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Le rendez-vous des anciens et amis de la Force Navale - Het rendezvous van de oudgedienden en vrienden van de Zeemacht
 
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 Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1)

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MessageSujet: Re: Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1)   Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) - Page 60 EmptyJeu 7 Mar 2019 - 11:27

Voici la répartition des partenaires belges qui sont associés au projet du consortium "Sea Naval Solution.be" :

Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) - Page 60 Societ10

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MessageSujet: Re: Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1)   Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) - Page 60 EmptyJeu 7 Mar 2019 - 14:31

Voici un résumé "en gros" de l'article de Knack au-dessus :

D'après les informations de "Knack", la Belgique optera probablement dans les prochaines semaines pour le navire du consortium "Sea Naval Solutions" (Chantiers de l''Atlantique, Socarenam, Engine Deck Repair et Thales belgium). Ce choix, qui découlerait du fait que le gouvernement belge a choisi le F35 et pas le Rafale, serait une sorte de compensation !

La commission d’évaluation de la défense pour le choix des nouveaux navires MCM est terminée et, malgré que le gouvernement soit en affaires courantes, la décision pourrait quand même tomber lors du Conseil des ministres du 15 mars !? Si c'était le cas, le calendrier pour la construction des navires serait alors respecté. Mais knack.be indique quand même qu'il est fort possible que l'un des deux perdants (et là Knack pense surtout à Imtech qui est associé avec Damen) aille en appel de la décision !

Knack parle même de pression française sur le gouvernement belge, et donne l'exemple que la France soutiendrait la candidature de Reynders (l'actuel ministre de la défense) au Conseil de l'Europe si la Belgique choisissait les navires français...

On verra bien...

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MessageSujet: Re: Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1)   Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) - Page 60 EmptyJeu 7 Mar 2019 - 21:44

OIP (qui est associé avec le projet de Damen/Imtech) présente l'AUV Remus 600, ce sont au moins 4 de ces AUV qui seront embarqués sur le navire MCM de Damen/Imtech :


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MessageSujet: Re: Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1)   Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) - Page 60 EmptyLun 11 Mar 2019 - 15:27

Ce dossier devient de plus en plus politique sifflotte

https://twitter.com/alainmoutonVL/status/1105082912062488581

traduction google de l'article :

Citation :
Bataille maritime économique: la Belgique renouvelle sa flotte de chasseurs de mines (11.03.2019)

Au cours des prochaines semaines, le gouvernement fédéral sélectionnera parmi trois candidats le vainqueur pour la construction et l'entretien de douze systèmes de lutte contre les mines. Le consortium belgo-néerlandais Damen-Imtech souhaite utiliser cette mission pour développer une nouvelle "techvalley" en Flandre. Une industrie du drone pourrait en sortir.

"Il existe encore des centaines de milliers de mines dans la mer du Nord, la zone de navigation la plus fréquentée au monde, avec des ports vitaux tels qu'Anvers et Rotterdam, et les navires de guerre qui détruisent les mines les mines remplissent non seulement une tâche militaire, mais également une tâche sociale. Les chasseurs de mine sont comme le service incendie de la mer. L’importance de la construction de nouveaux navires anti-mines néerlandais et belges ne peut être surestimée. "Ce sont les mots de Richard Keulen, un ancien officier de la marine néerlandaise qui est directeur du soutien aux ventes de la marine au chantier naval Damen Schelde Naval Shipaling à Vlissingen (DSNS). Le siège du constructeur de navires respire l'histoire maritime. Dans le hall d’entrée se trouvent tous les noms des navires bâtis par Damen depuis 1874. Bientôt, il y aura peut-être en plus quatre frégates et douze chasseurs de mines - six pour les Pays-Bas et six pour la Belgique.

Damen est l'un des trois candidats à la construction et à la maintenance des chasseurs de mines de la nouvelle génération. En 2016, le ministre de la Défense, Steven Vandeput (N-VA), en consultation avec son collègue néerlandais, a décidé de remplacer la flotte de frégates et de chasseurs de mines à partir de 2023, représentant un investissement de 4 milliards d'euros.

La soumission pour les quatre frégates sera gérée par les Pays-Bas. La Belgique est responsable pour les navires de lutte contre les mines. Un appel d'offres européen a été lancé et trois consortiums ont été retenus. Outre Damen, qui s'est associé à la société d'ingénierie belge Imtech (appartenant au groupe de construction Cordeel de Temse), ainsi que toute une série d'autres sociétés, deux consortiums franco-belges sont également candidats. Et avant les vacances de Pâques, le gouvernement en affaires courantes devrait trancher.

Richard Keulen défend le projet de Damen-Imtech: "Notre consortium s’associe à la coopération très étroite qui existe depuis des décennies entre les marines belge et néerlandaise, et vous avez également besoin d’une solide feuille de route pour mener à bien un projet de cette envergure. Et nous fournissons la marine royale néerlandaise et d’autres pays depuis près de 150 ans. Nous travaillons avec le constructeur naval suédois Saab Kockums pour remplacer les sous-marins de la marine néerlandaise. Nous sommes également très compétents en matière de technologie. Nous sommes les premiers dans le monde à avoir imprimé en 3D des hélices de bateau qui fonctionnent parfaitement sous l’un de nos navires. "

Son collègue Ric Dekkers, également ancien officier de la marine et conseiller principal auprès de la marine à Damen, ajoute: "En tant que société privée, nous pouvons facilement nouer des partenariats avec d'autres sociétés privées pour la livraison de certaines pièces, par exemple en effectuant des achats sur le marché mondial" à la demande du client, ce qui est moins évident pour les autres constructeurs de la marine autour de nous, car le fabricant de radars ou de systèmes de commande est souvent dans la même entreprise. "

Une boîte à outils avec des drones

Comme les autres candidats, Damen souligne qu'une partie importante de la production des chasseurs de mines peut avoir lieu en Belgique. Et que le contrat implique beaucoup plus que la construction et la maintenance des navires. Pour commencer, les coques du navire seront construites à Galati en Roumanie. Un chasseur de mines serait construit à Vlissingen, les onze autres seraient équipés en Belgique du matériel technologique et balistique au chantier naval Gardec à Zeebrugge.

Outre un navire de lutte contre les mines de plus de 90 mètres, une boîte à outils doit également être fournie pour la lutte contre les mines marines. Elle doit permettre de lutter contre les mines marines sans que le navire n’entre dans un champ de mines. Les mines marines sont neutralisées avec des bateaux sans équipage, des drones de surface, des drones sous-marins et des drones volants. Par exemple, on envoi un véhicule submersible (ROV) Seafox pour reconnaître une mine à l’aide de capteurs optiques à haute résolution et il peut nettoyer le collier quatre fois plus rapidement qu’aujourd’hui.

Dans la mer du Nord, il existe encore de nombreuses mines des deux guerres mondiales, mais les navires de luttet contre les mines doivent également être prêts à neutraliser les types les plus récents. Classiquement, une mine explose suite à une modification d'un champ magnétique, par exemple un objet en fer qui se déplace au-dessus d'une mine. "Mais entre-temps, vous avez des mines qui naviguent elles-même, comptez celles qui vont et viennent ou qui reconnaissent le bruit de l'hélice d'un type de navire", explique Ric Dekkers. "Il y a une course aux armements technologiques en cours, le temps est révolu où la marine a acheté des navires dont l'équipement pourrait facilement durer vingt à trente ans avec un entretien régulier."

"La marine belge estime que cette boîte à outils peut durer jusqu'à dix ans", ajoute Richard Keulen. "Ce développement technologique rapide nécessite des mises à niveau régulières de certaines parties de la boîte à outils, ce qui constitue une opportunité d'impliquer des spécialistes de l'automatisation et de la technologie des drones pendant une longue période dans le projet."

L'offre Damen-Imtech comprend deux conceptions pour la boîte à outils: une de l'allemand Atlas Elektronik et une du belge OIP d'Oudenaarde, acteur mondial de la vision nocturne et des capteurs optiques pour la technologie des drones.

FN Herstal pour les systèmes d'armes, ABC pour les moteurs marins et Fabricom pour les installations électroniques font également partie du consortium Damen-Imtech. La firme d’ingénierie Multi de Temse est un autre partenaire. "Notre branche maritime organise et surveille la maintenance des navires", a déclaré le directeur des opérations, Niko Fierens. "Multi a collaboré avec Damen à plusieurs reprises, une mission dans la marine est importante pour nous." Lorsque nous avons commencé il y a 22 ans, de nombreuses personnes avaient participé à des projets militaires, mais beaucoup moins avaient été investies dans la défense. l'étude de faisabilité pour le remplacement des dragueurs de mines a été réalisée, c'est bien, sans nouveau projet pour la marine, notre expertise serait perdue. "

Vers une MCM Valley

"Damen veut aller plus loin avec ses partenaires belges que la construction et la maintenance des douze navires", a déclaré Keulen. "Nous souhaitons signer un pacte avec l'industrie de la défense et les établissements universitaires et de recherche belges afin de renforcer la base industrielle de défense et de technologie belge (DTIB)."

Il y aurait une vallée MCM à Zeebrugge où le gouvernement, les entreprises et les institutions du savoir travailleraient ensemble. La valeur économique de la DTIB est estimée à 667 millions d’euros, avec 71 entreprises et 4743 employés. Cela porterait à 80 entreprises, 4832 employés et une valeur ajoutée de 987 millions d'euros. L'ensemble du contrat générerait un retour sur investissement de 1,9 milliard d'euros en vingt ans. "Ce n'est pas seulement un projet à long terme pour nos deux marines, de nombreux pays de l'OTAN sont en train de remplacer leurs chasseurs de mines", a déclaré Keulen. "Le nouveau concept belge de lutte contre les mines en mer va certainement attirer l'attention des autres marines."

"Nous pouvons collaborer avec l'école de guerre des mines à Ostende "EGUERMIN", où les connaissances sont disponibles", ajoute Dekkers. Il y aurait aussi un pont vers Anvers où Multi, si Damen-Imtech remporte le contrat, ouvrira un nouveau bureau de 20 à 25 ingénieurs et concepteurs spécialisés dans la construction de navires de guerre. Cela ferait alors partie du Campus Maritime d'Anvers (MCA) qui se concentrerait également sur le secteur maritime commercial. De cette manière, les investissements militaires auront des retombées positives sur les innovations dans l'industrie civile et le transport maritime. "Cela a déjà été le cas par le passé, comme avec le GPS et Internet", explique Niko Fierens.

Freddy Versluys, le PDG d'OIP qui peut fournir la technologie pour les drones, les sonars et les capteurs pour le projet de Damen-Imtech, voit une opportunité pour le développement d'une industrie flamande des drones. "Dans cette région, la Flandre a peu à offrir, ce qui peut changer grâce aux retombées issues d'une vallée du MCM, des systèmes autonomes et sans pilote battent leur plein, que ce soit via des drones ou autre chose. Je vois donc la navigation intérieure devenir complètement autonome et les porte-conteneurs ne compteront plus que quatre membres d'équipage. "

Travail de lobby de Paris

Bien que le gouvernement Michel II soit en affaires courantes, il est prévu que, dans les semaines à venir, il sera décidé de qui remportera le contrat pour la construction des navires MCM. Outre Damen-Imtech, deux consortiums franco-belges sont en lice. A la rue de la Loi, on peut dire qu’à partir de Paris, le MR francophone fait certainement pression pour opter pour un partenariat franco-belge. La France a déjà mordu dans le sable lorsque le gouvernement Michel Ier décida de remplacer les avions de combat F-16 par des F-35 américains, malgré une offre tardive des Rafales français.

Le premier candidat franco-belge est "Sea Naval Solutions". Il promet un retour économique de 2,3 milliards d’euros en vingt ans. Il est composé de deux sociétés belges et de deux sociétés françaises: Engine Deck Repair (EDR) à Anvers et le spécialiste de drones Thales Belgium (TBE) à Tubize, ainsi que les constructeurs naval français Socarenam et Chantiers de L'Atlantique.

L'autre candidat est le français Naval Robotics. Il comprend le constructeur naval de l'armée française Naval Group et le spécialiste des drones maritimes français ECA. Ils veulent créer deux centres de recherche en Belgique, un à Bruxelles et un à Anvers. Ils seraient spécialisés un dans la lutte contre les mines et l'autre la cybersécurité maritime. Naval Robotics parle de 2,1 milliards d'euros de retour sur 20 ans et d'environ 350 nouveaux emplois. Les entreprises belges impliquées sont CMI, ABC et des centres de recherche tels que le Flanders Marine Institute. Et Naval Robotics promet une usine de fabrication des drones à Zeebrugge garantissant plus de 100 emplois.

Source : trends.knack.be

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MessageSujet: Re: Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1)   Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) - Page 60 EmptyLun 11 Mar 2019 - 22:11

Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) - Page 60 53430_10

traduction google de l'article :

Citation :
Sea Naval Solutions (SNS) renforce fortement sa présence locale - et celle de l’économie belge - par la signature sur les véhicules de surface non habités avec le belge Sobelcomp. (7.03.2019)

Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) - Page 60 53430_12

Le fabricant belge Sobelcomp entame une collaboration avec le candidat SNS

Après de longues réunions cette année, Thales et L3 ASV ont signé un protocole d’accord détaillé avec Sobelcomp, un fabricant belge spécialisé dans les matériaux composites. En tant que membre clé du consortium belge SNS, Thales supervisera la production de 15 USV de la classe Halcyon, initialement construits par L3 ASV, afin de répondre aux objectifs ambitieux du nouveau programme MCM de la marine belge et de la marine royale néerlandaise. Les partenaires recherchaient un fabricant local hautement compétent pour la fabrication des coques et des ponts des bateaux en polyester. Ils travailleront avec la société de Loncin, qui possède une solide expérience en matériaux dans les secteurs de l’aviation et de l’automobile.

Les exigences exigeantes d'un partenaire USV potentiel: l'excellence totale

Le navire-mère et la boîte à outils des véhicules non habités du programme comprennent des conceptions spécifiques et spécialisées qui peuvent fonctionner comme un "système de systèmes" homogène. Les bateaux de la classe Halcyon reflètent cette focalisation sur des besoins spécifiques: tels que la guerre contre les mines dédiée, les USV, la résistance aux chocs sont au cœur de la conception. La solution réside dans les matériaux composites, spécifiés avec tant de précision que de petites non-conformités dans une seule couche peuvent mettre en danger un bateau. Cela signifie que les exigences des fabricants sont super-exigeantes en termes de savoir-faire, de contrôle de la qualité et de traçabilité. Bien que de nombreuses entreprises produisent des composites, seules les entreprises de haut niveau ayant fait leurs preuves ont le potentiel pour être des partenaires dans le monde de la lutte anti-mines sans pilote.

Sobelcomp a la capacité - et le dévouement - de fournir

Sobelcomp fournit exactement le bon mélange pour la marine. L'accent mis sur la qualité s'est reflété dans l'engagement fort de leur responsable de la qualité depuis le début des discussions avec SNS - ce qui a été renforcé par la certification ISO9001 et une culture formée par les normes rigoureuses du secteur aérospatial. Sobelcomp dispose également d'un système de gestion des stocks hautement contrôlé, ce qui signifie que seules les pièces exactes commandées sont utilisées et qu'elles sont entièrement traçables via la chaîne d'approvisionnement. Cela est essentiel pour assurer la qualité du matériel - ce qui protège et minimise les risques des investissements importants que la Marine effectue dans les USV. En outre, la société souhaite investir dans ses installations bien conçues à long terme. Il existe, par exemple, des portes spécialisées qui permettent de déplacer facilement les coques de 12 mètres de long du véhicule USV.

Stimuler l'économie belge - aujourd'hui et à long terme

Ce partenariat n’est qu’un fil conducteur dans la vision plus large de SNS sur «l’expertise mondiale livrée localement», une histoire qui inclut Thales Belgium, avec sept sites et plus de 800 employés; Des installations de maintenance de classe mondiale pour la réparation de ponts moteur (EDR) et une équipe de 250 personnes à Anvers; et plus de 100 sous-traitants locaux vitaux. Mais c’est aussi un fil rouge qui illustre les synergies et les dividendes sociaux que de grands projets et consortiums bien conçus peuvent générer pour une économie nationale. Proche de la frontière wallonne / flamande, Sobelcomp peut bénéficier du puissant écosystème de ce dernier tout en jouant un rôle dans la renaissance de la Wallonie dans le secteur des hautes technologies. En outre, l'engagement de SNS en matière de transfert de technologie et d'expertise lui permettra de le soutenir sur le long terme: offrir une nouvelle installation de production de matériaux USV belge reflétant la capacité de construction future d'EDR. Ensemble, ils seront en mesure de répondre à la demande croissante d’USV dans le monde entier, à mesure que les marines de premier plan passeront progressivement à des systèmes sans pilote.

Source : seanavalsolutions.be

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MessageSujet: Re: Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1)   Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) - Page 60 EmptyMar 12 Mar 2019 - 18:49

Demain à 10h00, à la chambre, il y a une Commission de la Défense nationale :

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et deux député devraient poser des question sur "l'acquisition des nouveaux chasseurs de mines et des frégates" :

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MessageSujet: Re: Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1)   Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) - Page 60 EmptyMer 13 Mar 2019 - 9:52

Bonjour Olivier.

Ca "grenouille" fort, ces temps-ci...
Alors, que sortira-t-il de cette réunion, avec 2 ministres directement concernés ?
Amitiés.

Xavier

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MessageSujet: Re: Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1)   Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) - Page 60 EmptyJeu 14 Mar 2019 - 10:20

Voici le compte-rendu des questions/réponses concernant "l'acquisition des nouveaux chasseurs de mines et frégates" hier lors de la Commission de la Défense nationale à la Chambre :

Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) - Page 60 14_mar10

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Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) - Page 60 14_mar11
Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) - Page 60 14_mar12
Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) - Page 60 14_mar13

On est pas beaucoup plus avancé... sifflotte

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MessageSujet: Re: Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1)   Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) - Page 60 EmptyJeu 14 Mar 2019 - 12:44

https://twitter.com/navalnewscom/status/1106155026957955072

traduction google de l'article :

Citation :
L3 et EDR s'associent pour le programme belgo-néerlandais MCM (14.03.2019)

[b]La société américaine L3 Technologies est prête à transférer une technologie sans pilote déjà éprouvée au chantier naval belge Engine Deck Repair (EDR). Par le biais du consortium belge Sea Naval Solutions, EDR est désormais autorisé à intégrer les solutions de L3 dans sa proposition du programme MCM belgo-néerlandais.

Les technologies acquises au fil des ans par L3 au travers d'études et de la construction des premiers prototypes fonctionnels d'USV (drone de surface autonome) pour les marines française et britannique sont au cœur du transfert de connaissances entre L3 et EDR.

En décembre, L3 ASV, la division véhicules de surface autonomes du groupe, a lancé avec succès deux bateaux autonomes pour la lutte contre les mines (MCM) destinés à des essais en mer. Les navires font partie du programme anglo-français de lutte contre les mines maritimes (MMCM) dans le cadre duquel ASV fournit les navirmmes à Thales.

«Ce transfert de technologie permettra à EDR, en coopération avec Soblecomb (une société wallonne spécialisée dans les matériaux composites), de devenir un acteur majeur sur le marché des plates-formes autonomes», a déclaré "Sea Naval Solutions" dans un communiqué.

Les marines belge et néerlandaise remplaceront leur flotte vieillissante de navires MCM à partir de 2023. Les navires de classe tripartite ont été construits dans les années 1980 dans le cadre d'un programme trilatéral entre la Belgique, les Pays-Bas et la France. Dans le cadre du programme MCM, les deux marines ont l’intention d’acquérir 12 nouveaux navires, 10 «boîtes à outils» et un contrat de support initial d’une durée de 10 ans.

Trois entreprises communes de défense navale (appelées «combinaisons» par l’armée belge) participent au présent appel d'offres: SeaNavalSolutions (Thales, EDR, Chantiers de l’Atlantique et Socarenam); Belgium Naval & Robotics (Groupe Naval et ECA) et Damen Imtech Belgium.

Source : navalnews.com

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MessageSujet: Re: Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1)   Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) - Page 60 EmptyJeu 14 Mar 2019 - 19:48


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MessageSujet: Re: Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1)   Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) - Page 60 EmptyJeu 14 Mar 2019 - 20:20

Le journal économique flamand "De Tijd" confirme que c'est bien le consortium français "Naval & Robotics" (Naval Group et ECA) qui est en pôle position !!!

https://twitter.com/tijd/status/1106262240087273473

traduction google de l'article :

Citation :
Les Français en pole position pour les chasseurs de mines (14.03.2019)

Le consortium français du constructeur naval "Naval Group" et du spécialiste des drones maritimes "ECA" disposent des meilleurs papiers pour remporter le contrat de 2 milliards d'euros pour la construction de douze chasseurs de mines.

Le dernier dossier d'achat important pour l'armée sera à l'ordre du jour du conseille des ministres ce vendredi. Il implique la construction de douze nouveaux chasseurs de mines: six pour la marine belge et six pour la marine néerlandaise. Au total, le contrat représente environ 2 milliards d'euros. Le gouvernement néerlandais suppose déjà qu'une décision sera prise au plus tard le 16 avril, quarante jours avant les élections du 26 mai, selon une lettre de la secrétaire à la Défense néerlandaise, Barbara Visser, à la Chambre des représentants. Le ministre de la Défense, Didier Reynders (MR), n'a pas voulu répondre.

Selon des sources militaires et politiques, le consortium français Naval & Robotics est le meilleur choix parmi les évaluations. Il y a trois candidats. Outre Naval & Robotics, la société franco-belge "Sea Naval Solutions" et le groupe belgo-néerlandais "Damen-Imtech' ont également présenté une offre. La technologie des drones proposée pour la lutte contre les mines maritimes est cruciale dans les trois offres.

Compensations

Cette technologie de drone joue également un rôle important dans les propositions de compensation économique - dans le contexte des soi-disant intérêts de sécurité essentiels - formulées par les trois groupes. Le groupe Naval & Robotics a promis de développer un centre d’excellence pour l’action antimines, qui est déjà une spécialité de l’armée belge. En outre, Naval & Robotics souhaite collaborer avec des universités, des instituts de recherche et des PME belges, DotOcean, Space Applications, BATS et AKKA.

En outre, une usine de drones de 5 000 mètres carrés sera construite à Zeebrugge, où les drones sous-marins seront fabriqués et où des travaux de maintenance auront également lieu. Des accords de coopération ont déjà été signés avec près de 40 sociétés belges, dont la société "Flanders Ship Repair" à Zeebrugge, spécialisée dans la réparation de navires et les pièces industrielles. Le consortium estime le retour économique de l'économie belge à 2,1 milliards d'euros sur vingt ans. La rentabilité économique reviendrait à 50% en Flandre, 35% en Wallonie et le reste à Bruxelles. On parle de créer 350 nouveaux emplois.

Petite chose

Néanmoins, le monde des affaires flamand craint que la compensation économique ne redevienne une blague franco-wallonne après avoir précédemment opté pour le programme français Scorpion pour acheter près de 500 véhicules blindés pour 1,1 milliard d'euros.

Si Naval Group remporte le contrat pour les chasseurs de mines, cela signifierait que deux des trois grands dossiers d'achat de l'armée, pour lesquels le gouvernement Michel a mis de côté un peu moins de 10 milliards d'euros, iront en France. Dans les milieux flamands, on a entendu dire depuis un certain temps qu'il s'agirait d'un accord politique entre le Premier ministre Charles Michel et le président français Emmanuel Macron, après que les Français eurent raté le contrat relatif au nouvel avion de chasse. Le choix s’étant porté là-bas pour les F-35 de l’Américain Lockheed Martin.

Source : tijd.be

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MessageSujet: Re: Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1)   Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) - Page 60 EmptyJeu 14 Mar 2019 - 21:12

Les néerlandais encaissent mal le coup !

https://twitter.com/telegraaf/status/1106278269857468417

traduction google de l'article :

Citation :
Damen passe à coté des chasseurs de mines (14.03.2019)

La Haye - Le constructeur de navires néerlandais Damen a raté le contrat lucratif pour les nouveaux chasseurs de mines. La construction sera confiée à un consortium franco-belge, qui sera annoncé prochainement par le Conseil des ministres.

C'est une double perte pour les entreprises néerlandaises. Après tout: Thales, qui participait avec son système radar avec un consortium concurrent, n’est pas repris lui aussi.

Cela concerne le développement et la construction de 12 navires anti-mines pour les marines néerlandaise et belge. Les deux forces navales prennent chacune six systèmes, consistant en un vaisseau-mère de 90 mètres de long avec des drones Sous-marins, de surface et volants pour traquer les mines marines.

Résultat amer

Le choix d'un constructeur franco-belge n'est pas totalement surprenant, puisque la Belgique est en charge du projet. Néanmoins, le résultat est amer, bien sûr pour Damen et Thales qui manquent 2 milliards d’euros, mais aussi pour le gouvernement. Après tout, en novembre, ils nous ont expliqué solennellement comment l’industrie néerlandaise serait désormais prioritaire dans le cas d’ordonnances pour la défense de grande taille. "Et que voit-on? Le premier montant va à l’étranger », déclare une personne impliquée. L'amer supplémentaire, c'est que le constructeur franco-belge associe à peine les entreprises néerlandaises au projet.

La Belgique veut naviguer avec les nouveaux chasseurs de mines dès 2023. Dans notre marine royale néerlandaise, ils entrent en service un an plus tard. Les forces armées belges et néerlandaises collaborent étroitement lors de l’achat de nouveaux navires. En plus des chasseurs de mines, ils achètent conjointement quatre nouvelles frégates polyvalentes. Dans le cas d’un projet sous la direction des Pays-Bas, les 4 milliards d’euros collectés auraient probablement été vers Damen. Et c’est encore actuellement une bataille acharnée avec le français Naval Group pour la construction de quatre nouveaux sous-marins pour la marine néerlandaise. Naval Group fait partie du consortium gagnant pour les nouveaux chasseurs de mines.

La marine néerlandaise compte actuellement six chasseurs de mines classiques. À l'aide de sonars et de mini-sous-marins, ils fouillent la mer à la recherche de mines et autres explosifs et les rendent inoffensifs. Ils sont également utilisés pour la recherche d'épaves et de conteneurs disparus. Les navires datent des années 1980 et sont obsolètes.

Source : tijd.be

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MessageSujet: Re: Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1)   Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) - Page 60 EmptyJeu 14 Mar 2019 - 21:44

Là, je ne m'y attendais vraiment pas et je me demande bien qu'est-ce que c'est que cette offre imbattable !? hum scratch

marin barre

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MessageSujet: Re: Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1)   Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) - Page 60 EmptyJeu 14 Mar 2019 - 23:06

https://twitter.com/OlivierCollinet/status/1106314412795809792

traduction google de l'article :

Citation :
Naval Group et ECA Robotics favoris pour les chasseurs de mines belges (14.03.2019)

Le consortium Belgium Naval & Robotics, qui réunit les deux sociétés françaises Naval Group et ECA-Robotics, est le grand favori pour le remplacement des chasseurs de mines en Belgique et aux Pays-Bas, a appris L’Echo à bonne source.

Le géant étatique Naval Group (ex-DCN), constructeur notamment du porte-avions Charles de Gaulle et des frégates de combat françaises, est associé à son compatriote ECA-Robotics, filiale du groupe Gorgé, pour participer à la compétition visant à fournir douze navires de lutte contre les mines aux marines belge et néerlandaise (six pour chaque pays). Un contrat global de deux milliards d’euros appelé MCM (Mine Countermeasure Missions, MCM).

Le point est inscrit à l’ordre du jour de la réunion du kern (conseil des ministres restreint) de ce vendredi. Le gouvernement Michel avait annoncé vouloir prendre une décision sur ce dossier avant la fin de la législature, les militaires ayant de leur côté terminé l’évaluation des trois offres remises. Selon nos informations, Naval Group et ECA-Robotics ont fait la différence sur le plan financier. Le cabinet du ministre de la Défense, Didier Reynders, n’a pas donné suite à nos demandes de commentaires.
Un centre d’excellence

Les deux autres candidats à ce marché belgo-néerlandais sont, d’une part, un consortium baptisé SeaNavalSolutions, rassemblant les chantiers navals STX France et Socarenam, Thales Belgium et la firme anversoise Engine Deck Repair (EDR), et, d’autre part, le chantier naval néerlandais Damen Schelde, associé à la société Imtech België.

Sur le plan opérationnel, la proposition de Belgium Naval & Robotics est conçue autour d’un concept novateur, qui repose sur des navires-mères assez volumineux, équipés de manière modulaire et en fonction des missions de drones aériens et de surface. Ces derniers seront capables de lancer et de récupérer automatiquement des engins plus petits d’identification et de destruction des mines sous-marines.

Le volet économique de l’offre prévoit une stratégie d’investissement ambitieuse en Belgique, qui deviendrait un centre d’excellence industrielle dans la guerre des mines, déjà une spécialité des militaires belges. Ce plan repose notamment sur la création en Belgique de deux "labs", l’un consacré aux évolutions en matière de lutte contre les mines ("MCM lab"), l’autre dans le domaine de la cybersécurité maritime, tant civile que militaire.

Au total, Naval Group et ECA-Robotics se sont engagés, en cas de succès, à fournir des retombées économiques pour 2,1 milliards d’euros sur vingt ans. D’après le consortium, ces retours seront répartis à hauteur de 50% en faveur de la Flandre, de 35% pour la Wallonie et le reste à Bruxelles.

ECA-Robotics a indiqué qu’il entendait construire à Zeebruges une unité de 5.000 m2 pour la production des drones de surface et sous-marins qui équiperont les navires de nouvelle génération. Une usine qui prendrait en charge ensuite leur maintenance et l’éventuelle fabrication de versions pour l’exportation. Partenaire majeur du projet, le chantier Flanders Ship Repair assurera à Zeebruges 100% des activités de maintenance des douze navires. Quelque 39 accords de partenariat au total ont déjà été signés avec des entreprises belges.

Source : L'Echo

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MessageSujet: Re: Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1)   Comment seront nos futurs chasseurs de mines ? (Part. 1) - Page 60 EmptyJeu 14 Mar 2019 - 23:46

La Tribune a écrit:
Selon des sources belges proches du dossier, Jean-Yves Le Drian aurait appelé Didier Reynders en lui promettant le soutien de la France pour un poste de secrétaire général au Conseil de l'Europe. Un poste à plus de 30.000 euros défiscalisés par mois. Didier Reynders s'est déclaré en janvier candidat comme secrétaire général du Conseil de l'Europe, une fonction qui sera vacante le 1er octobre prochain. Ce qui pourrait rendre le dossier des chasseurs de mines un peu plus irrespirable...

bouh

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