PEINTURE DE LA MER & AUTRES

 
huile sur toile " les sandalettes blanches " ramenée de diverses études de dessins ou d'aquarelles de Brehat.
Une manière ici avec ces petits pieds fragiles de femme au bas de la toile de prendre possession de ce paysage lunaire et rugueux qu'offre l'ile de Brehat à marée basse jusqu'à 9m de marée parfois !...
Vision métaphorique pour amener le regard, cet orgue de pierre, cette quête, pas à pas dans la profondeur apaisante et bleue du haut et le fond du tableau.

Les peintures sont superbes et les commentaires qui accompagnent très explicites

Bonjour Guy, bonjour Christian.

Des genres bien différents ; mais de bien belles peintures.
, les amis.
Amitiés.

Xavier

Bonjour Guy.

Personnellement, j'adore les toiles comme celle-ci ; les peintures de vagues me fascinent.
Merci ; c'est splendide.
Amitiés.

Xavier

très réussies cette marine

Un petit hommage aux anciens. Un de nos grands marinistes belges du 19ème siècle, François Musin Ostende 1820 Saint Josse t’en Noode 1888.
Christian**

Bonjour et merci, les amis.
Amitiés.

Xavier

[url=https://servimg.com/view/20144407/84][/

Hommage à nos amis français du site
Tableau peint en 1801 sous le Consulat représentant un combat naval de 1798.
Louis-Philippe Crépin (1772 - 1851)
Œuvre d’un réalisme exceptionnel

Combat de la Bayonnaise contre l'Embuscade
La Bayonnaise, corvette française, commandée par le citoyen Edmond Richer, prenant à l'abordage la frégate anglaise l'Embuscade, le 24 frimaire an 7. Bien qu'il s'agisse d'une action isolée, le combat de la Bayonnaise, le 14 décembre 1798, fut l'un des épisodes les plus sanglants de la lutte franco-anglaise et eut un énorme retentissement dans l'opinion publique.
Rentrant de Cayenne, la corvette française, armée de 20 canons de 8 livres, se trouvait à proximité de l'île d'Aix lorsqu'elle fut attaquée par la frégate anglaise l'Embuscade, armée de 42 canons. Les Anglais, disposant d'une puissance de feu très supérieure, auraient dû remporter rapidement le combat. Mais le capitaine français Richer ordonna l'abordage avant que la Bayonnaise ne soit totalement démâtée. Vainqueurs au corps à corps, les marins français prirent possession de la frégate anglaise dont ils se servirent pour remorquer jusqu'à Rochefort leur propre bâtiment.
Christian**

Le regard qui en a vu des vagues.
Chris** 1‍�

Bonjour les amis.
Merci pour les deux tableaux, bien beaux, tous les deux, chacun dans son genre ; et puis, aussi, pour le récit.
Amitiés.

Xavier