Témoinage d'un matelot pont dans notre Marine

Trouvé ceci sur internet.

Je ne sais pas qui c'est,

Alors, a vos bons souvenirs

Citation :

Entretien avec Lucas : Matelot pont dans la Marine belge

Pourquoi avoir choisi de travailler dans la marine ?

J’ai toujours été un amoureux de la mer, et cela depuis tout petit. Cela vient peut-être du fait que j’ai souvent été en vacances à la côte. De même, j’ai fait de la plongée sous-marine très jeune. Je souhaitais faire de ma passion mon métier. Après divers renseignements pris à gauche et à droite, j’ai estimé qu’entrer à l’armée dans la Composante marine était ce qui me convenait le mieux pour toucher mon rêve de plus près. Dès la fin de mes humanités, je me suis donc engagé dans cette voie.

Vous avez intégré directement l’équipage d’un navire ?

Après ma formation de trois mois, j’ai en effet été incorporé au sein d’un équipage sur un dragueur de mines. Je tiens toutefois à préciser que l’on n’est pas tout le temps en mer. On reste parfois de longues périodes à quai.

En quoi consiste le métier de matelot pont ?

C’est un métier multifonctions. On assure l'entretien du bateau, les tâches et les manœuvres données par le personnel de bord, on aide à la manœuvre de ponts (amarrage, guider le pilote), on participe à la vie a bord (cuisine, courses), on fait la vigie, on s’occupe du cordage. Par ailleurs, on aide aussi à la navigation fluviale (signalisation, lectures de cartes), on rédige des notes et mémos de bord à l'embarquement, … A quai, on garde le navire. Certaines de ses tâches peuvent paraître ingrates.

Vous avez navigué sur un dragueur de mines. Pouvez-vous nous parler du travail effectué par vos collègues plongeurs-démineurs ?

Leur mission consiste à éliminer la menace posée par des mines. Pour cela, ils utilisent un sonar qui permet de les détecter et de les localiser. Il faut les rendre inoffensives ou les faire sauter. Lorsqu’ils sont à terre, leurs missions sont différentes : nettoyage de nappes de pétrole, déminages d’obus datant des guerres, recherche des corps, entretien du matériel de plongée, …

Où avez-vous navigué ?

J’ai eu la chance de naviguer sur bon nombre de mers et d’océans. J’ai été en Arabie Saoudite, en Afrique, au Pakistan, dans le Golfe Persique, … C’est un des avantages du métier. D’ailleurs, il n’est pas rare que des contacts se créent entre la population locale et nous. Ainsi, j’entretiens, depuis de longues années, une correspondance avec une personne que j’ai rencontrée lors d’une de mes missions en Afrique.

Quels sont les autres avantages ?

Le salaire. Lors des mois où l’on est en mer, on peut être payé le double !

Quel conseil donneriez-vous à un jeune désireux d’exercer votre métier ?

Il ne suffit pas d’aimer la mer pour s’engager et travailler sur un navire. C’est une vocation. C’est un métier très exigeant à tous points de vue. Il peut arriver que nous soyons partis 8 mois sur l’année. Ce n’est donc pas évident de mener une vie de famille normale.

Etre sur un bateau, c’est vivre 24h/24 avec ses « collègues ». Ce n’est pas comme si après le boulot on rentrait chez soi pour regarder paisiblement la télé ! Quand on navigue, on est en permanence sur son lieu de travail.

Quelles qualités faut-il avoir, selon vous, pour travailler à bord d’un bateau ?

L’autonomie, avoir l’esprit d'équipe et de solidarité et le respect de l'environnement.

Avez-vous une anecdote à raconter ?

En plus de vingt ans de navigation derrière moi, j’ai pu en récolter plusieurs ! Je me rappelle que dans le cadre d’une mission humanitaire au Congo, lorsque notre navire a appareillé, nous avions été accueillis par un groupe musical local. Pendant que nous déchargions tout le matériel, ils ont joué pour nous. Et ils étaient accompagnés de danseuses !

Quand je ferme les yeux, je revois aussi certaines images marquantes, comme un lever de soleil au cercle polaire.

Source : http://www.metiers.be/Interviews/INT_LUCAS_MATELOT.htm

Salut Gérald,

Que c'est mignon et tout clean. On a l'impression que c'est une publicité, un appel aux futurs volontaires, style : "Engagez-vous, vous verrez du pays !"
Ou c'est un vrai entretient, ou ça été "dicté, supervisé" par certaine autorité. A mettre dans la rubrique offre d'emploi. C'est trop idéalisé.

c'est peut-être Lulu qui travaille maintenant à IRP Marine...

TSHAW!

Laurent

S'EST SUR CELA DOIT ETRE LUI AI PAS CONNUS DE BEAUCOUP DE LUCAS

Je dirais même

Je ne trouve rien d'autre à dire... à oui, ceci

Une petite minute,

La question était : Connaissez-vous ce marin ?

Sachez et je parle par expérience que le journaliste qui vous interview prend quelques notes. Ensuite il rentre à son bureau et écrit son article à sa sauce. A partir de là vous n'avez plus aucun contrôle sur ce qui sera publié.

Moi LuLu ou Lucas je ne le connais pas donc, interdiction de porter le moindre jugement sur lui d'autant que ce n'est pas lui qui a retranscrit ses propos.

Je trouve personnellement que ce qu'il dit en toile de fond est une belle éloge de notre marine que nous aimons tous pour y avoir vécu des moments que même aujourd'hui nous partageons.

Respect, c'est tout.

Bien à vous

Bonjour les amis,

Gérald, tout à fait d'accord avec toi car j'en ai fait l'expérience également, pour avoir été filmé plusieurs semaines par la télévision nationale francophone. Enquête sur deux familles nombreuses :Une de Waterloo et une de Bruxelles (la mienne). Le titre était "Combien coûtent les enfants". A la lecture de l'émission, j'étais bombardé contre-maître de ma société, alors que j'avais dis contrôleur (inspecteur). Le journaliste, suite à mon coup de fil, m'a répondu que ce n'était pas grave et que je ne risquais rien de la part de ma direction car il n'avait pas donné le nom de la société. De toute façon c'est lui qui fait l'article comme il le veut.

Ceci est juste une mise au point, avant de recevoir les réactions, pas de toi, mais de gens qui ont l'habitude de mal me lire et de ne pas me comprendre.
Mon intervention portait sur l'article même et non sur l'interviewé. Cette personne, Lucas, je ne le connais, ni d'Adam ni d'Eve, donc, il m'est impossible de porter un jugement quelconque sur lui. CQFD !
L'article, donc, qu'il soit réel, que ce Lucas le soit aussi ou un nom d'emprunt, je m'en fiche. Je ne dis pas que ce qu'il y est écrit est faux, mais la façon dont c'est écrit (le dorage de pilule) digne d'une offre d'emploi. C'est trop beau, même si c'est exact.
Gérald, mon post n'est ni une réponse ni une réaction au tien, c'est pour faire comprendre exactement ma prose et je profite lâchement de ton intervention.
Si on trouve ce post assez sec, veuillez m'en excuser car c'est sans le vouloir. Mes écrits sont rédigés avec le coeur, mes sentiments et ma fougue.

99% d'accord avec Gerald et Nicmataf.

Mais pour le journaliste et seulement pour lui, son article n'a certainement pas paru dans le monde ou le vif l'express par exemple et pour ne citer que eux.
Il n'a pas écrit un article, mais plutôt une rédaction comme nous en faissions à l'école primaire.
Un journaliste peut-être à court d'idée et presser par le temps qui devait rentrer rapidement un article à sa rédaction ?
C'est pourquoi dans mon post précédent, place juste des Smileys.

Je me pose des questions et c'est à en pleurer.

leurquin a écrit:

99% d'accord avec Gerald et Nicmataf.

Mais pour le journaliste et seulement pour lui, son article n'a certainement pas paru dans le monde ou le vif l'express par exemple et pour ne citer que eux.
Il n'a pas écrit un article, mais plutôt une rédaction comme nous en faissions à l'école primaire.
Un journaliste peut-être à court d'idée et presser par le temps qui devait rentrer rapidement un article à sa rédaction ?
C'est pourquoi dans mon post précédent, place juste des Smileys.

Je me pose des questions et c'est à en pleurer.

salut Leurquin,
Petite constatation : Notre ami Gérald nous donne sa source. www.metiers.be, donc ma première impression n'était pas tellement à côté de la plaque, et ce, avant que je ne vois la source. On parle d'un métier : militaire à la marine. Et pour donner l'envie aux futur(e)s intéressé(e)s, le journaliste brosse ce métier de manière idéale. C'est de bonne guerre et il fait son boulot : donner envie aux futurs marins !
Je pense sincèrement qu'il y a eu une interview et qu'elle est réelle. Idyllique et arrangée, mais c'est pour la bonne cause.
Ta remarque, Leurquin est juste, ce n'est, peut-être, pas paru dans un journal mais bien sur ce site internet. Il a demandé des renseignements à la Marine et on lui a envoyé la personne qu'il fallait, quelqu'un des relations publiques de la dite Marine qui parle officiellement pour la Marine. Cette personne, nommée Lucas est la question que nous pose Gérald. Certains d'entre vous croient savoir qui c'est : Lulu ? Peut-être que non. Ceux qui sont en rapport avec lui, n'ont qu'à lui poser la question : Es-tu à l'origine de cet interview ? Es-tu matelot de pont ? La réponse sera vite donnée. Un marin a peut-être une démarche chaloupée mais il va droit au but. Eliminez les obstacles un à la fois sans courir de gauche à droite pour essayer de tomber par hasard sur la bonne réponse.
Qui est Lucas ? Le mystère reste entier ! A vos recherches, les gars (vous connaissant, ce mystère sera résolu avant peu.)
Bonne chasse,

nain de jardin a écrit:

S'EST SUR CELA DOIT ETRE LUI AI PAS CONNUS DE BEAUCOUP DE LUCAS

mais ce n'est pas son prénom.

Maintenant, c'est vrai que celui qu'on pense est resté des années sur le même type de navire, est pont et a fait souvent l'Afrique et a pas mal d'heures et d'années de navigation.

On dirait un gars qui travaille pour rechercher de nouvelles recrues ...mais, au fait c'est vrai, il fait de la propagande dans sa nouvelle affectation à Bruxelles

Oui le petit LUCAS qui se trouve IPR maintenant "on sait a qui poser ces question débiles
Lucas j'ai naviguer avec toi a part raler tout le temps que faisais tu ?

BONJOUR LUCAS OU LULU

si on te poses des questions sur ton interview a ta place je renverrais ceux qui trouvent

ton intervention trop idyllique a notre forum et réponds lisez les posts pour beaucoup

c'est le meilleur moment de leur vie ,aucun ne regrette d'y avoir été,tous

referaient le meme choix, beaucoup regrettent de ne pas y etre restés plus longtemps

ou de ne pas y avoir fait carriére

Comment la question vient du forum alors je n'y comprends plus rien ils tiennent

un double langage sur ce forum et ils font des remarques alors que je n'ai fait que mon

boulot alors qu'on ne fait qu'y parler de solidarité entre marins ,j'en suis aussi un

marin merçi les gars +++++++fin interview de lucas lulu

Renard, Mike, et bc d'autres,
Merci pour votre franc parler et de ne pas être des girouettes.

GARDONS LE CAP COMME DES VRAIS MARINS

c'est emouvant et beau...... je m'engage..ah oui suis trop vieux.....mdr