Recherche du sous-marin argentin disparu: les news (3)

Il y a 220 nautiques entre la position actuelle du Seabed Constructor et la position où ils ont entendu des coups !

https://twitter.com/MalvinasData/status/1061676141239549952

C'est confirmé, ils iront vérifier la zone où ils ont entendu des coups sur la coque  

https://twitter.com/Los44AraSJ/status/1061694425057902592

traduction google du rapport quotidien :

Citation :

Rapport n°142 sur la recherche de l'ARA San Juan - dimanche 11/11/2018

Actualisation

Navigation

45°56'53"S  59°52'50"W
Course : 351°
Vitesse : 0 nœud
Climat : temps calme, vent de 8 nœuds, vagues de 1 mètre.

NOUVEAUTÉS

Ils viennent de confirmer que, lorsque les tâches dans ces zones seront terminées, nous partirons au nord pour vérifier la zone où les bruits pouvant être des impacts sur la coque ont été entendus.

Lorsque nous aurons plus de détails nous vous informerons.




Les familles de l'équipage de l'ARA San Juan

Bonsoir Olivier,

Merci pour l'info, tu as vraiment toujours tout à portée dans ta base de données. Suffit de demander !

Mais 220 nautiques pour le sous-marin qui naviguait entre 7 et 8 knts, ça représente plus de 24 heures de route. Est-ce plausible ?
Si OI considère que oui, alors, du coup si on ne le trouve pas là-bas, c'est une immense surface qui devient plausible.

Bon quart comme d'habitude.

PAUL a écrit:

Si OI considère que oui, alors, du coup si on ne le trouve pas là-bas, c'est une immense surface qui devient plausible.

Salut PAUL,

Je ne pense pas que OI croit un seul instant que le sub soit là-bas, mais pour éviter toute polémique avec les parents, ils vont y aller une journée sur zone avec les 5 AUV avant de repartir, définitivement

Vous imaginez n peu, si le sub était bien-là, le scandale que cela produirait

https://twitter.com/Los44AraSJ/status/1061995295364599809

traduction google du rapport quotidien :

Citation :

Rapport n°144 sur la recherche de l'ARA San Juan - lundi 12/11/2018

Rapport de 11h

Navigation

46°20'05"S  59°58'20"W
Course : 164°
Vitesse : 0 nœud
Climat : temps nuageux, vent de 14 nœuds, vagues de 2 mètres.

NOUVEAUTÉS

À 23h20, l’AUV-5 a été récupéré dans la zone 15A-4 après sa mission. À 2h25, l’AUV-6 a été recupéré dans la même zone 15A-4 après sa mission. À 3h20, l’AUV-1 était déployé dans la zone 15A-2. À l'heure actuelle, 3 AUV fonctionnent dans l'eau normalement dans la zone 15A. Un nouveau secteur a été conçu, le n ° 20, pour éliminer les lacunes (ombres) du Canyon des secteurs 4 sud et 11 nord.

En ce qui concerne l'analyse des informations, il n'y a pas de nouveauté pour le moment ni de nouveau contact de classe C ou supérieur.

À la fin de ces zones, nous nous déplacerons vers le nord pour vérifier la zone où les bruits pouvant être des impacts sur la coque ont été entendus. À notre demande, ils nous ont informés que dès qu'ils l'auraient, ils nous donneraient les coordonnées de cette zone. Nous vous informerons de la suite.




Les familles de l'équipage de l'ARA San Juan

traduction google du tweet :

Citation :

J'ai ajouté la zone où les bruits ont été entendus par l'ARA spiro et prolongé la voie finale.

https://twitter.com/juanmab/status/1061820151744684033

https://twitter.com/MercoPressES/status/1062066383100403712

traduction google de l'article :

Citation :

Un ministre argentin admet que la marine a caché l'offre du minisub britannique de retrouver l'ARA San Juan (12.11.2018)

L'Argentine a rejeté l'an dernier une offre britannique pour un minisub pour la recherche du sous-marin ARA San Juan, a-t-on rapporté dimanche. L'amiral Marcelo Srur, alors chef de la marine, n'a pas transmis la proposition le 5 décembre au ministre de la Défense, Oscar Aguad, qui l'a confirmé.

Dans une interview à la radio, Aguad a confirmé qu '"au début, la Marine avait rejeté toute tentative de participation britannique à la recherche de l'équipage de 44 membres".

Mais ensuite, le gouvernement leur a ordonné "d'accepter toute l'aide, parce que c'était un engagement envers les familles".

A cette époque, "les Britanniques ont demandé un lien à Puerto Belgrano, mais ils n'ont jamais enregistré (au ministère) une offre de cette nature", a poursuivi Aguad.

Toutefois, l'offre est contenue dans le message électronique envoyé par le commandant de l'instruction et du recrutement de la marine, l'amiral Enrique López Mazzeo, à Srur, selon le journal Clarín.

Dans le message, Lopez Mazzeo a expliqué que les Britanniques avaient recommandé l'utilisation d'un véhicule sous-marin doté de capacités de recherche par sonar haute définition, très similaire à celui actuellement déployé par le navire Seabed Constructor battant pavillon norvégien.

Lopez Mazzeo a également indiqué que les forces britanniques pouvaient envoyer un véhicule de ce type directement des îles Falkland à bord du HMS Protector, qui a rejoint les recherches le 8 décembre. C’était une offre de camaraderie entre officiers qui nécessitait l’approbation du gouvernement. Compte tenu du différend concernant les îles Malouines, Lopez Mazzeo a demandé qu’une demande officielle soit adressée aux autorités britanniques à Buenos Aires. Ce message n'a jamais été transmis à Aguad, encore moins à aucun responsable britannique.

Des sources du ministère de la Défense ont confirmé qu'Aguad avait ordonné au chef d'état-major de la marine, l'amiral José Luis Villán, de suivre le message. La transcription originale a été envoyée au juge fédéral de Caleta Olivia Marta Yáñez, responsable de l'enquête sur l'affaire de l'ARA San Juan.

Srur avait ouvert une enquête interne sur Lopez Mazzeo pour avoir dissimulé des informations sur le fonctionnement de chaque navire. Il avait ajouté que s'il avait su comment était l'ARA San Juan, il ne l'aurait jamais autorisé à prendre la mer. Les conseillers juridiques des forces armées ont suggéré que les accusations portées contre López Mazzeo soient abandonnées. Ce conflit interne a entraîné la démission de sept officiers de la marine.

Pendant ce temps, le Seabed Constructor se concentre maintenant sur une zone précédemment désignée par les navires américains et du Royaume-Uni et cela a encore été souligné la semaine dernière par le navire chilien Cabo de Hornos.

Alors que les recherches approchent d'un arrêt d'opérations vendredi prochain, les spécialistes de la marine s'accordent à dire qu'il est possible que l'ARA San Juan aie toujours été là où ils ont déjà passé en revue ... Mais ils ne l'ont pas trouvé.

"Il ne peux pas être beaucoup plus loin", a déclaré le capitaine à la retraite de la marine, Jorge R. Bergallo, dont le fils, Jorge Ignacio, est l'un des 44 membres de l'équipage de l'ARA San Juan.

Bergallo a également rappelé que l'équipement de haute technologie à bord du Seabed Constructor permet de trouver des pièces métalliques de deux pieds de diamètre. D'autres spécialistes ont toutefois souligné qu'un sous-marin est conçu pour passer inaperçu, ce qui pourrait expliquer l'absence de progrès dans la recherche du San Juan.

Les proches des marins portés disparus sont déçus, dévastés et sceptiques quant à la reprise par la compagnie américaine Ocean Infinity, propriétaire du Seabed Constructor, de son travail en février, après s'être arrêté vendredi prochain.

Ocean Infinity recueillera la récompense de 7,5 millions de dollars US uniquement si le San Juan est trouvé. Mais l'État argentin a actuellement des dépenses de 50 000 dollars par jour pour avoir un navire de la marine qui assiste le Seabed Constructor.

Horacio Calderón, un ancien représentant des constructeurs de chantiers navals des sous-marins tr-1700, a osé dire que le San Juan pourrait être situé au plus profond d'une fissure non encore cartographiée, ce qui rend les approches dangereuses pour les mini sous-mins autonomes.

Bergallo a également soutenu la théorie de l'implosion (une explosion vers l'intérieur) qui expliquerait l'absence de toute mesure d'urgence adoptée par l'équipage du San Juan. Il a également noté que la disparition d'un sous-marin n'était pas nouvelle et a rappelé le cas du S467 en 1968 en Provence, en France, avec un équipage de 53 membres. "L'avion qui l'accompagnait a atterri à Toulon, mais le sous-marin n'est jamais réapparu", a-t-il déclaré.

Source : es.mercopress.com

https://twitter.com/misionescuatro/status/1062067699419738114

traduction google de l'article :

Citation :

ARA San Juan: "Nous ne savons toujours pas ce qui s'est passé" (12.11.2018)

Un an après la disparition du sous-marin argentin ARA "San Juan" le 15 novembre 2017 dans les eaux de l'Atlantique Sud, les familles des 44 membres d'équipage sont comme au début, a déploré Luis Tagliapietra, père de l'un d'entre eux, dans une interview à l'agence DPA. L’avocat et le plaignant dans l’affaire qui a enquêté sur la tragédie qui a frappé le gouvernement de Mauricio Macri est l’un des trois parents de l’équipage qui est observateur à bord du navire "Seabed Constructor" de la firme américaine Ocean Infinity, engagé par l’État argentin pour poursuivre les recherches jusqu’ici infructueuses du sous-marin. La voix via Whatsapp de Tagliapietra, père du lieutenant Alejandro Damián Tagliapietra, semble découragée. Il a fallu plus de deux mois de navigation pour trouver 22 signes (points d'intéret) possibles du sous-marin, qui ont ensuite été rejetés après une vérification avec les mini-sous-marins (ROV) et d’autres ressources de la dernière technologie embarquée sur le navire battant pavillon norvégien.

L'incertitude

"J'ai fantasmé sur le fait qu'en moins d'un mois, nous pourrions les trouver", déclare Tagliapietra dans l'interview en haute mer. L'ARA "San Juan" a disparu le 15 novembre 2017, après avoir signalé un incendie dans le secteur des batteries avec l'entrée d'eau de mer alors qu'il partait d'Ushuaia (sud) pour rejoindre sa base, dans le port de Mar del Plata. Dans l'enquête judiciaire, "il n'y a aucune accusation en un coup d'oeil". "Mais pour nous, la responsabilité de plusieurs membres de la marine est claire", déclare le père de l'équipage, qui avertit que la tragédie pourrait être répétée en raison de problèmes de maintenance dans les Forces Armées argentines

Entretien

DPA: Comment la recherche va-t-elle continuer après l'annonce de sa suspension vendredi prochain?

Tagliapietra: Je le savais déjà, nous en avions déjà parlé: conformément aux 60 jours opérationnels minimum, la compagnie avait d'autres obligations: amener le bateau en cale sèche pour obtenir une certification afin de pouvoir continuer à naviguer. L’idée de la compagnie étant de revenir en février, il incombera maintenant au ministre (de la Défense, Oscar Aguad) et à la Marine de renouveler le contrat pour pouvoir reprendre les recherches en février. Il nous faudrait profiter de ces quelques mois pour examiner toutes les informations et établir un nouveau planning, pensant qu’il aurait peut-être été autre chose que l’histoire officielle.

DPA: Comment avez-vous vécu cette année?

Tagliapietra: Je me trompe, je me sens frustré, fatigué, épuisé, abattu, déçu même de moi-même parce qu'un an s'est écoulé et que nous sommes comme le premier jour: nous ne savons pas où ils se trouvent ni ce qui s'est passé. Le cas juridique dans lequel je suis un plaignant est stagnant, des papiers et des témoignages sont rassemblés mais rien n’est fait pour clarifier quoi que ce soit. Le pouvoir exécutif rend tout difficile. Le pouvoir législatif, peu de législateurs doivent les remercier car ils ont beaucoup aidé, mais la décision verrouille absolument tout.

Il y a un an, je me trouvais dans une sorte de limbo, car je ne pouvais presque pas travailler ni faire autre chose. Je travaillais le minimum nécessaire pour vivre et manger car, bien entendu, je n'ai jamais demandé un sou à qui que ce soit, personne ne m'a rien donné. Je me sens seul contre le monde, mais contre les puissances les plus puissantes.

DPA: Comment étaient ces plus de 60 jours de navigation à la recherche du sous-marin?

Tagliapietra: C'était très dur pour le travail, la routine, 24 heures de tout, le stress, les nerfs, tous les sentiments et aussi des responsabilités avec le reste des familles. Je ne l’imaginais pas, j’étais l’architecte pour imposer ces 60 jours minimum d’exécution dans le contrat, j’imaginais que nous pourrions les trouver en moins d’un mois.

DPA: Quelle est votre opinion sur les actions du gouvernement, des forces armées et de la justice? Ont-ils permis d'avancer dans la recherche des causes de la tragédie et dans la recherche du sous-marin?

Tagliapietra: Nous avons vécu des contradictions dans la marine, des mensonges évidents dans les premiers jours. De la part du gouvernement, tout était difficile, ils nous ont beaucoup menti, ils nous ont trompés, en particulier le ministre de la Défense nous a menti en face. Non seulement je l'ai dénoncé pénalement, mais j'ai essayé de collaborer à la demande de mise en accusation.

La justice n'attire pas mon attention. J'avais beaucoup d'espoir au début à cause de la volonté exprimée par la juge (Marta) Yañez, mais elle est partie en vacances à la fin de l'année alors que tout était à son pire, elle n'a pas pris de mesures urgentes telles que les raids qui sont arrivés deux mois plus tard. Il n'y a pas de changement de couverture, il n'y a pas d'accusation en un coup d'œil, même si pour nous la responsabilité de plusieurs membres de la Marine est claire. Elle n'a pas nommé d'experts, elle n'a pas cité d'experts, elle n'a pas demandé d'expertise.

DPA: Y a t-il un responsable de cette tragédie?

Tagliapietra: Il y a plusieurs membres de la marine et du gouvernement. Je suis un procureur dans l'affaire et je ne peux pas donner de noms.

DPA: Une tragédie de ce genre pourrait-elle être répétée?

Tagliapietra: Bien sûr, cela pourrait être répété. On estime que cela aurait pu être évité car l’état de maintenance du sous-marin était très médiocre, de même que celui de la flotte entière de la marine et des aéronefs, ainsi que de l’armée et de l’aviation. Les forces armées ont été démantelées, n’ont pas de budget, aujourd’hui nous n’avons même pas de navires dotés de la technologie nécessaire à la recherche du sous-marin, nous devons faire appel à des entreprises étrangères pour le faire.

Source : misionescuatro.com

https://twitter.com/carlaprensa/status/1062209272069664769

traduction google de l'article :

Citation :

ARA San Juan: Ocean Infinity suivra la zone où il y a eu des coups sur la coque (12.11.2018)

Les proches des 44 membres d'équipage disparus ont demandé que le navire "Seabed Constructor", de la firme américaine qui cherche le sous-marin, ne parte pas sans vérifier cette zone, et cette demande a finalement été acceptée.

La société américaine Ocean Infinity, chargée de la recherche du sous-marin "ARA San Juan", suivra la demande des proches dans une zone de l’océan Atlantique où des coup sur la coque auraient été entendu. "À la fin des zones actuelles, nous nous déplacerons vers le nord pour vérifier la zone où des bruits de coups sur la coques auraient été entendus", ont informé les proches des 44 membres de l'équipage qui se trouvaient à bord du navire.

La société américaine, qui s’est engagée à chercher le sous-marin pendant au moins 60 jours, renouvelable pour 60 jours supplémentaires dans le contrat signé avec le pouvoir exécutif, a annoncé la semaine dernière qu’elle cesserait ses opérations de recherche à partir de ce vendredi, mais livrera dans les prochaines heures les coordonnées de la nouvelle zone qui sera examinée.

Un sous-officier sonariste de la marine argentine a témoigné devant la juge fédérale chargée de l'enquête sur la disparition du sous-marin, Marta Yáñez, que le sonar de deux navires de la force navale avait enregistré des "coups sur la coque" dans une zone différente de celle où était le dernier contact du sous-marin avec la Terre le 15 novembre 2017. Ces sons ont été enregistrés six jours après la dernière communication du navire, selon le témoignage du sous-officier de la Marine.

"La coque a été frappée puissamment avec un objet métallique, cela ne nous a pas semblé être rythmé comme si c'était un moteur ou quelque chose du genre, et aucun animal ne peut produire un tel son", a déclaré le sonariste dans son communiqué, publié en mai. Pour cette raison, les membres des familles de l'équipage ont demandé que le navire "Seabed Constructor", appartenant à la firme américaine, ne parte pas sans avoir d'abord vérifié cette zone, et cela a finalement été accepté.

Les proches des 44 membres de l'équipage, qui ont disparu le 15 novembre il y a un an, demandent actuellement à la justice, aux forces armées et au gouvernement argentin de mettre fin à la "dissimulation" qui, à leur avis, avait entravé l'enquête. "Nous remarquons la dissimulation, ils nous mentent, il y a un état totalement absent", a déclaré à dpa Claudio Rodríguez, frère du machiniste du "San Juan", Hernán Ramón Rodríguez.

Rodriguez, un marin avec 25 ans d’expérience dans la marine et 20 ans d’expérience en tant qu’ingénieur sous-marin, a travaillé pendant 10 ans comme membre d’équipage de l’ARA "San Juan". Son frère demande maintenant que les recherches ne soient pas suspendues cette semaine, comme prévu, mais "qu'elles se poursuivent jusqu'à ce qu'ils le trouvent".

Luis Tagliapietra, père du lieutenant Alejandro Damián Tagliapietra, a également visé la marine et le gouvernement. "La cause juridique dans laquelle je suis un demandeur stagne, des papiers et des témoignages sont rassemblés mais rien n'est fait pour clarifier quoi que ce soit, l'exécutif rend tout difficile", a déclaré Tagliapietra depuis la haute mer, où il participe en tant qu'observateur à la recherche à bord du navire Seabed Constructor battant pavillon norvégien.

Source : perfil.com

Bonjour à vous tous, les amis.

Curoieux cette histoire de proposition d'aide en provenance de la RN ?
Curieux, dans de contexte de la post-guerre ; curieux que cela n'ait pas été signalé.
Concernant la nouvelle zone de recherches ; n'est-ce pas par là que l'on aurait du commencer ?
A suivre...
Cordialement.

Xavier

Xavier MONEL a écrit:

Concernant la nouvelle zone de recherches ; n'est-ce pas par là que l'on aurait du commencer ?

Bonjour Xavier,

Si le sous-marin se trouvait vraiment là où des bruits métalliques auraient été entendu, alors dans ce cas, Aguad, Macri et les amiraux auront intérêt à se barrer d'urgence à l'étranger parce que serait leur fête en pareil cas !!!

Ça voudrait dire qu'à ce moment-là il y avait encore des survivants dans le sous-marin qui frappaient sur la coque dans l'espoir d'être entendu

Bonjour Olivier.

Oui, absolument.
Depuis le début de cette horrible affaire ; je repense, souvent, à ce livre que j'avais lu, dans mon adolescence.
Le titre en était quelque chose comme "Les naufragés de la Sybille".
Ce livre m'avait beaucoup marqué.
Il partait d'un fait avéré : la perte de ce soum.
Naturellement, l'auteur en avait romancé l'histoire.
De mémoire ; après une avarie majeure, le soum avait heurté violemment le fond et y était resté.
Restaient deux survivants, bloqués dans un compartiment étanche.
Toute la teneur, du livre, résidait dans la narration des tentatives qu'ils avaient effectuées, pour s'en sortir.
Ils avaient réussi à retrouver de l'énergie électrique, de l'air comprimé, etc...
Ils avaient pu passer d'un compartiment à l'autre, revenir sur leurs pas, etc...
Je ne me souviens pas exactement comment se passait la fin.
Mais il me semble bien que l'un des deux finissait par mourir et que le dernier était sauvé.
Ils avaient donné des coups de marteaux, sur la coque, et avaient été entendus.
Et, comme le soum était à faible profondeur ; le survivant avait pu être sauvé.
Par contre, je ne me souviens plus, s'il l'avait été par ses propres moyens, ou par une aide extérieure.
Ce que j'en ai retenu, confusément ; c'est que les coups de marteaux avaient constitué l'élément décisif de la survie du "héros".
Prémonitoire ?
Amitiés.

Xavier

https://twitter.com/La990Radio/status/1062344332689063937

traduction google de l'article :

Citation :

Aguad maintient l’espérance de retrouver l'ARA San Juan (13.11.2018)

"Nous continuerons toujours à le chercher", a déclaré le ministre de la Défense. "Les espoirs de le trouver sont intacts", a ajouté le responsable.

Le ministre de la Défense, Oscar Aguad, a assuré qu '"il y avait toujours de l'espoir" de retrouver le sous-marin ARA San Juan et il espérait que les négociations aboutiraient à un résultat satisfaisant afin que la compagnie Ocean Infinity reprenne les recherches en février.

"Il y a toujours de l'espoir de le trouver. Jusqu'à présent, ça a été très difficile, mais les espoirs sont intacts, il existe des histoires de sous-marins qui ont été retrouvés même de nombreuses années après le naufrage", a déclaré Aguad.

"Nous continuerons toujours à chercher", a-t-il ajouté dans une déclaration faite ce matin à Radio La Red. Le ministre a assuré qu'il était "très probable" que les navires qui participent à la recherche soient passés près de l'ARA de San Juan sans pouvoir le détecter.

Source : perfil.com

traduction google du tweet :

Citation :

Ma mise à jour rapide . Le Seabed Constructor de fonds piste se dirige maintenant vers le Nord.

https://twitter.com/LabratSR/status/1062431409548222467

traduction google du tweet :

Citation :

Ocean Infinity a rapporté que, après la récupération des AUV's ils ont commencé le déplacement vers la péninsule de Valdes, il est prévu d'arriver demain approximativement vers 10h.

https://twitter.com/Armada_Arg/status/1062449579566776321