Recherche du sous-marin argentin disparu: les news (3)

Je ne sais pas pourquoi mais je continue à être persuadé que le sous-marin est entier sur le fond, là quelque part, pas très loin de où ils cherchent !?


Tout comme moi, et ça, depuis longtemps.

Comme tu le sais, je n'ai jamais gobé à 100/100 les conclusions du CBTO arrivées 1 semaine après l'événement et après retravail de leurs bases de données.
Idem quant à une explosion équivalente à 5700 kg de TNT qui aurait "éparpillé" le San Juan.
Etc...

C'est pour ces raison et d'autres bien sûr que tout ce qui se rapporte à ces appels du sous-marin qui auraient té enregistré APRES la soi-disant explosion m'intéressent.

Pour ma part, je souhaiterais que OI aille jeter un coup d'oeil à l'W et au NW .

On verra bien !

https://twitter.com/clarincom/status/1047250398258421765

traduction google de l'article :

Citation :

La marine prévient : "Si ils ne trouvent pas l'ARA San Juan en 60 jours, ce sera difficile de le trouver" (2.10.2018)

Le chef de la marine, le vice-amiral José Luis Villán, a affirmé mardi que "si il n’avait pas été retrouvé dans les 60 jours, ce sera difficile de le trouver" pour le sous-marin ARA San Juan, porté disparu en novembre dernier avec 44 membres d'équipage à son bord.

Villán a déclaré cela lors de son passage devant la Commission Bicamérale du Sénat qui enquête sur ce qui s'est passé avec le submersible, dont le dernier signe a été enregistré le 15 novembre dernier, dans les eaux de l'Atlantique Sud.

Le chef de la marine a également déclaré qu '"il est fondamental" que la recherche du navire entraîne "une fermeture pour les familles" de l'équipage, même s'il a déclaré que cela maintenait des "espoirs".

"J'ai la foi, l'espoir que nous allons le trouver, ce qui est utilisé à présent est la plus grande technologie au monde, Ocean Infinity ne percevra que si elle le trouve." Je suis profondément convaincu qu'ils ont la technologie pour le retrouver et je pense qu'ils vont le trouver", a répété Villán devant les sénateurs, les députés et les parents des membres de l'équipage.

Dans son exposé de trois heures devant les sénateurs, M. Villán était convaincu que l'ARA San Juan pourrait être localisé avant la fin de la période opérationnelle de 60 jours établie par la société américaine, qui a commencé ses travaux le 7 septembre, date de son départ de Comodoro Rivadavia.

Le marin a aussi confirmé qu'on ferait une enquête sur la dénonciation d'un sous-officier qui a dit avoir reçu des pressions pour modifier un livre de garde dans lequel figuraient trois communications présumées attribuées au sous-marin avant son dernier contact.

Le sous-officier de marine, Rubén Espínola, a rapporté qu’un supérieur de la base navale de Mar del Plata avait fait pression sur lui pour qu’il efface trois tentatives de communication, mais son témoignage fait toujours l’objet d’une enquête dans le cadre de l’affaire judiciaire introduite par la juge de Caleta Olivia, Marta Yáñez.

"Nous allons évidemment enquêter sur ce qui s'est passé, la question de la présence de ces communications présumées est en cours d'examen", a répondu Villán aux parents des victimes qui ont participé à la réunion.

Source : clarin.com

Le SEABED CONSTRUCTOR a appareillé de Comodoro Rivadavia hier à 23h50 :

https://twitter.com/LydiaCocha1/status/1047310965845479425

Le SEABED CONSTRUCTOR est reparti vers la zone de recherche précédente :

traduction des tweet 1 & 2 :

Citation :

#ARASanJuan

avant de retourner au port, le Seabed Constructor travaillait dans la zone 5, sur la position Lat 45°45,5'S, Long 060°29,2'W où les AUVs n° 6 et 7 ont été submergés pour la dernière fois le dimanche dans le secteur et puis récupérés quelque heures avant son départ.

Citation :

#ARASanJuan

● L'opération de recherche scientifique de Ocean Infinity, a déjà 25 jours de travail intense. Au cours desquels l'unité a couvert une superficie d'environ 8 344 km ² et a parcouru environ 3 200 milles nautiques
● la deuxième image montre tout le suivi du Seabed Constructor

https://twitter.com/MiriamCusta/status/1047263439775850497

https://twitter.com/infobae/status/1047314540944343042

traduction google de l'article :

Citation :

"Si avec cette technologie, nous ne trouvons pas l'ARA San Juan, il sera très difficile de le faire à l'avenir", a déclaré le chef de la marine (2.10.2018)

"Si avec cette technologie, nous ne trouvons pas l'ARA San Juan, alors il sera très difficile de le faire à l'avenir", a déclaré le chef de la marine.

Le vice-amiral José Luis Villán a déclaré devant la Commission bicamérale qu'il enquêtait sur la tragédie

Lors d'une nouvelle session de la Commission bicamérale qui fait des recherches sur la tragédie de l'ARA San Juan, le vice-amiral José Luis Villán, récemment confirmé au poste de chef de l'état-major général de la marine, a répondu ce mardi à un questionnaire difficile qui a débuté après 11 heures du matin au cinquième étage de l'annexe du Sénat de la Nation et qui a duré pendant presque trois heures.

Les sénateurs et les députés ont demandé au chef de la marine de répondre à des questions qui incluent les décisions prises par la marine avant qu'elle ne soit mise entre ses mains. Il convient de rappeler que Villán ne faisait pas partie de la structure organique de la marine au moment de la disparition du San Juan, ni pendant la mise en œuvre du programme international de recherche et de sauvetage. À cette époque, le marin était le chef adjoint de l'état-major des forces armées qui relevait du lieutenant-général Barí del Valle Sosa, qui était toujours à la tête de l'agence militaire commune.

En précisant que sa responsabilité fonctionnelle a commencé en décembre 2017, l'intimé a évoqué plusieurs points : à qui incombait la responsabilité de mettre fin à l'opération de recherche et de sauvetage, pourquoi il n'existait pas de technologie similaire à celle actuellement utilisée par la société Ocean Infinity et quelle est la situation actuelle des officiers poursuivis par l'amiral Srur.

Dans ce contexte, les députés Carmona, Garré et le vice-président de la Commission, Guillermo Montenegro, ont souligné les irrégularités de procédure présumées concernant la procédure sommaire engagée par Srur contre le contre-amiral Lopez Mazzeo, toujours suspendu, et le capitaine Claudio Villamide, accusé de "mettre en danger la vie des troupes et une attitude imprudente", entre autres accusations.

Villán a expliqué que les résumés promus dans les délais impartis avaient été déclarés nuls et non avenus par le vérificateur général des forces armées et qu'un nouveau résumé était en cours, ce qui signifie que les personnes nommées resteraient suspendues à titre préventif. Le capitaine de la marine, le capitaine Gustavo Piscicelli, qui aura la chance d'appliquer le résumé ordonné par Srur, sera bientôt confronté à la commission chargée d'enquêter sur de prétendues violations administratives lors de la mise en œuvre du droit à la défense des officiers déplacés.

Dans un autre ordre, la Commission a également interrogé Villán sur les déclarations faites récemment à Caleta Olivia par le premier-maître Rubén Espínola. Le spécialiste des communications navales aurait alors assuré que dans l'après-midi du 15 novembre 2017, il avait entendu trois tentatives de communication de la part du San Juan et que ses supérieurs avaient fait pression sur lui pour que cette situation soit dissimulée. Villán a déclaré que, puisqu'il est responsable de la force, l'ordre est de tout mettre en lumière. Et que rien ne restera sans enquête.

Un autre aspect d’intérêt particulier pour les législateurs concerne un document confidentiel qui a acquis un statut public et qui semble indiquer que l’ancien chef de la marine, Marcelo Srur, a rejeté une aide spéciale offerte par la marine britannique et qui consistait à envoyer un véhicule sous-marin autonome (AUV) similaire à ceux qui sont utilisés à présent. À ce stade, le chef actuel a confirmé que le document classifié qui a circulé, sans cachet ni signature, est réel et qu’il a été retrouvé au cours de son mandat.

Dans une autre partie de la session, Villán a expliqué: "Pour le moment, nous travaillons avec la meilleure technologie au monde, si avec tout cela nous ne la trouvons pas, il sera alors très difficile de le faire à l'avenir". Par la suite, il a précisé que, d’une manière ou d’une autre, la marine ne mettra jamais fin à la recherche et il a confié qu’avant la fin des 60 jours du processus qui a contracté l’État national avec Ocean Infinity, il y aura des nouvelles.

Parents d'autres personnes disparues, également présents

Étonnamment, la députée Carmona (FPV Mendoza) a donné cours à la demande d'un groupe de parents du bateau de pêche malheureux "El Repunte" qui avait sombré au large des côtes de Rawson en juin 2017. Les "femmes du El Repunte" parrainées par Lorena Arias , ont demandé la médiation du législateur pour soulever une série de préoccupations auprès du chef de la marine, à l'initiative de l'avocate susmentionnée, qui parrainait également les proches de «San Juan». Il s'agissait principalement de lui demander l'accomplissement dans le respect des dispositions prises par le juge fédéral de Rawson, Gustavo Lleral, qui a ordonné à la marine de faire appel à des experts naval sous-marinier pour démêler les causes du naufrage.

Comme vous vous en souvenez peut-être, les soupçons selon lesquels un atelier naval de Mar del Plata aurait mal réparé le navire pèsent sur cette tragédie marine et le juge, à la demande des familles, a enlevé une partie de la recherche à la Préfecture Navale, la plaçant à la tête de la marine.

Au milieu d'un climat cordial, Villán a expliqué à ces familles qu'ils attendaient l'achèvement des réparations du navire scientifique ARA Austral, qui est le seul capable de se conformer à l'ordonnance du tribunal avec des robots sous-marins et des plongeurs spécialisés.

Enfin, la Commission a réaffirmé son intention de citer prochainement le ministre de la Défense, Oscar Aguad, et il n’est pas exclu de faire de même avec l’ancien chef de la Marine, Marcelo Srur.

Source : clarin.com

Pour se rendre compte de la distance jusqu'à la zone de recherche :

traduction du tweet :

Citation :

Ma mise à jour de suivi du matin. Le Seabed Constructor est parti il y a environ 7 heures de Comodeuro Rivadavia et il fait bon temps. Il sera de retour dans la zone de recherche tôt demain.

https://twitter.com/LabratSR/status/1047409949159161856

Aguad s'y met aussi maintenant  

https://twitter.com/todonoticias/status/1047442500229718016

traduction google de l'article :

Citation :

ARA San Juan: Oscar Aguad a déclaré que s'ils ne le trouvaient pas dans 60 jours, "il sera très difficile d'avoir des attentes" (3.10.2018)

La société en charge de la recherche du sous-marin disparu dispose d’une période de recherche minimale de 60 jours.

Le ministre de la Défense, Oscar Aguad, a reconnu que si la société engagée pour la recherche de l'ARA, San Juan ne la trouvait pas dans les 60 jours "il sera très difficile d'avoir des attentes" quant à la recherche du sous-marin disparu. Le sous-marin a perdu le contact le 15 novembre dernier dans la région du golfe de San Jorge, avec 44 membres d'équipage à bord.

Actuellement, l'opération est gérée par la société américaine Ocean Infinity, dont le délai de recherche minimum est de 60 jours. Après cette période, s'il n'y a pas de résultats positifs, il appartiendra à l'entreprise de continuer ou non avec le ratissage. "Il n'y a rien de fermé à propos de l'ARA San Juan, nous avons une volonté infinie mais des ressources limitées", a déclaré le responsable.

Aguad a expliqué que la compagnie ne dépensait pas moins de 80.000 USD par jour de navigation et que la technologie utilisée pour la recherche du sous-marin disparu" était très bonne". "La société possède une technologie impressionnante en matière de balayage du fond, mais dans la zone ratissée, il n'y a toujours aucun résultat, ils font du très bon travail, nous devons avoir des attentes et des espoirs", a déclaré le ministre de la Défense nationale dans une interview à Radio La Red.

Auparavant, le vice-amiral José Luis Villán, chef de la marine argentine, a déclaré lors d'une présentation au Congrès que le sous-marin est recherché avec "la technologie maximale" et a précisé que si le ratissage ne donne pas de résultats, c'est parce qu'on ne peut pas le trouver.

Villán, qui a été mis temporairement à la tête de l'état-major de la marine après le départ de Marcelo Srur, a comparu mardi devant la Commission bicamérale d'enquête sur la disparition et la recherche du sous-marin ARA San Juan.

Le chef de la marine a précisé qu'il y a des sous-marins qui sont trouvés 30 années plus tard et il a rappelé que ce type de navires « est fait pour ne pas être détecté », bien qu'il ait dit qu'il avait « confiance » dans le processus de recherche. « Une fin est essentielle pour les familles qui souffrent », a-t-il déclaré à propos des parents des membres de l'équipage.

Le ministère de la Défense a passé un contrat direct et urgent avec Ocean Infinity, qui a été choisi à la suite de l’intervention du Comité consultatif technique du processus de passation des marchés et d’une commission d’évaluation des contrats de la marine argentine. La compagnie ne percevra ses services que si elle trouve le sous-marin.

Un sous-officier a déclaré qu'il avait subi des pressions pour effacer les communications

Comme TN.com.ar l'a annoncé, le premier-maitre Rubén Dario Espínola a reconnu lundi devant la juge qu'un supérieur de la base navale de Mar del Plata avait fait pression sur lui pour qu'il élimine du livre de garde les trois tentatives de communication qui, selon les critères du marin, venaient de l'ARA San Juan et cela se serait produit après la prétendue explosion.

Espinola a fait ces déclarations devant la juge fédéral de Caleta Olivia, Marta Yáñez, chargée de l'enquête pénale. Il s’agit du superviseur des communications de la base navale de Mar del Plata qui, le 15 novembre de l’année dernière, a entendu, à 14 h 18, trois tentatives différentes de communication, de qualité sonore médiocre, qui, selon lui, avaient été émises par le sous-marin. C'est pourquoi il a décidé de contacter son homologue de Puerto Belgrano, Valeria Noemí Carranza, qui a rejeté les appels de l'ARA San Juan.

Trois jours plus tard, Espinola a demandé à son chef, le Lieutenant de Frégate, Rolando Conci, d'écrire dans le livre de garde les trois tentatives émises près de quatre heures après le moment où l'eau a pénétré dans les batteries et qu'il y a eu un début d'incendie qui est devenu plus tard l'explosion du navire. Si les appels venaient du sous-marin, cela montrerait que le navire a essayé de communiquer après l'anomalie hydroacoustique survenue à 10h31 ce jour-là.

Comme TN.com.ar l'a appris de sources judiciaires, le marin a révélé que le 20 novembre 2017, Conci a fait pression sur lui pour qu'il efface ces tentatives de communication du navire à partir des archives de la station de radio de la base navale. Le marin a ajouté qu'il ne connaissait pas la raison de la demande mais qu'il avait refusé de modifier le livre de garde.

Source : tn.com.ar

https://twitter.com/Los44AraSJ/status/1047514467775537152

traduction google du rapport quotidien :

Citation :

Rapport n°54 sur la recherche de l'ARA San Juan - mercredi 3/10/2018

Rapport de 11h

Navigation

45°48'03"S  64°18'22"W
Course : 095°
Vitesse : 11 nœuds
Climat : temps calme, vent de 12 nœuds, vagues de 2 mètres.

NOUVEAUTÉS

Lors d'une réunion de coordination avec l'équipe technique de la société, ils nous ont informés que nous arriverons au nord-est de la zone-1 vers 2 heures du matin. Le profileur du sous-sol sera abaissé. Il s'agit d'une sonde permettant de vérifier la profondeur exacte, les données dont ils ont besoin pour planifier la la zone de mission n°6, qui consistera à suivre el AVIS du San Juan à partir de la dernière position connue enregistrée par IRIDIUM (société de communication par satellite, à 8h36), en utilisant les 5 AUV's en même temps, couvrant une largeur d’environ 3 500 mètres. Cette mission commencera après la fin du balayage de la zone-5.

Au cours de la matinée, 2 AUV's seront déployés à l'ouest de cette zone, puis la ligne sera créée pour le canyon dans la zone-5, qui est assez étendue. Il reste à conclure l’analyse des zones 3, 4 et 5 et des lignages des Canyons de la zone-4 qui seront effectués à la fin de la zone-5.






Les familles de l'équipage de l'ARA San Juan

Le Seabed Constructor durant le transit jusqu'à la zone de recherche :

https://twitter.com/Bar2015ar/status/1047541685775814656

La recherche dans la zone a recommencé

traduction du tweet :

Citation :

#ARASanJuan 04-10-18

● le Seabed Constructor a mis à jour sa position: il y a 19 minutes
● il est situé dans la zone-5
● Lat/Long 45°39.229'S - 059°58.472'W
● vitesse : 11,9 nœuds
● position 096 ° (E)
● course 088° (E)

https://twitter.com/MiriamCusta/status/1047717884657618944

https://twitter.com/ElChubutense/status/1047854240323031045

traduction google de l'article :

Citation :

Ils ont croisé des icebergs dans la zone de recherche de l'ARA San Juan (4.10.2018)

Les évolutions des routes des icebergs dérivants sont surveillées par le service d'hydrographie de la marine du ministère de la Défense.

Lors de l'inspection des zones de recherche du sous-marin ARA "San Juan", la société Ocean Infinity a signalé la présence d'icebergs.

Le Service hydrographique de la marine (SHN) a annoncé qu'il existait actuellement une situation atypique dans la mer d'Argentine puisque plus de 20 icebergs dérivants ont été enregistrés dans la direction du nord, à une distance d'environ 150 à 200 milles marins de la côte.

De par sa définition scientifique, les icebergs sont d’origine terrestre, ils dépassent 5 mètres de haut (ils peuvent atteindre 70 ou 80 mètres de haut dans les cas les plus extrêmes) et, selon la diagonale la plus longue dans leur surface, certains atteignent une extension allant jusqu’à 30 kilomètres.

Dans le cas de ceux repérés par le navire "Seabed Constructor", il s'agit de petites formations de terre et de glace fragmentées d'un bloc plus important détecté en mai par les analystes des glaces du Département de météorologie du Service hydrographique Naval. À cette époque, le grand floe dérivait vers le nord-est de la mer de Bellingshausen, dans le secteur ouest de la péninsule Antarctique, et était accompagné de plus petits. À partir de ce moment, il a commencé par suivre sa carrière par satellite.

En ce moment, un iceberg dérivant de grandes dimensions se trouvait au Nord-est de la Mer de Bellingshausen dans le secteur Occidental de la Péninsule Antarctique et était accompagné par d'autres de petite taille. Depuis ce moment on a commencé avec le suivi par satellite de sa trajectoire.

Vers le début du mois de juin, ce groupe d'icebergs a traversé le passage de Drake à environ 200 milles marins au sud de la grande île de la Terre de Feu. À la suite de l'érosion, des fragments d'icebergs sont apparus qui ont été transférés par le courant vers les Malouines avec une direction du sud au nord.

Au cours des premiers jours d'août, le SHN a commencé à recevoir des informations selon lesquelles des navires marchands auraient observé de nombreux icebergs de différentes tailles au nord-est des îles Malouines.

Source : elchubutense.com.ar

Bonjour Olivier, bonjour Paul.

Et bien, finalement : je n'ai pas manqué grand-chose, pendant le temps qu'a duré ma coupure d'internet.
Tant mieux ; j'aurais été sacrément frustré, si j'avais "loupé" quelque chose d'important.
Reste que, comme tu le disais, Paul ; je suis vachement intéressé par cette histoire de "faux"...
Pourquoi vouloir, à tout prix, revenir sur ce qui a été écrit sur le livre de bord, si ce n'est pour cacher une "énorme" bavure.
De là, à dire, que la dernière position du soum a été, volontairement, mensongère ; il n'y a qu'un pas.
Personnellement ; j'y crois de plus en plus.
Quand on est engagé dans l'engrenage des mensonges ; on ne sait pas où et comment s'arrête l'histoire.
Alors ; supposons que cette dernière "fausse" position ait été sciemment divulguée ?.
Cela voudrait, donc, dire que le soum ne risque pas d'être découvert, puisque les zones de recherches seraient bien éloignées de l'endroit où ont été entendus les derniers essais de communication.
Par conséquent, l'ARA est, et sera, à l'abri de toute mauvaise surprise, quant à la cause de cette tragédie.
Mais dans ce cas ; quelle serait l'énorme secret que l'on veut nous cacher par tous les moyens.
Mais, peut-être, suis-je en plein délire...
Amitiés.

Xavier

Bonsoir Xavier, tu n'as absolument rien perdu

Ils doivent terminer de scanner la zone-5 et ensuite on va voir où ils vont placer la nouvelle zone-6 ???

Bonsoir Xavier,

Alors, te voilà enfin de retour ? Ben mon ami il était temps, y avait comme un vide.

Mais non, tu n'es pas en plein délire. Même un romancier un peu dingue aurait été incapable d'imaginer tous les méandres et les impasses de cette incroyable histoire. Y a des bateaux, des menteurs, des enquêteurs, des juges, des parents éplorés, des ministres à la noix, un pays à la dérive, des icebergs à présent etc. etc. Et ça dure et ce n'est pas près de s'arrêter !

Comme dit Olivier, vivement la zone 6 !