Je tombe par hasard sur ce jujet, et je ne peux manquer de scandale de la malebiuffe, inimaginnable maintentant que nous aons connu sur le Breydel lors d'une croisère garde pêche sur les bancs du Jutland en juin 1948.
Le Breydel était vtraiment une vieil barque. Elle ne tenaiy plus que par sa paintures. Les deux grands postes d'équipage hérités de son séjour à la Kriegsmarine étaient dabord trop grands pour l'équipage d'alors. Cloisons et planchers mal entrenus, gros conduits d'air au plafond auquels nous allions cro parfoiseccher nos hamacs,avec parfois la visite d'un rat qui se promenait sur eux. Pas d'installations frigorifiques , pas de boulangerie, en rélité : Rien.
On avait embarqué dans des gros sacs, genre sac à patates des es grosses miches de pain blanc provenant de l'intendance militairen comme ceux de Mahieu,ces pains étaient excellents mais en mer il commençèrent à moisir. Les premiers jours on découpait les mies moisie, après une semaine il était devenu immangeable. On avait aussi embarqué des pièces de viande de cheval, elle aussi commença à se déterioré. Elle était surtout utilisées pour la soupe de tous les jours; un genre de bouillon sur lequel surnageaint des grosse plaques de graisse jaune peu appétissante. Le 1er lieutenant était aussi un sadique, un martinet comme on disait dans la Royal Navy et peu avant notre arrivée à Bergen un samedi matin temps assez gros et pluie il nous a fat briquer le pont. C'était le bouquet, on était près de la mutinerie et on a commencé par se ne pas travailler. Ce fut grâce au coxwain qui arrangea un peu les chose qu'on se remit au travail. J'avais emporté un peu de biscuits de chocolat et de deux boites de sardines qui arrangèrent un peu les choses. L'après-midi les membres de la bordée autoriséeà aller à terre la première visite ne fut pas la recherche d'un bistrot mais bien d'une boulangerie. Les choses s'arrangèrent un tout petit peu par des achats locauxD Sur la route du retour on eu la chance de croiser un chalutier qui rentrait à Ostende p-eche faitte. Heusreux hasard don patron était de la famille de son patron. On put alors échanger quelques mannes de poisson contre des bouteilles de whisky qui ne manquaient pas au carré des officiés. On du écourter l a croisière d'un jour pour ramener à Ostende un des matelots qui était fort malade. si vous ne me croyer pas,j'ai conservé l'article que la Libre Belgique a publié après notre retour. Seul consolation nous avions navigué chose encore une peu rare è l'époque et je peu en publier la photo.