Recherche du sous-marin argentin disparu: les news (1)

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Bonjour Olivier.

Les relations entre le président Macri et Vladimir Poutine sont au beau fixe...
Nous y voilà (peut-être...).
Amitiés.

Xavier



PS : je n'arrive toujours pas à saisir les mouvements du "Yantar " ; aurait-il arrêté sa balise ?
      Par contre, que de bateaux de pêche, dans le coin.

@Xavier MONEL a écrit:

PS : je n'arrive toujours pas à saisir les mouvements du "Yantar " ; aurait-il arrêté sa balise ?
      Par contre, que de bateaux de pêche, dans le coin.

Xavier, le Yantar donne sa position mais son nom n'apparait pas (juste "Sat-ais"), alors c'est le navire (tugs & special craft) le plus à droite de tous le groupe des pécheurs, filtre les types de navires et ne garde que les verts (tugs & special craft) et tu le trouveras facilement sur la carte en face de Comodoro Rivadavia :

#ARASanJuan Aujourd'hui a été publié dans le Journal officiel, la résolution du ministère de la défense la résolution 131-E/2018 plus les spécifications requises pour les entreprises et les personnes qui souhaitent entrer dans la "recherche par récompense" du sous-marin Ara San Juan :

https://twitter.com/DaniMColu/status/963792886444843015

traduction google :

clic pour voir la Résolution:

Source : boletinoficial.gob.ar

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Bonsoir Olivier

Bon ; et bien, les "grandes manoeuvres" vont commencer.
Gare aux requins...
Amitiés.

Xavier

"Seul le Yantar est visible dans la zone de recherche. J'ai inclus un visuel avec une piste de 3 jours. Tout semble assez normal là-bas."

https://twitter.com/MikeChillit/status/963778350190907392

Voici les modalités requises pour les entreprises et les personnes qui souhaitent entrer dans la "recherche par récompense" du sous-marin Ara San Juan :

Citation :

Référence: Emplacement et identification du sous-marin A.R.A. SAINT JEAN

Selon la communication officielle demandée NO - 2018-06444867-APN-SSSLD # MD, je suis d'avis que, afin d'obtenir une preuve complète / preuve de l'emplacement et de l'identification du sous-marin A.R.A. SAN JUAN, les informations suivantes devraient être requises:

1. Rapport des spécifications techniques de l'équipement et des instruments utilisés pour la localisation et l'identification du sous-marin.
2. Données brutes obtenues avec l'instrumentalisation utilisée pour la localisation du sous-marin, avec rapport des paramètres d'enregistrement, l'organisation et le format des données et des applications requises pour le traitement.
3. Données traitées, avec rapport de la séquence de traitement et des applications respectives utilisées pour chaque type de collecte de données; du format et de l'organisation des données traitées et des applications nécessaires à leur visualisation et à leur gestion.
4. Cartes bathymétriques de l'emplacement général et particulier; mosaïques d'images échographiques du fond marin; Images 3D du sous-marin à partir de différents points de vue; Carte et profils magnétiques du sous-marin trouvé. Corrélation de toutes les données qui confirment la localisation du sous-marin.
5. Vidéos, photographies et mosaïques photographiques géo-référencées, permettant l'identification sans équivoque du sous-marin.
6. Rapport complet de la recherche.

Source : ANEXO IF-2018-06477012-APN-SHN#MD

Le Yantar est au boulot dans une zone avec environ 1.100 mètres de profondeur :

https://twitter.com/MikeChillit/status/964043881724641280

https://twitter.com/clarincom/status/963886839416442880

traduction google de l'article :

Citation :

Sous-marin ARA San Juan: 5 doutes et 5 certitudes trois mois après la tragédie (14.02.2018)

Malgré la recherche intense, il n'y a toujours aucun indice quant à l'endroit où le sous-marin et ses 44 membres d'équipage peuvent être.

90 jours après la disparition de l'ARA San Juan, et malgré l'intense recherche internationale déployée dans les eaux de l'Atlantique Sud, le sort du sous-marin et de ses 44 membres d'équipage demeure un mystère.

Alors que Enrique Balbi, le porte-parole de la Marine, a offert pendant des semaines des rapports quotidiens sur l'opération de recherche et a donné des détails sur l'entretien du navire et de ses dernières communications, il y a plusieurs points qui, selon les experts consultés par Clarin ne sont pas encore claires et générent des doutes.

Qu'est-ce qui est connu ?

Le navire et son équipage. L'ARA San Juan, un sous-marin de fabrication allemande qui servait dans la marine argentine depuis 1985, a disparu le 15 novembre avec 44 personnes à son bord: 43 hommes et une femme. Le submarine naviguait d'Ushuaia vers Mar del Plata.

Dernière communication. Dans le message, daté à 08h52 le 15 Novembre et signé par le capitaine Claudio Javier Villamide, il a mis en garde contre un « court-circuit et un début d'incendie dans le balcon de la barre de batteries » en raison de « l'entrée d'eau de mer à travers le système de ventilation ".

L'explosion à bord. Le 23 novembre, la Marine a reconnu un «événement anormal, singulier, court, violent et non nucléaire, compatible avec une explosion», détecté par les capteurs de l'Organisation du Traité d'interdiction complète des essais nucléaires.

La recherche dans la mer. La Marine - soutenue par une coalition de 12 pays dotés d'une technologie de pointe - a déployé une opération intense de recherche dans une zone de 40 kilomètres autour de l'endroit où l'explosion aurait été détectée. Des dizaines de contacts ont été trouvé, mais tous ont été rejetés: la plupart étaient des épaves de navires coulés.

L'enquête judiciaire. Le juge fédéral, Marta Yáñez, est restée en charge de l'affaire parce que tant la dernière communication du San Juan que la supposée explosion enregistrée à bord se sont produit dans des eaux de la Mer Argentine qui est sous sa juridiction. Le magistrat a déjà commencé à prendre les déclaration des témoins.

Quels sont les doutes ?

L'état du navire Lors d'audits réalisés entre 2015 et 2016 par le ministère de la Défense et le Syndicat général de la Nation, des "irrégularités" dans l'achat direct des batteries de l'ARA San Juan avaient été alertées. Ils ont constaté que la Marine n'aurait pas respecté les normes requises pour la réparation à demi-vie du navire.

Les raisons de l'explosion. Bien que le commandant du San Juan ait signalé un court-circuit et un début d'incendie dans les batteries par l'entrée d'eau dans le système de ventilation, les vraies raisons de l'explosion alléguée ne pourront être déterminées qu'après avoir trouvé les restes du sous-marin. .

Le retard dans l'urgence. Les membres des familles ont remis en question qu'il avait attendu 36 heures pour commencer à chercher le sous-marin, considérant qu'il avait signalé un début d'incendie et que la communication avec lui avait été complètement perdue.

La mission. La Marine a signalé que l'ARA San Juan effectuait des tâches de patrouille sur le plateau continental. Cependant, le juge Yáñez a expliqué qu '"il existe des informations très sensibles" à cet égard et que la mission était "un secret d'Etat". Et la documentation a été divulguée au sujet d'une supposée observation d'un sous-marin nucléaire britannique, alors réfutée par le gouvernement.

La zone de recherche. L'opération s'est concentrée sur une zone de 40 kilomètres autour de l'endroit où "l'anomalie électroacoustique" a été détectée. Ce secteur énorme a été ratissé plus de deux fois, sans succès. Mais, bien que les parents et les experts demandent à étendre la recherche au nord, les navires de la Marine continuent à vérifier le même endroit.

Source : clarin.com

dernière position du Yantar

https://twitter.com/MikeChillit/status/964061388514742272

Le Yantar n'est pas très loin des pêcheurs chinois

https://twitter.com/MikeChillit/status/964067965120450560

Petit rappel de ce qui s'est passé...

Un article très intéressant du 21 janvier dans lequel on reparle d'aller chercher dans les fameux canyons sous-marin :

https://twitter.com/clarincom/status/963886839416442880

traduction google de l'article :

Citation :

La nouvelle stratégie pour la recherche de l'ARA San Juan: les sociétés de location de "cazafortunas" (chasseurs de trésors) (21.01.2018)

La marine analyse les prix demandés par cinq entreprises pour remplacer l'aide étrangère. Maintenant, ils veulent fouiller les canyons sous-marins de la pente continentale et offre de facturer 7 millions de dollars seulement si le sous-marin est trouvé.

Deux mois après la disparition du sous-marin ARA San Juan, la marine argentine a décidé de changer sa stratégie de recherche: elle a commencé à évaluer un plan alternatif au cas où le soutien des forces militaires étrangères dans l'Atlantique Sud se terminerait.

L'espoir, apparemment, est centré dans les soi-disant canyons maritimes où le navire aurait pu tomber après l'explosion. Dans la zone de recherche de l'ARA San Juan, les canyons ont une longueur moyenne de 120 kilomètres et de nombreux affluents peuvent atteindre jusqu'à 50 kilomètres, d'après une source du Service d'hydrographie navale qui a expliqué au journal Clarín.

Pour cette raison, la Marine promeut l'embauche d'une entreprise privée qui a la technologie pour faire ce type de recherche dans les "cañadones" (canyons) de l'Atlantique Sud, surement après le retrait du navire russe Yantar.

Celui-ci est est le seul qui soit resté - en raison de l'ampleur - de la coopération internationale déployée en novembre et décembre, et qui dispose de l'équipement nécessaire pour chercher dans ce site. Le véhicule sous-marin guidé à distance (ROV) du Yantar peut atteindre une profondeur jusqu'à 6000 mètres.

Ce week-end, le Yantar a trouvé deux nouveaux contacts et a fait un nouvel effort d'identification. Bien que l'on ignore la durée de la coopération russe, il est déjà prévu de le remplacer.

C'est pourquoi une course a été lancée parmi les entreprises privées qui ont pu participer à cette nouvelle étape, dont une qui cherche des trésors marins et qui dispose d'une technologie de pointe.

Il sera nécessaire que l'entreprise privée à embaucher dispose d'un bateau sonar et d'un mini sous-marin capable de plonger à cette profondeur. La Marine n'a pas ce type de technologies de recherche à la fine pointe de la technologie.

Dans le monde, seulement 20 pays ont des sous-marins de guerre et parmi eux, seuls les Etats-Unis, la Russie, l'Angleterre et d'autres ont des équipes de secours de sous-marins.

Selon le porte-parole de la marine, Enrique Balbi, le ministère de la Défense évalue déjà le budget de cinq entreprises privées. L'idée est que la société gagnante d'un concours fermé ou d'un appel d'offres, selon les dispositions de la loi pour ce type de crise, effectue sa propre recherche sur la base de toutes les informations recueillies par différents navires lors de l'opération internationale.

L'opération internationale, bien qu'elle ait échoué, a laissé plusieurs indices. En outre, les canyons sous-marins vont sans doute étendre la recherche "un peu plus au nord" à cause de la possibilité minimale que l'anomalie hydroacoustique ne soit pas le San Juan et s'est déplacée de quelques kilomètres plus au nord avant l'accident, a indiqué une Source de la défense. Au cours de la campagne internationale de recherche, 54 objets métalliques ont été détectés au fond de la mer qui n'étaient pas le San Juan.

Le gouvernement a déjà dépensé 500 millions de pesos dans l'opération de sauvetage et, selon de hautes sources du ministère de la Défense, ils continueront à "investir tout ce qui est nécessaire à la recherche", comme le prétendent les proches des 44 victimes. Un sous-marin conventionnel, tel que le San Juan, résiste à une profondeur de 700 mètres et sa structure s'effondre en raison de la pression de l'eau. L'épaisseur de la coque du San Juan mesure environ 5 centimètres mais à plus de 700 mètres avec la pression elle commence à se fissurer.

Les budgets reçus vont de "2 à 7 millions de dollars américains". L'une des entreprises participantes, par exemple, est l'Amérique du Nord "Infinity Ocean" qui a facilité le robot utilisé par les navires militaires américains. Ocean Infinity, qui dispose d'une technologie de pointe, a déjà trouvé des trésors marins et cherche maintenant l'avion manquant du vol MH370 de Malaysia Airlines dans l'océan Indien et pourrait seulement venir à l'Atlantique Sud en mai ou juin.
Dans les sources militaires, il est indiqué qu'il a proposé de ne rien prélever à l'avance mais qu'il «prendrait 7 millions de dollars seulement s'il le trouvait», comme le font les chasseurs de fortunes de la mer.

Source : eltribuno.com

Salut a tous
C'est dégueulasse de se sucrer sur la mort de ces marins

@SCHOETERS CHRISTIAN a écrit:

Salut a tous
C'est dégueulasse de se sucrer sur la mort de ces marins  

Absolument Christian, mais sans promesse de pognons il n'y aura personne pour le chercher

Et ce sont les familles de l'équipage elles-même qui ont demandait pour cette promesse de récompense à celui qui le trouvera !