Les Damars

Question : en 1968 à la cantine servaient des cantinières. (Elles étaient des civiles travaillant pour l'armée) Lors de la création de la section "Damar", les cantinières ont-elles été incorporées dans l'armée ?

L O Après la dissolution de la Belaac (Belgian Allied Army Club) 1945-1955

supplantée par la C.M.C. ---   vers le milieu des années 70 les "cantinières" furent remplacées suivant les circonstances (disponibilité du personnel) par des damars mais quelques fois par des "hommards"  .
Salut   

VALKIRI a écrit:

L O Après la dissolution de la Belaac (Belgian Allied Army Club) 1945-1955

supplantée par la C.M.C. ---   vers le milieu des années 70 les "cantinières" furent remplacées suivant les circonstances (disponibilité du personnel) par des damars mais quelques fois par des "hommards"  .
Salut   

Merci Francis

L O Comme toujours diversités dans les tenues     Damars  kep marin ald de la tricorne

Salut  

Égalité entre hommes et femmes à bord



Presqu’un militaire sur dix en Belgique est une femme. Le second maître Hilde Bogaert est l’une d’entre elles. Elle travaille déjà depuis dix ans pour la Composante Marine. Lors d’une opération dans le Golfe de Guinée, elle nous donnait, fin mars, une visite guidée d’un jour dans sa seconde résidence, la frégate Léopold I.  

Le réveil retentit à six heures du matin dans le dortoir du second maître Hilde Bogaert. Elle est technicienne à bord de la frégate belge Léopold I depuis 2012. Elle accompagne, pour le moment, 150 membres d’équipage dans leur lutte contre la piraterie au large de la côte ouest de l’Afrique.  

Sa tâche à bord paraît simple : résoudre et prévenir des problèmes par des contrôles techniques réguliers. Les conditions de travail sont toutefois très contraignantes. « Nous pénétrons dans la salle des machines afin de remplacer une résistance défectueuse », précise-t-elle en enfilant sa tenue de travail verte. « Entre les moteurs, la température monte facilement à 45°C. Nous pouvons y travailler un maximum de 30 minutes. »

Les lourdes tâches ne répugnent toutefois pas Hilde. Selon elle, les hommes et les femmes doivent pouvoir exécuter les mêmes travaux. « Anciennement, je faisais toujours partie de l’équipe », raconte-t-elle. Raison pour laquelle, j’ai choisi un métier masculin. Je savais que soulever un fût de 20 litres d’huile et travailler avec de gros outils seraient dans mes attributions. Je ne rencontre pas le moindre problème avec cet aspect du métier. »  

Une dizaine de femmes travaillent à  bord pendant cette opération. Elles ont leurs propres douches, dortoirs et toilettes. « Vous remarquez que nous sommes acceptées à bord », poursuit Hilde. Les principaux problèmes sont réglés au bout de quarante ans. »

Le Léopold I rejoindra Zeebruges, son port d’attache, le 23 avril. Familles et amis attendront les membres d’équipage sur le quai. L’époux et le beau-fils de Hilde seront également impatients. « Ma famille me manque, c’est évident », conclut-elle. « La première chose que je ferai sera de les embrasser quand je rentrerai. Puis, je ferai tourner une machine à laver avec ma propre lessive comme de coutume. Le parfum fera ensuite que je me sente vraiment à la maison. »

Voir les photos sur ---> www.mil.be/egalite-entre-hommes-et-femmes-bord

Mais je connais sont petit mari ,Miguel De Meulenaere, il est aussi a la Marine.

r1bjl a écrit:

Bonsoir à tous,,

Désolé de répondre si tard à un mssage posté par Streel Lionel, mais je viens seulement de le lire. Je vais corriger un peu les noms, car en 1977 j'ai donné cours pendant environs 10 jours à cette session de candidats sous/offs B3,et j'ai été leur seul instructeur NBCD, et il y avait 05 Damars francophones, à savoir: Martine Bultot, Georgette Berger, Christine Perin, Chantal Olivet et Jacqueline Malréchauffé. J'ai encore une photo du groupe à Rijckevelde, et d'autres photos que les gars ont prises après les exercices. Je vois régulièrement Christine Perin, j'ai revu une fois Georgette Berger, Jacqueline Malréchauffé je l'ai rencontrée plusieurs fois dans des expos lorsuq'elle était à ZSP/IRP à Bruxelles, Chantal Olivet doit habiter à Walcourt, Martine Berger j'ignore ce qu'elle est devenue, je sais qu'elle avait raté ses cours de B3. Seule Jacqueline a fait toute sa carrière à la Marine
Si Lionel tu étais avec elles, tu dois te souvenir de moi,  je vous ai donné la théorie, la pratique sur le terrain et je vous ai fait passer vos examens NBCD. Si tu veux contacte moi par M.P.
bonne soirée.

Chantal Olivet est sur Facebook et habite à Gourdinne, Namur, Belgium
Lien : https://www.facebook.com/chantal.olivet

Hommage au personnel féminin de notre marine pour la Journée internationale de la femme 2017

https://twitter.com/Wim_Robberecht/status/839369022684688384

L O La première MAC (maître d'arme chef)

MPC Jo Calmeyn
Proficiat Que de chemin parcouru depuis 1975.

respect

Aujourd'hui, c'est aussi la journée internationale de la femme. Nous mettons une fois de plus nos collègues féminins à l'honneur où qu'ils puissent se trouver dans le monde.

Nous pouvons être très fiers de nos femmes au sein de la Marine : ce qu'elles représentent et ce qu'elles accomplissent.

Saviez-vous qu'il y en a actuellement 204 qui sont employées dans la Marine ?

Les dames ont toute leur place à la marine

La Défense ouvre ses portes aux dames avec succès depuis 1975. La proportion la plus élevée se trouve chez les officiers, où elles représentent près de douze pour cent de tous les officiers.
L’une de ces dames est une femme atypique. Il s’agit du capitaine de frégate Pascale Van Leeuwen. Le 29 août dernier, elle prenait le commandement du « Mine Countermeasure vessels Operation Sea Training » (MOST), le centre belgo-néerlandais d’entrainement des navires de lutte contre les mines.
Nous lui avons posé quelques questions sur son travail, sa vision et sa vie familiale.
Rédaction : À l'époque, vous avez été la première à devenir « commandante » d'un chasseur de mines.

Rédaction: Vous êtes maintenant la première à la tête du MOST, une fonction appelée HMOST. Quel sentiment cela vous donne-t-il ?

Pascale Van Leeuwen (PVL) : Il faut bien un premier! C’est une évolution saine dans le monde dans lequel nous vivons actuellement.

Rédaction: Quelle est la nécessité du MOST ?

PVL : Grâce à nos deux équipes, nous pouvons préparer les capacités de chasse aux mines des marines belge et néerlandaise à toutes les missions qui leur incomberont, où que ce soit dans le monde. C’est pour moi une grande fierté.

Rédaction : Notre capacité de lutte contre les mines est en train d’être entièrement renouvelée. Quels nouveaux défis cela représente pour MOST ?

PVL : Ce renouvèlement est un grand défi pour mon équipe et pour la direction de la marine. Différents groupes élaborent le nouveau concept car notre gestion opérationnelle et notre formation doivent également être réécrites, sans parler de notre nouvelle conception du travail bord : nous fonctionnerons avec un équipage de base complété par différents modules en fonction de la mission.

Rédaction : L'utilisation de drones devient de plus en plus importante, qu'est-ce que cela signifie ?

PVL : C’est assez nouveau pour nous. Nous utilisons déjà des drones sous-marins tels que le Seafox, mais à l'avenir, nous utiliserons également des drones de surface et des drones survolant la surface de l’eau. Ici aussi, nous devrons former les gens en fonction des besoins, envoyer beaucoup de gens en formation et utiliser les compétences que nous avons déjà acquises.

Rédaction : Combiner vie de maman et vie d’officier de marine, est-ce une combinaison gagnante ?

PVL : Ce n'était pas facile au début de ma carrière. Les jeunes enfants ont régulièrement un rhume et ils contractent des maladies infantiles. Néanmoins, j'ai toujours pu compter sur mes parents et sur un réseau d'amis qui m'ont aidée quand ce n'était vraiment pas possible pour mes parents. En tant que HMOST, je suis également partie, mais maintenant que les enfants ont grandi, ces problèmes se sont résolu d’eux-mêmes.

Rédaction : Quelle est votre vision de l'avenir de la marine ?

PVL : La marine représente un avenir radieux. Dans les dix prochaines années, nous renouvelons notre capacité de lutte contre les mines, notre capacité d’escorte de surface et tous nos drones. C’est un rêve pour les jeunes qui souhaitent travailler avec nous. Je vois déjà l'avenir briller!