettra, à travers une expertise, d'établir définitivement ce qu'il est passé ".

À cet égard, le sénateur Esteban Bullrich a rapporté que «les spécifications soumises par les entreprises privées intéressées par la recherche du sous-marin ne répondaient pas aux exigences» et à cet égard, il a ajouté: «J'espère que dans le second tour elles atteindront les exigences demandées. "

Les législateurs ont également déclaré qu'ils demanderaient un rapport à l'actuel chef de la marine intérimaire, le vice-amiral José Luis Villán, à la suite de présomptions selon lesquelles "la marine devait être démantelée". La sénatrice nationale Maria Magdalena Odarda l'a qualifié de "très grave et offensant, principalement pour les parents".

Dans un autre ordre, ils ont désignés les cinq membres du comité de spécialistes qui rempliront des fonctions consultatives dans l'enquête sur les faits. Ils sont: Pedro Leonardo Bassi, Gustavo dimanche Krasser, Alejandro Guillermo Maegli, Marcelo Alberto Covelli et Jorge González.

Sur la version qu'il pourrait exister des conflits d'intérêts entre le juge d'instruction de l'affaire, Martha Yanez, et la Commission Bicamérale, Montenegro a déclaré que « au contraire, en tant que législateurs nous avons l'obligation de travailler sur la responsabilité politique et elle pour découvrir ce qui s'est passé et établir des responsabilités criminelles. " Dans ce contexte, il a dit qu ' « il est important de maintenir un bon dialogue entre les deux parties. »

Le député national Alejandro Grandinetti a déclaré qu'il ira visiter l'ARA Santa Cruz, le navire jumeau du sous-marin disparu, situé en cale sèche, dans le chantier naval Tandanor, afin d'en apprendre davantage sur ses caractéristiques techniques.

Source : parlasur.wordpress.com

Bonjour à tous.

Merci pour toutes vos prises de positions et vos commentaires que je partage tout à fait, dans leur ensemble.
Ils vont tous dans le même sens.
Je souligne ce qu'a dit Titian "ils vont laisser de l'eau sous les ponts".
En fait, c'est ce que pensais quand j'ai dit que la période hivernale qui s'annonce, avec ses grosses tempêtes, allait bien les arranger, car elle leur donnerait du temps pour voir venir.
Cela dit ; c'est vrai que l'on amuse les familles et qu'elles le savent bien...
Cette tactique des autorités est la même pour tous les pays qui ont perdu un soum.
En France, nous n'y avons pas échappé ; par deux fois, même, dans le demi-siècle précédent.
On a enfumé les familles ; mais elles ne se sont pas laissé faire.
La vérité est apparue, longtemps après, pour le premier, tout au moins ; aprés qu'il eut été retrouvé en baie de Saint Tropez.
Pour le second, les grands fonds, au large du cap Sicié n'ont pas (encore) permis qu'on y arrive ; mais ça viendra, j'en suis persuadé.
La ténacité paie ; tout est question de temps.
Amitiés.

Xavier

https://twitter.com/InformActivo/status/1001739042961199104

traduction google de l'article :

Citation :

ARA San Juan: les témoignages continuent à Caleta Olivia et la Commission bicamérale se réunit à nouveau (30.05.2018)

La juge Marta Yañez a interrogé l'ancien chef adjoint de la Marine, le vice-amiral Mascolo, alors que les législateurs du Sénat ont avancés sur diverses questions.

La juge fédérale à Caleta Olivia, Marta Yañez, avec son secrétaire d'avocat, le procureur dans l'affaire et les querelles dirigé par Lorena Arias et Luis Tagliapietra, a pris le témoignage d'hier du vice-amiral Marine et vétéran des Malouines, Miguel Angel Mascolo, qui était chef adjoint de l'état-major général de la marine au moment de la disparition de l'ARA San Juan.

Dans sa déclaration, qui a eu lieu entre 09h30 et 16h le mardi, le militaire a expliqué à la demande de ses interlocuteurs comment la navale organique est structurée. Il a dit alors qu'il était protocolairement la deuxième autorité, par sa fonction à l'intérieur de la hiérarchie de l'institution, il était en pratique assimilé aux Commandant déplacé hiérarchiquement, l'amiral Lopez Mazzeo.

Il a également précisé que les deux ont directement fait un report à l'amiral Marcelo Srur, alors que l'ancien chef de la Marine avait dit que Mazzeo ne rendait pas de comptes.

Alors que Mascolo n'a pas dit limitativement, il n'est pas passé inaperçu, le fait que au moment de la disparition de l'ARA San Juan il était en charge de la Marine, puisque Srur était hors de l'Argentine. Opportunément Srur, dans sa déclaration, a non seulement exprimé son manque de connaissances sur les opérations du navire, mais il a soutenu que quand il a appelé Mascolo pour savoir ce qui était arrivé au sous-marin, son second lui répondu par une autre question: « Quel sous-marin ? "

Affirmant que son statut de l'Infanterie de Marine l'exempte de donner des avis techniques sur l'état du navire, il convient qu'il ne fait aucun doute que si le chef d'état-major aurait eu connaissance de l'état réel du navire, il ne lui aurait pas permis de naviguer.

L'autre point qui a ému l'auditoire a été une description elliptique du peu de marge que le capitaine Pedro Fernandez avait pour contrarier ses supérieurs dans la chaîne de commandement et pour refuser de lever l'ancre. Il a précisé qu'une telle attitude aurait eu de graves conséquences pour la poursuite de sa carrière professionnelle.

Máscolo a également été véhément quand il a s'agit de mettre en évidence les valeurs fondamentales de la Marine, l'esprit de corps, la loyauté, l'honneur et les autres. Dans ce contexte, il a considéré déshonorante l'attitude de certains amiraux de demander leur mise à la retraite comme un signe de répudiation de la décision de Srur de mettre en cause Mazzeo. Selon lui, il aurait mérité une sanction disciplinaire sévère.

Infobae a eu accès à une partie de la déclaration spontanée faite il y a quelques jours par le contre-amiral Lopez Mazzeo. Le texte a été écrit parce que les concepts répandus par Srur dans son témoignage avaient été pris publiquement, et après avoir été nommé à plusieurs reprises, il a jugé approprié d'absoudre sa position.

Dans sa présentation, Lopez Mazzeo a exprimé sa surprise face aux déclarations de son ex-patron concernant son manque de connaissance de l'opération du San Juan. Selon sa déclaration, le 18 Octobre à 11h dans la salle de situation située au 12ème étage de l'immeuble Libertad, il a exposé devant la totalité du Conseil des Amiraux les plans d'opération de la flotte de mer pour la deuxième moitié de l'année 2017, parmi lesquels  se trouvait en détail l'activité prévue pour l'ARA San Juan.

Parallèlement à l'activité judiciaire à Caleta Olivia, la Commission parlementaire s'est réunie pour déterminer certaines questions en suspens de résolution. Devant un petit groupe de parents, ils ont considéré comme une possibilité de re-citer le ministre Oscar Aguad en vertu des retards pour l'embauche d'une entreprise privée pour reprendre la recherche du sous-marin avec des moyens plus efficaces que ceux de la Marine.

À cet égard, le sénateur Esteban Bullrich a dit que le problème avec l'adjudication réside dans le manquement, de la part des différents soumissionnaires, de certaines exigences requises dans les conditions de l'appel d'offres et donc qu'ils avaient décidé de donner plus de temps afin que les soumissionnaires puissent les compléter et éviter d'avoir à déclarer l'engagement désert. Au ministère de la Défense, ils affirment qu'entre cette semaine et le début de la prochaine, le dossier d'engagement de l'entreprise sera résolu.

De la même manière, on a procédé à la ratification des conseillers qui collaboreront techniquement avec les législateurs, sans distinction de parti politique. Ont été désignés quatre amiraux et un employé de la Marine Marchande, à la marge de la collaboration que d'autres professionnels de la mer donneront sur la tâche aux députés et aux sénateurs.

Les nommés sont sont les amiraux Pedro Bassi, Gustavo Krasser, Alejandro Maegli et Jorge Gonzalez et le capitaine de l'Outre-mer Marcelo Covelli, expert en recherche et sauvetage maritime.

Il convient de rappeler que pour cette fois l'ultimatum que la bicamérale a donné à la juge Yañez pour qu'elle leur remette une copie complète du dossier judiciaire a expiré, ce que le magistrat ne juge pas pertinent car il suppose un asservissement de l'indépendance des pouvoirs. La commission a informé Yañez que le non-respect de la demande procéderait à la plainte correspondante auprès du Conseil de la magistrature.

Source : infobae.com

Un très bon article de zona-militar.com (que j'avais loupé !) qui recadre les journalistes et les réseaux sociaux dans cette affaire...

https://twitter.com/Zmilitar/status/998588361278414849

traduction google de l'article :

Citation :

L'affaire ARA San Juan: 6 mois, 44 morts et aucune réponse (21.05.2018)

Plus de 6 mois se sont écoulés depuis cette date fatidique du 15 novembre 2017, date à laquelle une communication de l'ARA San Juan a été reçue pour la dernière fois. Au cours de ces mois nous avons été spectateurs d'une fluctuation d'informations liées à l'affaire. De communications officielles erronées, à un traitement journalistique plus intéressé à générer des scoops et des controverses que dans la construction de la vérité sur la tragédie.

Nous avons vu comment les réseaux sociaux ont été utiles pour faire connaître les différents événements dans la recherche du sous-marin et de l'équipage et en même temps complètement destructeurs pour être un canal de transmission de contenu malveillant, improbable ou délirant. Derrière chaque mot, chaque article et chaque nouvelle donnée sur les procédures de recherche, la société s'est nourrie de concepts qui, pendant des années, n'avaient pas été mis à l'ordre du jour et formaient une opinion.

La Défense nationale était soudainement sur toutes les lèvres. Il n'y avait aucun domaine où l'on ne pouvait entendre parler de la doctrine de l'emploi d'un sous-marin, quelles sont ses missions, parce qu'ils ne peuvent pas être détectés, parce que l'Argentine avait des sous-marins. Ils ont également été surpris que l'Argentine dispose de systèmes d'armes de cette ampleur et qu'ils soient même en activité à ce moment-là. Il y avait aussi ceux qui, dans une rage d'anxiété, se retrouvaient avec la possibilité d'être lus ou entendus et, parce qu'ils ne pouvaient cacher leur ignorance sur les questions de Défense, finissaient par méditer plus sur leur ego journalistique que sur la vérité informative.

Le temps a passé et tandis que l'opinion publique posait son attention sur les 44 perdus en mer, les fonctionnaires couraient dans les couloirs des ministères en s'efforçant plus à chercher des politiciens responsables qu'à mobiliser leurs arguments et leurs mains pour signer les actes administratifs qui servent à améliorer la recherche du sous-marin.

Entretemps l'affaire a été dans la bouche de tous les discours et les projets de politique publique pour la défense ont été testés pour montrer de l'activité et du sens transformateur.

Mais passé le temps, la Défense s'est de nouveau trouvée avec ses vieilles coutumes. L'opinion a été dégonflée, l'intérêt de connaître l'effort de recherche a migré vers d'autres questions (peut-être non pertinentes). Encore une fois, la Défense nationale était en proie au désintérêt.

Les journalistes ont cessé d'écrire sur l'affaire. Les politiciens ont cessé de répéter des responsabilités et des politiques publiques tirées par les cheveux. Et la société, autrefois spécialiste des sous-marins, a fini par oublier ça.

Ils ont passé 6 mois: une période qui établit légalement que l'équipage d'un navire en haute mer qui n'est pas réapparu doit être considéré comme décédé.

Officiellement, il n'y a eu aucun geste pour réfléchir à la livraison de ces 44 héros. Il n'y a pas eu non plus de réponses pour déterminer ce qui leur est arrivé le 15 novembre. Il n'y a pas eu non plus effort pour renforcer sa recherche.

Dans cette mer d'incertitudes, les familles sont encore détruites par l'irresponsabilité étatique qui veulent savoir parce que le sort de leurs enfants, de leurs parents et de leurs maris s'est terminé au fond de l'océan.

Après 6 mois, 44 morts et quelques réponses, il y a des gens qui se demandent encore ce qui s'est passé avec l'ARA San Juan ?

Source : zona-militar.com

Bonjour Olivier

Voilà qui résume assez bien, à mon avis, ce qui s'est passé depuis 6 mois.
Amitiés.

Xavier

Salut à tous,

Dans l’article Wikipedia qui décrit l'état des forces armée argentines, ce paragraphe édifiant !

" En 2012, sa marine et son aviation sont peu opérationnelles suite à des manques de ressources pour la formation et la maintenance. En effet, après la période de la dictature de la junte militaire, l'Argentine lance une politique de démilitarisation dans les années 1990. En 2017, son budget militaire est ainsi le plus faible de toute l'Amérique latine. Le politologue Rosendo Fraga explique : « L'Argentine consacre 0,9 % de son PIB à la défense. Sur ce 0,9 %, 85 % vont aux salaires et aux retraites, 12 % aux coûts de fonctionnement (essence, nourriture) et seulement 3 % pour le rééquipement. Le résultat est que 90 % de l'équipement de l'armée a été acquis il y a plus de trente ou cinquante ans et que nous avons un taux d'accidents supérieur à la normale », comme l'illustre la disparition d'un sous-marin argentin en novembre 20172."


Par ailleurs, ce lien (s'il fonctionne, car avec moi c'est pas gagné !) qui résume clairement la situation actuelle en Argentine et en particulier la pression du politique sur la presse et la Justice.

http://bolivarinfos.over-blog.com/2018/01/argentine-le-mecontentement-grandit-a-l-egard-du-gouvernement.html

Mais il y a aussi ceci !

3Les coups d'État militaires firent tomber les gouvernements démocratiques en 1930, 1943, 1955, 1962, 1966 et 1976. La dictature instaurée en 1976 sous le nom de processus de réorganisation se maintint jusqu'en 1983.3

Je serais curieux de connaître l'état d'esprit actuel au sein des forces armée, elles doivent ressentir une fameuse humiliation depuis pas mal de temps.

Dans ces conditions, même si j'espère évidemment le contraire, je me demande si Titian n'a pas raison.
Pour les "politiques", le San Juan n'a plus beaucoup d'importance, de même pour la plupart des "couillus" surnuméraires auxquels ils ont accordé des faveurs "intéressées".

Alerte Info !

Ce serait finalement la société espagnole IGEOTEST GEOSCIENCES S.L. qui est l'entreprise pré-choisie pour continuer la recherche du sous-marin ARA San Juan !!!

https://twitter.com/DaniMColu/status/1002403953164906496

Je vous tiens au courant de la suite...

Le vénézuélien est bon joueur, il souhaite bonne chance pour la recherche du sous-marin à l'entreprise espagnole qui a remporté l'appel d'offre

https://twitter.com/hmarinos/status/1002423029161447429

Traduction google du choix de l'entreprise :

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Conformément aux dispositions de la loi d'ouverture et à l'évaluation du tableau comparatif des prix qui régit la réglementation en vigueur, les offres des entreprises ont été analysées:



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Les évaluateurs désignés se réunissent afin d'examiner les propositions reçues pour le présent contrat et, comme indiqué ci-dessus, ont conseillé d'attribuer en faveur de:

Offres recommandées



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Offres évaluées

Il n'y a pas d'offres avec un ordre de mérite supérieur à 1.



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Offres rejetées

Les 8 autres offres.



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Observations:

CONCLUSIONS FINALES

À partir de l'analyse des offres présentées, cette commission d'évaluation prépare le rapport d'évaluation suivant:
Il est recommandé d'échouer la ligne 1 pour ne pas s'opposer aux offres recevables ou pratiques.
Il est recommandé l'ajout de Renlon n ° 2 en faveur de la société IGEOTEST GEOSCIENCES, S.L. (ESB17511940)
en s'adaptant techniquement à ce qui est requis, en se conformant à la documentation prévue dans les documents d'appel
Conditions particulières et, son prix est pratique.
Il est enregistré que l'analyse des offres a été faite, en raison de la spécificité requise par le processus, par une commission
technique nommée par le chef d'état-major des forces armées NO-2018-21545697-APN-DGMN # MD.
Ces évaluations ont été chargées dans le système Compr. AR. par le personnel spécialisé, selon les conclusions de la loi
technique. Rattaché au procès-verbal technique du dossier électronique et aux impressions de Captures d'écran signées par
les membres de la commission technique correspondante.
De même, il est recommandé qu'au moment de l'adjudication, le statut de l'offrant dans le le système est "inscrit"



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Imputation:

Les dépenses exigées par le présent contrat seront imputées à la ligne budgétaire pour l'année correspondante

Approbation



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Source : comprar.gob.ar