Russian Navy - Marine Russe

Ils reprennent du poil de la bête ! Lentement mais surement

VLADIMIR MONOMAK


Missile "BULAVA"


YURI DOLGORUKI


ALEXANDRE NEVSKI

L’ex-paquebot « Lyubov Orlova » dérive au large de Terre-Neuve le 31/01/2013


Le "Lyubov Orlova" a terminé sa carrière par des croisières dans le Grand Nord. DR

Un ancien paquebot soviétique de 110 passagers, le Lyubov Orlova, est à la dérive depuis le 23 janvier au large de Terre-Neuve. Il partait pour la démolition à Saint-Domingue. Il avait terminé sa carrière par des croisières dans le Grand Nord.

Le Lyubov Orlova, parti de Saint-John où il était désarmé le 23 janvier, a rompu les amarres avec son remorqueur. Il est sous la responsabilité d’un ferrailleur iranien basé en République dominicaine.

Cet incident rappelle la mésaventure survenue au Canadian Miner, un vraquier qui partait pour la démolition en Turquie en septembre 2011. Ayant rompu sa remorque, il s'est échoué sur une île au large de la Nouvelle-Ecosse, où il se trouve toujours.

Le Lyubov Orlova a été construit en 1976 en Yougoslavie. En novembre 2006, il avait déjà fait parler de lui. Il s'était échoué dans l'Antarctique et n'avait dû son salut qu'à l'intervention du navire brise-glace espagnol Las Palmas.

Canada : l’ex-paquebot russe à la dérive pris en remorque le 01/02/2013



Le "Lyubov Orlova" a été pris en remorque dans la nuit de mercredi à jeudi.

L’Atlantic Hawk, navire de soutien offshore qui travaille pour le compte de Husky Energy SeaRose, a pris en remorque le Lyubov Orlova dans la nuit de mercredi à jeudi. Transport Canada, l’agence gouvernementale de sécurité maritime, étudie vers quel port le paquebot à la dérive peut être désormais remorqué.

Le but de cette prise en charge est d’éviter tout risque de collision avec un des sites de production de pétrole offshore situés au large de Terre-Neuve. Le paquebot à la dérive s’est approché un moment de la plate-forme Hibernia avant de se diriger vers le pétrolier de stockage flottant (FPSO) de Husky Energy. Tout risque semble désormais écarté.

Le paquebot « Lyubov Orlova » toujours à la dérive dans l’Atlantique le 13/02/2013


Le "Lyubov Orlova", navire fantôme en plein Atlantique-nord.

L’ex-paquebot russe Lyubov Orlova erre depuis 15 jours dans l’Atlantique-nord, après avoir perdu sa remorque avec un supply pétrolier venu, en catastrophe, l’éloigner d’une plate-forme.

Abandonné dans le port de Saint-John à Terre-Neuve depuis 2010, ce paquebot naguère utilisé pour des croisières en Arctique devait rejoindre un fantomatique chantier de démolition à Saint-Domingue. Le Canada l’a laissé partir le 23 janvier, tracté par un remorqueur construit en 1962, le Charlene Hunt. Peu après le départ du convoi, le filin de remorque a cassé.


Le Charlene Hunt

Le Lyubov Orlova est parti à la dérive. Le Charlene Hunt a été obligé de regagner le port de Saint-John pour des raisons de sécurité. Il est aujourd’hui retenu à quai pour de nombreuses non conformités après avoir été inspecté par les autorités canadiennes. « Il est à proprement parler incroyable que les autorités canadiennes aient procédé à une inspection du « Charlene Hunt » après le départ du convoi, tonne l’association écologiste Robin des Bois. Le Canada, en matière de démolition des navires et de sécurité maritime dans l’océan Atlantique, se conduit comme un voyou. Une force internationale d'assistance et de sauvetage doit être mobilisée pour recapturer le « Lyubov Orlova » et le mettre en lieu sûr. »

La Marine russe approuve un projet de super-destroyer le 18/02/2013


Le futur destroyer serait d'une taille comparable à l'actuel croiseur nucléaire lance-missiles "Pierre le Grand". (Photo Alain Le Duff)

La Marine russe a ordonné la construction du plus gros navire de combat produit en Russie depuis la fin de l'URSS, a annoncé le mercredi 13 février le journal Izvestia. Ce destroyer devrait avoir un déplacement de près de 12 000 tonnes.

"Il s'agira d'un navire universel destiné à la lutte anti-sous-marine, anti-aérienne et antimissile. Il sera capable de soutenir les unités terrestres combattant dans les zones côtières", a indiqué Izvestia.

Ce projet de futur destroyer est présenté par le bureau d'étude Severnoe, de Saint-Pétersbourg. Servernoe a conçu les plus importants bâtiments de guerre de l'époque soviétique.

Le dernier navire d'un tonnage comparable construit en Russie est l'actuel croiseur nucléaire lance-missiles Pierre le Grand (ex-Youri Andropov), mis sur cale en 1986 au chantier de la Baltique et admis au service actif en 1998 dans la flotte du Nord.

La Russie met en chantier son plus grand brise-glace





Le futur brise-glace sera le plus grand jamais construit en Russie.
La construction du premier navire de la série LK-25 a démarré à Saint-Pétersbourg. D'un coût de 260 millions de dollars, le futur navire de la compagnie Rosmorport sera le plus grand brise-glace jamais construit en Russie. Doté, pour la première fois, d'une grue de 150 tonnes pour participer à des travaux offshore, ce navire diesel-électrique dispose d'une capacité électrique de 25 MW. C'est le premier d'une série destinée à remplacer les brise-glace soviétiques construits en Filnlande dans les années 1970-1980.

[quote="JClaude48"]La Marine russe approuve un projet de super-destroyer le 18/02/2013


Il ont fait de gros progrès depuis la fin de la guerre froide

http://www.rusnavyintelligence.com/article-la-marine-russe-approuve-le-projet-de-futur-destroyer-115314444.html

Bonsoir René

Interessant ton article lien posté, je ne l'avais pas vu, merci encore

JClaude48 a écrit:

Bonsoir René

Interessant ton article lien posté, je ne l'avais pas vu, merci encore

Le tout est de s'intéresser à ce que les autres postent et suivre un peu ( je développe souvent les sujets et articles lu à titre personnel pour sans toujours intervenir et si, j'interviens, je garde à l'esprit que l'article poster n'est pas de moi ) "laisser à César ce qui est à César")

Le "Lyubov Orlova" repéré à la dérive à 800 km de Terre-Neuve le 22/02/2013


L'ex-navire de croisière "Lyubov Orlova" partait à la casse quand il a rompu sa remorque. (Photo Iain B. of Over)

L'ex-navire de croisière russe Lyubov Orlova, à la dérive depuis un mois dans l'Atlantique Nord et dont on avait perdu la trace, a été repéré à quelque 800 km de Terre-Neuve (Canada), selon un document des services d'information maritime américains.

Selon ce document, daté du mercredi 20 février et intitulé "Daily memorandum Atlantic edition", le Lyubov Orlova a été repéré à la position 49 22.70N et 044 51.34W, soit à environ 800 kilomètres de son point de départ de Terre-Neuve et à 2 400 kilomètres à l'ouest des côtes de l'Irlande.

Le bateau avait quitté Terre-Neuve le 23 janvier pour rallier sous remorque la République dominicaine où il devait être démantelé. Mais, dès le lendemain, le câble de remorquage s'était rompu, livrant le navire à la mer.

Une tentative des autorités canadiennes pour le récupérer, alors qu'il menaçait une plate-forme pétrolière, a échoué et le bateau s'est rapidement retrouvé dans les eaux internationales.

Russie : la construction des deux BPC « Mistral » sous licence française remise en cause le 04/04/2013


La Russie ne semble plus décidée à exercer la possibilité de construire deux BPC sous licence française. (photo Marine Nationale)

Alors que la construction de deux BPC de type Mistral pour la Russie se poursuit à Saint-Nazaire, avec une participation de 20 % du groupe de construction russe OSK, la deuxième partie du contrat, optionnelle, est à nouveau menacée.
Elle prévoit la construction de deux autres navires en Russie, sous licence française. Le 29 mars, c’est le vice-président d’OSK, Igor Zakharov, qui a déclaré à l’agence Interfax que son groupe saluerait une décision consistant à annuler la construction sous licence française et à confier la conception et la construction à OSK.
En décembre, le vice-premier ministre Dmitri Rogozine a déclaré que le lancement de la construction des Mistral en Russie ne se ferait qu’après évaluation des performances des deux premiers navires. Dans le passé, OSK avait promu les plans sud-coréens du type Dokdo ainsi que la création d’un chantier conjoint.

Sous-marins nucléaires russes : seulement cinq patrouilles de dissuasion dans les eaux internationales en 2012 le 27/05/2013


Le K-407 "Novomovskovsk", l'un des six sous-marins Delta IV récemment modernisés de la marine russe. (Photo DR)

En 2012, les neuf sous-marins nucléaires lanceurs d'engins russes n'ont effectué que cinq patrouilles de dissuasion dans les eaux internationales, selon la Fédération des scientifiques américains. Cette ONG affirme disposer des données du renseignement naval américain obtenues grâce au Freedom of Information Act (loi pour la liberté d'information).
Ce nombre de patrouilles ne permettrait pas d'assurer la permanence à la mer d'un sous-marin nucléaire lanceur d'engins russe. Les sous-marins russes effectueraient des patrouilles de 40 à 60 jours, contre environ 70 pour leurs homologues américains.
Le rythme de patrouille des sous-marins russes a constamment décru depuis la fin de la guerre froide, note la la Fédération des scientifiques américains. À son apogée, en 1984, la flotte sous-marine russe avait assuré 102 patrouilles de dissuasion avant de toucher le fond en 2002 en n'accomplissant aucune patrouille de toute l'année.
La Russie dispose actuellement de dix SNLE : trois Delta III démodés dans le Pacifique, six Delta IV récemment modernisés en mer de Barent et le premier sous-marin de la classe Borei, le K-535 Youri Dolgorouki, mis en service en janvier 2013 après 15 ans d'études et de chantier. Celui-ci est armé du nouveau missile stratégique Boulava.



Le K-535Youri Dolgorouki

Sur une frégate Russe

Manœuvre de retournement du BPC russe à Saint-Nazaire le 19/07/2013

Vendredi 19 juillet, dans l’après-midi, la partie avant du BPC russe est sortie dans la Loire, escortée par quatre remorqueurs, pour effectuer une manœuvre de retournement. (photo Éric Martin)

Le BPC russe Vladivostok en cours de construction, pour sa partie avant, au chantier naval nazairien STX, est dans l’attente de la partie arrière. Partie voici quelques semaines d’un chantier russe, elle doit arriver à Saint-Nazaire, mardi 23 ou mercredi 24 juillet. Vendredi 19 juillet, dans l’après-midi, la partie avant du BPC russe est sortie dans la Loire, escortée par quatre remorqueurs, pour effectuer une manœuvre de retournement. Désormais, la proue du BPC pointe vers l’intérieur des terres, ce qui va permettre à l’autre partie de se positionner juste derrière afin de faciliter la jonction des deux. Le navire doit être livré au dernier trimestre 2014.