Vendée Globe 2016-2017

Le départ du Vendée Globe 2016-2017 est prévu à 13h02, ce dimanche 6 novembre

 Et ce sur fr3

L O Pour ceux que cela intéresse possibilité de suivre la progression des voiliers en temps (presque) réel.
go to    http://www.ouest-france.fr/vendee-globe/vendee-globe-positions-et-classements-en-temps-reel-4593949
Position de 1700 GMT où pour les puristes UTC (temps universel coordonné!! what a  name)



Salut 

Actualité
Le Marion Dufresne au secours d’un skipper du Vendée Globe


Heureusement qu’il était dans ce coin des quarantièmes sud, où presqu’aucun navire ne croise jamais. Dans la journée d’hier, le Marion Dufresne, navire ravitailleur des Terres Australes et Antarctiques Françaises, a reçu un appel du CROSS Gris-Nez lui demandant de se dérouter pour porter secours à Kito de Pavant, engagé dans le Vendée Globe avec son IMOCA 60 pieds Bastide Otio.

Le skipper a subi une avarie majeure après être entré en collision avec un objet flottant non identifié dans la matinée, alors qu’il se trouvait à 110 milles au nord de l’archipel des Crozet. Le choc a été particulièrement violent. « Le palier arrière de la quille a été arraché. La quille pend sous le bateau simplement tenue par le vérin de quille qui est en train de cisailler la coque... Le puits de quille est arraché, il y a une grosse voie d'eau à ce niveau mais contenue pour le moment au compartiment moteur. Actuellement il y a 40 nœuds de vent et 5 à 6 mètres de creux sur zone. Le bateau est arrêté. J’ai affalé la grand-voile pour que ça gîte moins. La situation est stabilisée pour le moment. Le matériel de survie est à côté de moi. Il va falloir venir me chercher », disait le skipper après la collision.


La direction de course du Vendée Globe a alors alerté le CROSS Griz Nez, compétent pour la coordination des secours aux navires français dans le monde entier. Celui-ci a rapidement pris contact avec le Marion Dufresne, qui se trouvait à 110 milles dans le Nord du voilier. Le navire a appareillé il y a quelques jours de La Réunion pour OP3, la troisième opération annuelle de ravitaillement des archipels subantarctiques de Crozet, Kerguelen et Saint-Paul-et-Amsterdam.

Dès l’alerte reçue, l’équipage a immédiatement modifié la route pour venir au plus vite au secours du naufragé. Dans des conditions de mer difficiles, il a rallié le voilier en une dizaine d’heures. Arrivé sur place dans la soirée, il devait attendre le levé du jour pour entreprendre la récupération Kito de Pavant.

Ce n’est pas la première fois que le Marion vient à l’aide d’un skipper du Vendée Globe. En 2008, il avait déjà aidé Bernard Stamm en détresse près de Kerguelen. En dehors des navires de l'administration des TAAF, des frégates de la Marine nationale en patrouille et des bateaux pêchant la légine, personne ne fréquente ces eaux du sud de l'Océan Indien. De même aucun aéronef n'a l'autonomie suffisante pour effectuer des recherches dans cet immense espace éloigné de tout moyen de sauvetage.

Deux autres skippers du Vendée Globe, Sébastien Josse (Edmond de Rotschild) et Romain Attanasio (Famille Mary-Etamine du Lys) sont également en difficultés dans la zone. Le premier fait le dos rond dans une dépression très au sud avec un foil ayant subi des gros dégâts, le deuxième fait route vers le Cap avec deux safrans endommagés.

Situation de la course pour ceux intéressés

Par Ouest-France

Alex Thomson (Hugo Boss) reprend du terrain sur Armel Le Cléac'h (Banque Populaire)

 ! Cette nuit encore le Gallois a grappillé sur le Breton et est actuellement le plus rapide de la flotte. Le match se poursuit entre les deux skippers, en tête du Vendée Globe depuis un moment déjà. Ce 50e jour marque également l’arrivée d’une météo capricieuse pour les deux leaders de la course. De son côté, Jérémie Beyou avance vers le cap Horn qu’il devrait franchir ce mardi.
À la fin du 50e jour de course du Vendée Globe depuis le départ des Sables-d’Olonne, la glorieuse incertitude du sport est de mise en tête de course : Alex Thomson (Hugo Boss) a comblé la moitié de son retard sur Armel Le Cléac'h (Banque Populaire), pour revenir à 432 milles ce matin. Pour faire simple, c’est l’équivalent en ce moment d’une journée de mer pour Alex Thomson, alors qu’il est passé au cap Horn avec deux jours de retard sur Armel Le Cléac’h. Cela donne une idée assez précise de la fragilité des écarts et illustre bien le propos du leader quand il répète que « rien n’est joué ». Les supporters du Breton se rassurent en faisant justement remarquer qu’après tout ce dernier a quasiment la même marge sur son dauphin que voilà une semaine. Les fans du Gallois préfèrent zoomer sur les dernières 48 heures qui lui ont été très favorables.

Ce qui est certain c’est que de part et d’autre des Malouines, (Le Cléac'h 130 milles dans le Nord-Est de l’archipel / Thomson 230 milles dans le Sud-Ouest) il y a match entre les deux grands animateurs de la course. D’autant que la situation météo à venir est (très) complexe. Si aujourd’hui et demain les écarts ont toutes les chances de faire le yo-yo - avec Le Cléac’h dans le nord d’une dépression et Thomson dans le Sud de ce même phénomène – les jours suivants paraissent bien compliqués car il n’y a que très peu de vent devant leurs étraves dans la remontée de l’Atlantique Sud. Il n’y en a pas beaucoup non plus le long des côtes d’Amérique du Sud et il faut aller en chercher dans l’Est… mais pas trop car il faut aussi respecter la Zone d’Exclusion Antarctique.
Jérémie Beyou (Maître Coq), lui, n’a pas encore à se poser ce genre de question. Il fonce vers le cap Horn qu’il devrait doubler demain en milieu de journée avec peu ou prou deux jours de retard sur Alex Thomson et quatre sur Armel Le Cléach, mais avec une avance encore relativement confortable sur Jean-Pierre Dick (Saint-Michel-Virbac). Si celui-ci va très vite ce matin - pointes à 22 nœuds - il a tout de même 840 milles de retard sur Maître CoQ. Jean-Pierre Dick a aussi pris de la marge sur Yann Eliès (Quéguiner-Leucémie Espoir) et Jean Le Cam (Finistère Mer Vent) qui sont désormais environ 250 milles dans son sillage. Du 7e au 9e, tout va bien pour Louis Burton (La Mie Câline) qui poursuit sa course remarquable à 15 nœuds dans un flux de Nord, bien calé le long de la ZEA ; puis pour le Hongrois Nandor Fa (Spirit of Hungary, 8e) dans un régime de Sud-Ouest. Le Néo-Zélandais Conrad Colman (Foresight Natural Energy), lui, ne doit pas traîner en route pour rester le plus possible en avant de la grosse tempête attendue au Sud de la Nouvelle-Zélande, mais il est bien parti pour que ce soit effectivement le cas.

Tracking Vendée Globe 2016-2017
tracking2016.vendeeglobe.org/x6hz61


Rencontre avec un bateau de la marine nationale pour Armel Le Cléac'h / Vendée Globe

J25 : Rencontre avec un bateau de la marine... par VendeeGlobeTV

Sébastien Josse croise la route de la Marine Nationale

J27 : Sébastien Josse croise la route de la... par VendeeGlobeTV

Position
Nom
Bateau
Retard sur le premier (en milles)
1
Armel Le Cléac'h
Banque Populaire
-
2
Alex Thomson
Hugo Boss
589.58
3
Jérémie Beyou
Maître Coq
1430.80
4
Jean-Pierre Dick
St-Michel-Virbac
1924.55
5
Yann Eliès
Quéguiner - Leucémie Espoir
2185.14
6
Jean Le Cam
Finistère Mer Vent
2199.93
7
Paul Meilhat
SMA
2346.23
8
Louis Burton
Bureau Vallée
3505.95
9
Nandor Fa
Spirit of Hungary
4192.44
10
Conrad Colman
100 % Natural Energy
4756.13

situation actuelle

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Vendée Globe. Armel Le Cléac'h continue de perdre du terrain
Modifié le 28/12/2016 à 07:03 | Publié le 28/12/2016 à 07:02 - 0
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Le leader Armel Le Cléac'h continue de perdre du terrain sur Alex Thomson dans cette course du Vendée Globe. | Photo : Vendée Globe
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par Maxime LE LAY

Rien n’est simple pour le leader du Vendée Globe, Armel Le Cléac'h (Banque Populaire), en ce moment. Le Breton affiche des moyennes de vitesse inférieures à Alex Thomson (Hugo Boss), son plus proche poursuivant, et la météo ne l’aide pas à retrouver de l’allant. De ce fait, le Gallois grappille petit à petit des milles sur Le Cléac'h. Derrière, c’est tout aussi difficile pour le peloton avec des conditions météos pas évidentes pour certains des skippers.
La course du Vendée Globe se poursuit après plus de 50 jours de course, et le duel entre Armel Le Cléac'h (Banque Populaire) et Alex Thomson (Hugo Boss) est toujours aussi passionnant. Alors que le Breton disposait d’une avance de plus de 800 milles il y a encore quelques jours après avoir franchi le Cap Horn, celle-ci a considérablement fondu. La faute à une météo moins clémente et un vent moins présent que pour le Gallois, qui affiche des moyennes de vitesses supérieures.

De plus Alex Thomson profite d’une dépression australe qui le porte et lui permet de continuer à grappiller des milles sur Banque Populaire, qui reste dans une zone à haute pression en avançant dans le Nord. Le leader breton va donc devoir optimiser sa trajectoire dans les prochains jours et espérer accrocher l’anticyclone au large du Brésil. Le rapprochement entre les deux n’est pas près de s’arrêter !
Météo difficile en Nouvelle-Zélande
De son côté, le troisième larron de la tête Jérémie Beyou (Maître Coq) vient juste de franchir le Cap Horn. Moins rapide que les deux premiers, le Français va se raccrocher à un flux modéré d’Ouest au large du détroit de Lemaire et optimiser sa vitesse. Des conditions plus paisibles que pour le peloton de la flotte, surtout au large de la Nouvelle-Zélande.
Présents en nombre (six exactement), les skippers du Vendée Globe voient venir des vents tempétueux avec des rafales à plus de 70 nœuds, au Sud-Est de la Nouvelle-Zélande. Actuellement, aucun navigateur n’est présent dans cette zone. Ces six skippers (Bellion, O’Coineen, Roura, Boissières, Wilson et Amadéo) qui patientent depuis maintenant quelques jours vont profiter d’un flux modéré de Sud-Ouest.

Le Français, en tête du Vendée Globe depuis un mois et demi, est attendu en grand vainqueur par la foule vendéenne, jeudi vers 16h30.

Il est arrivé  félicitations
Armel Le Cléac'h a franchi la ligne d'arrivée en vainqueur à 16h37 aux Sables d'Olonne, ce jeudi
16:44 : C'est fait ! A 16h37, le skipper de Banque Armel Le Cléac'h a bouclé son tour du monde en solitaire. Il aura passé 74 jours 3 heures 35 minutes et 46 secondes en mer

L'ESSENTIEL EN DIRECT
Après 74 jours de course, Armel Le Cléac’h est tout proche de décrocher le Graal. En tête du Vendée Globe depuis un mois et demi, le Français de 39 ans devrait franchir la ligne d’arrivée jeudi à 16h30, selon les dernières estimations.

Les infos à retenir :
Armel Le Cléac’h devrait arriver aux Sables-d’Olonne vers 16h30, selon les dernières estimations
Avec 74 jours de course, il battrait un nouveau record
Son principal poursuivant, Alex Thomson, devrait arriver au beau milieu de la nuit, vers 4 heures du matin

Un rêve sur le point d'être accompli. Après avoir terminé deux fois deuxième, Armel Le Cléac'h va enfin pouvoir se débarrasser de cette image du Poulidor de la voile qui lui colle à la peau, en remportant son premier Vendée Globe. À 15 heures, il n’était plus qu’à 24,5 milles de l'arrivée (45,37 km), loin de son poursuivant immédiat, le Gallois Alex Thomson (pointé à 104,9 milles soit 194,27 km) avec qui il était encore au coude à coude il y a quelques heures.
Le Cléac'h à 16h30, Thomson dans la nuit. Le skipper breton devrait arriver en champion aux alentours de 16h30 sur la côte vendéenne. Il devra cependant attendre 18h15-18h30 pour emprunter le chenal du port, en raison de la marée. Alex Thomson, handicapé par l'absence de l'un de ses foils sur son bateau Hugo Boss, bénéficie de conditions de vent peu favorables. Il devrait toucher au but avec douze heures de retard sur le leader, vers 4 heures du matin. Et ne sera pas, donc, le premier étranger à remporter le Vendée Globe. En tout cas pas cette fois.


Record en vue. Parti le 6 novembre à bord de son monocoque Banque Populaire VIII, Armel Le Cléac’h, sauf accident, battra ainsi un nouveau record de 74 jours de course autour du monde. C’est quatre de mieux que le temps de référence établi par François Gabart en 2012/2013 (78 j 2 h 16 min). 
De la houle à la foule. Père de deux enfants, Le Cléac’h sera forcément accueilli en héros aux Sables-d’Olonne. Quelque 350.000 personnes sont attendues pour son arrivée. Un moment qui s'annonce intense et chargé en émotions, malgré le grand froid.

la boucle est bouclée...

comme dans toutes compétitions il y a un dernier
l'essentiel c'est de participer

comme dans toutes compétitions il y a un dernier
l'essentiel c'est de participer  
il en a bavé