Quel est ce phare ?

SCHOETERS CHRISTIAN a écrit:

Jean Luc
Voir Mp
je laisse jouer

Donc Christian connaît l'ile du G..... R......  
Savoir de quel ile .....et vous aurez le nom du phare .

Je laisse aussi jouer.

Vite, vite, vite...
Le Grand Rouveau ?

Xavier

"Menphis Bell"...
Personnellement, j'ai buté sur le "Mary Ann" du Squadron 90.
Fatale erreur.

Xavier

c'est l'énigme de J-L
il donnera la réponse René

Et le yo-yo est cette fois pour XAVIER, c'est bien le phare du Grand Rouveau!! Bravo,
Il est érigé  en 1861 à o-n-o de l'île des Embiez, en 1965 il y a eut l' échouage du Maria Sylva gargo transportant des plaques de marbre . A l'époque, grâce à l'aide des gardiens, l'équipage a pu être sauvé,et la cargaison récupérée. et à cause ddes tempêtes d'hiver, le navire s'est disloqué,et gît par 10 à 20 mètres de fonds au pied du phare.
coordonnées géo. du phare: 43°04'87'' N et 05°46'12''E.  Hauteur de la tour 17,5 mètres, et 47,90 mètres au dessus du niveau de la mer.éclairage par lampe halogène 90W feu blanc à 2 occultations 6 s. portée 15 milles.

Bravo aussi à Laurent qui était presque juste! et merci à Christian et René d'avoir laissé jouer!

Le phare du Grand Rouveau se situe sur l'île du Grand Rouveau de l'archipel des Embiez et fait partie de la commune de Six-Fours-les-Plages, dans le Var.
Il signale le mouillage du Brusc et l'entrée des ports de Bandol.
Le phare est télécontrôlé par la station de Porquerolles, non gardienné et non visitable.






Du haut de ses huit mètres elle semble dominer la mer et attise les curiosités. Dans la passe entre l'île des Embiez et l'île du Rouveau se dresse la Casserlane.Une balise édifiée au début du XXè siècle pour signaler une zone dangereuse après la tragédie du torpilleur 102, le 1er mars 1889. Ce jour là une escadrille sortie le matin de Toulon pour évoluer en baie de Sanary s'engage dans la passe. Il est 16 heures lorsque le vaisseau commandé par le Lieutenant Shilling touche un rocher et coule par 27 m de fond. Deux marins périrent : l'ouvrier-mécanicien Louis La Heurte et le 2e maître timonier Jean-Marie Lorach, inhumés dans le vieux cimétière de Six-Fours. Cette tour creuse et rouge à l'origine a été baptisée par les bruscains «La Carotte».


« Notre baromètre »
Avant de larguer les amarres les pêcheurs jetaient toujours un dernier regard vers la tour. «C'était notre baromètre», confient-ils. Explications : «Si au pied de la carotte l'écume est blanche c'est mauvais temps. Si l'écume "l'encapelle" c'est la tempête». Dans chaque pêcheur bruscain il y a un conteur qui sommeille. Ainsi est née la «légende du cordonnier». Vincent Masséna, conteur émérite n'est pas avare en explications «Un jour un touriste voyant sortir un pêcheur pieds nus de la carotte lui demande, où sont vos chaussures ? L'homme répliqua sur le ton de la galéjade. C'était un patron-pêcheur dégouté de la vie. Il avait élu domicile à la Casserlane. Comme il fallait bien manger et qu'il était un peu cordonnier, dans son ermitage il réparait les souliers. Ne voulant plus voir personne, les marins, ses amis d'autrefois, laissaient leurs chaussures au pied de la tour et les reprenaient réparés le lendemain». Les touristes étonnés des pieds nus des pêcheurs obtenaient toujours la même réponse «Les chaussures sont à réparer à la carotte». Depuis la Casserlane a été repeinte en jaune et noir. Elle rappelle que la passe reste dangereuse, mais la légende fait toujours parler d'elle.

Merci à Laurent qui m'a bien aidé avec "Sanary".
Bonne soirée à tous.

Xavier

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