P902 Libération

Bonjour,

Selon les infos: "sans doute un musée, selon une bonne source."



Georges (nain de jardin), oui, non, quoi

Voici les avants dernières photos du P902 Libération prisent à Zeebrugge dans le deuxième dock le jeudi 18 août 2011


Il est coincé contre le ponton et comme vous pouvez le voir, le "destoring" (enlèvement de l'inventaire) à déjà été exécuté.




@ suivre malheureusement

un musé d'un bateau encore en bon état domage, certe il y a des frais pour le maintenir a flot, mais il serait toujours plus utile sur l'eau en a sec. en plus il est magnifique à l'interieur meme si deja beaucoup de chose y manque, genre un barre,.....

A Jomoro.

A voir les photos actuelles de la vedette et la motorisation par des J. Deere j'en conclus que ce doit être la carène qui soi mal en point.
Et souvent cette oxydation vient de l'intérieur.
L'extérieur étant régulièrement sablé, repeint et pourvu d'anodes, résiste bien à l'eau environnante.
Il n'en est pas de même du côté intérieur où les tôles des bilges doivent résister à l'agressivité des huiles, fuel et graisses contenant des quantités minimes de souffre , qui se mélangeant à l'eau produisent des résidus sulfureux et sulfuriques trouant des tôles. H2So3 et H2So4. Ce phénomène est également fréquent dans les grands réservoirs de produits pétroliers ou cette action est appelée *Lochfrass* en allemand. J'en ignore le nom en français.

Que dire alors de penser à rendre opérationnel un navire comme l'Ougrée. Bon courage aux amateurs éventuels. Moi, j'ai déjà donné.

Le terme allemand *Lochfrass* de mon précédent post se traduit par *corrosion par piqûres*, en anglais: *pitting corrosion*

C'est encore moi.

L'industrie pétrolière connait bien le phénomène de la corrosion par piqûres dans les grands réservoirs aériens dont seul le fond ne peut être inspecté.
Pour contrôler la présence éventuelle de fuites vers le bas, ces réservoirs sont remplis d'au moins un mètre d'eau.
Ces liquides ne se mélangeant pas vu leur différence de densité, on mesure régulièrement la hauteur d'eau présente.
Si cette hauteur reste constante, le fond est étanche.
Dans le cas contraire on a le temps de transvaser le volume d'hydrocarbures avant une pollution éventuelle.

van Kasteren Carlo a écrit:

A Jomoro.

A voir les photos actuelles de la vedette et la motorisation par des J. Deere j'en conclus que ce doit être la carène qui soi mal en point.
Et souvent cette oxydation vient de l'intérieur.
L'extérieur étant régulièrement sablé, repeint et pourvu d'anodes, résiste bien à l'eau environnante.
Il n'en est pas de même du côté intérieur où les tôles des bilges doivent résister à l'agressivité des huiles, fuel et graisses contenant des quantités minimes de souffre , qui se mélangeant à l'eau produisent des résidus sulfureux et sulfuriques trouant des tôles. H2So3 et H2So4. Ce phénomène est également fréquent dans les grands réservoirs de produits pétroliers ou cette action est appelée *Lochfrass* en allemand. J'en ignore le nom en français.

Que dire alors de penser à rendre opérationnel un navire comme l'Ougrée. Bon courage aux amateurs éventuels. Moi, j'ai déjà donné.

Carlo le libération a reçus a nouveau revêtements de coque il y as déjà quelques années s'est pour cela qu'il n'as plus de boudins de protection le long de la coque a été recouvert d'une espèce d'epoxy mais comme tu le dis s'est de l'intérieur des cales qu'il pourris faut un budget de +-80.000€ POUR LES REFAIRES

Citation :

La Marine retire son plus ancien et petit navire, la vedette "Libération" (23.09.2011)

La Marine a décidé de retirer du service son plus petit - et plus ancien - bâtiment, la vedette fluviale "Libération", connue pour ses campagnes de recrutement et de relations publiques sur les fleuves, rivières et canaux belges, a-t-on appris mardi de sources militaires.

Le P902 "Libération", construit en Allemagne en 1954, a subi en début d'année un entretien majeur. Mais on a jugé à cette occasion que sa remise en état s'avérait trop onéreuse et donc économiquement non justifiée pour l'usage qui en était fait.

Elle a dès lors été retirée du service et est depuis amarrée à un quai de la base navale de Zeebruges dans l'attente d'une décision sur sa destination finale - sans doute un musée, selon une bonne source.

Le "Libération" a sillonné durant plusieurs décennies les cours d'eau belges et même étrangers comme ambassadeur itinérant de la Force navale puis, depuis 2001, de la composante maritime pour faire connaître la Marine, notamment auprès du public francophone.

Servie par un équipage de cinq personnes (un sous-officier et quatre matelots), elle mesure 26 mètres de long et quatre de large, avec tirant d'eau d'un mètre lui permettant de naviguer sur de nombreuses rivières. Dotée de deux moteurs diesel John Deere de 236 chevaux, elle a parcouru plus de 250.000 kilomètres depuis son entrée en service. Sa marraine est la commune de Floreffe.

Elle est la dernière survivante de sa classe de dix vedettes construites en Allemagne entre 1953 et 1954 pour patrouiller sur le Rhin.

Source : rtbf.be/info/la-marine-retire-son-plus-ancien-et-petit-navire-la-vedette-liberation

bonsoir a tous
quelques photos de la liberation de passage a jambes (je sais plus la date desoler)