Recherche du sous-marin argentin disparu: les news (1)

@Xavier MONEL a écrit:

PS : As-tu vu ; on vient de retrouver un U-Boat, au fond du lac Ontario, et on l'aurait ramené à la surface...
      Quid, de notre soum ?...

Bonjour Xavier,

Non, je n'ai rien vu, est-ce que tu as un lien vers l'info ?

https://twitter.com/dipbonaerenses/status/967369575322054657

traduction google de l'article :

Citation :

ARA San Juan: les parents ont lancé une collecte pour embaucher des navires pour continuer la recherche (24.02.2018)

Ils ont diffusé un avis sur les réseaux sociaux. L'intention est de lever des fonds pour embaucher des navires à la pointe de la technologie. La décision est intervenue après que le gouvernement national a décidé de suspendre l'appel d'offres pour les entreprises privées et de donner la priorité à la récompense offerte à ceux qui trouvent le navire.

Les proches de l'équipage de l'ARA San Juan dans la ville de Mar del Plata, ont lancé une collecte dans le but de louer des navires pour continuer la recherche du sous-marin qui a disparu il y a plus de trois mois.

La décision des membres de la famille de l'équipage a eu lieu après que le gouvernement national a décidé de suspendre l'appel d'offres pour les entreprises privées et de donner la priorité à la récompense offerte à ceux qui trouvent le navire.

Grâce aux réseaux sociaux, un avis contenant toutes les informations et un compte bancaire dans lequel l'argent peut être déposé pour collaborer a été diffusé.

"Nous cherchons la vérité et vous pouvez nous accompagner. Nous levons des fonds pour embaucher des navires dotés d'une technologie de pointe », peut-on lire dans l'appel.

"Parce que nous voulons continuer à chercher, parce que nous n'allons pas nous arrêter, avec un petit don nous faisons un grand pas", ont souligné les proches.



Source : diputadosbsas.com.ar

Pourquoi rester sur une zone ou il n'y a rien et ne pas investiguer autre part
les pècheurs chinois le trouverons peut être!!!!

https://twitter.com/nicholasharvey/status/968019130208137216

traduction google de l'article :

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ARA San Juan: les parents ont lancé une collecte pour une nouvelle recherche (24.02.2018)

Les proches des 44 membres d'équipage d'un sous-marin argentin perdu ont commencé à lever des fonds pour le rechercher en privé.

La marine a appelé à une énorme recherche de l'ARA San Juan en décembre, deux semaines après sa disparition.

Mais les proches ont ouvert un compte et demandé au public de faire un don.

Aucune trace du navire n'a été trouvée malgré des recherches approfondies sous l'eau et par avion. Tous ceux qui étaient à bord sont présumés morts.

Ils ont été compris pour avoir eu de l'air pendant pas plus de 10 jours.

"Nous voulons continuer à regarder, nous n'allons pas nous arrêter", ont déclaré des proches dans un communiqué.

"Nous cherchons la vérité et vous pouvez nous accompagner, avec un petit don, nous ferons un grand pas, aidez-nous."

Les familles des membres d'équipage ont longtemps exprimé leur insatisfaction face à la décision de la marine d'annuler la recherche officielle.

À l'époque, certains ont dit qu'ils ne croyaient pas à la version officielle des événements, tandis que d'autres ont dit qu'ils devaient trouver les corps de leurs proches afin de pouvoir faire leur deuil.

Certains parents ont suggéré que le sous-marin, âgé de 34 ans, était en mauvais état. La marine argentine a déclaré qu'elle avait passé avec succès les contrôles de sécurité du système et le président Mauricio Macri a déclaré qu'il était "en parfait état".

Plus d'une douzaine de pays ont aidé à la recherche officielle et 4 000 personnes ont été déployées.

Plus tôt ce mois-ci, le gouvernement argentin a annoncé qu'il offrirait 4,9 millions de dollars pour les informations qui conduiraient à la découverte du sous-marin.

Qu'est-il arrivé au sous-marin?

L'ARA San Juan, un navire de la marine, revenait d'une mission de routine à Ushuaia, près de la pointe sud de l'Amérique du Sud, quand il a signalé une «panne électrique».

Selon le commandant de la marine Gabriel Galeazzi, le sous-marin a fait surface et a signalé ce qui a été décrit comme un «court-circuit» dans les batteries du navire.

Le sous-marin a été renvoyé à la base mais a disparu.

Le dernier contact de la marine argentine avec le navire s'est produit vers 07h30 (10h30 GMT) le 15 novembre 2017, date à laquelle son capitaine aurait confirmé que l'équipage se portait bien.

Huit jours après la disparition du sous-marin, l'Organisation du Traité d'interdiction complète des essais nucléaires de Vienne indiqué qu'elle avait détecté un bruit quelques heures après le dernier contact du sous-marin, à environ 30 milles marins au nord de la dernière position connue du navire.

La marine argentine a dit que cela aurait pu être le son de l'implosion sous-marine.

Qui était à bord?

Le sous-marin, avec ses 44 membres d'équipage, est parti sous le commandement de Pedro Martín Fernández.

Quarante-trois membres de l'équipage étaient des hommes, mais il y avait aussi une femme, Eliana María Krawczyk. Cette femme de 35 ans a été la première femme officier en Argentine à servir dans un sous-marin.

Le reste de l'équipage était des sous-mariniers d'âges et d'expériences variés.



Source : bbc.com

https://twitter.com/diarioepoca/status/968090770220597248

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« Avec la technologie que nous avons, nous ne trouverons pas l'ARA San Juan » (26.02.2018)

L'oncle d'Oscar Vallejos, membre de l'équipage du sous-marin disparu en novembre, sera dans des Corrientes mercredi en représentation des parents des marins du navire perdu. Ils promeuvent une collecte pour engager à une entreprise qui peut contribuer à la recherche.

Plus de trois mois après la disparition du sous-marin ARA San Juan, les parents des 44 membres de l'équipage 44 soutiennent la décision ferme de continuer à chercher.
Maintenant, même après que le gouvernement national a officialisé la récompense de 98 millions de pesos offerts par le gouvernement argentin pour recueillir des informations qui permettraient de trouver le sous-marin disparu en Novembre 2017, les parents de l'équipage assurent que la technologie disponible « n'est pas
suffisante". Alors ils ont entamé une collecte - qui a d'abord été lancée sur les réseaux sociaux - qui vise à ajouter le public pour financer l'embauche d'une société américaine privée spécialisée dans les naufrages.

Cela a été expliqué à temps par Claudio Sandoval, l'oncle du sonariste Celso Vallejos, un chaqueño de 38 ans avec 20 ans de carrière dans la Marine.
« Je serai à la place le mercredi 25 mai à 9h, où je compte - au nom des parents - dire aux Correntinos comment va la recherche », a expliqué Sandoval.
Dans ce contexte, a-t-il dit en montrant « recevoir le soutien du peuple, le soutien aux familles et à conduire une collecte pour nous aider à trouver une meilleure technologie. Que celle que nous avons, nous n'allons pas trouver à ARA San Juan, « at-il dit.

Selon les membre des familles, les outils disponibles dans le pays et même ceux fournis par d'autres pays qui ont collaboré à la recherche (comme la Russie) ne suffiraient pas.
"Le ministre de la Défense (Oscar) Aguad s'est engagé avec une récompense et aussi avec l'appel d'offres à des sociétés privées spécialisées pour ajouter à la recherche. Jusqu'à présent, seule la récompense a été publiée, ce qui est insuffisant pour attirer les entreprises qui disposent des dernières technologies pour les trouver. Et l'appel d'offres ne s'est pas concrétisé ", a déclaré l'oncle de Chaco Celso Vallejos.
"C'est pourquoi nous proposons une collecte, nous ouvrons un compte avec le consentement des proches et la connaissance de l'Etat. Et nous espérons le soutien du peuple argentin pour nous aider à les trouver ", a-t-il dit.

Il a également expliqué que, bien que le nombre de base soit de 250 000 $, la collecte continuera pour pouvoir faire face aux achats opérationnels qu'implique la recherche. Pendant ce temps, l'homme a ajouté que "certains dépôts ont déjà été reçus" et qu'il y a également eu des événements et des réunions pour lever des fonds. Sandoval a été l'un des parents qui ont rejoint l'expédition de la corvette « Robinson » en Janvier, qui partaient de Puerto Belgrano pour rejoindre le ratissage à la recherche du San Juan. Et il a pris "dès le début, quand la disparition a été connue", la décision de participer activement à la recherche du navire qui transportait son neveu. « Nous avons fait 10 jours de navigation pour parcourir une surface équivalente à la province de Tucuman » a rappelé Sandoval à propos de l'expérience à bord de la corvette Robinson.
Au milieu des souvenirs émotionnels au sujet de son neveu - un père de trois enfants et militaire dans la Marine pendant 20 ans - il a exhorté les Correntinos « à être intériorisé sur la recherche » alors qu'il a assuré savoir « les détails qui ne se reflètent pas toujours dans la diffusion médiatique » qui existe sur le sujet. En outre, Sandoval a l'intention de présenter mercredi une lettre au gouvernement provincial pour faire connaître l'initiative des familles.

Source : diarioepoca.com

https://twitter.com/ExpedientePol/status/968118839853703168

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Le gouvernement étudie la clôture de la recherche de l'Ara San Juan ainsi que pour donner une compensation aux familles (26.02.2018)

Il sera impossible de maintenir les coûts d'exploitation. L'appel d'offres des entreprises qui fournissent une assistance à la recherche a été exclu. L'annonce de clôture sera accompagnée de la déclaration en tant que héros des 44 membres d'équipage.

Dans les zones du ministère de la Défense il y a déjà une date: le 15 mai, deux jours avant le jour de la marine argentine. Le comment est le plus difficile pour atteindre un consensus.

Un décret présidentiel déclarant "héros nationaux" les 44 membres d'équipage disparus de l'ARA San Juan, à partir du 15 novembre 2017.

Il étudie également une compensation pour les familles qui s'élèverait à 5 millions de pesos chacun. Le gouvernement sait qu'il ne peut pas continuer à nourrir l'espoir de trouver quelque vestige de l'ARA SAN JUAN.

Tous les experts internationaux, qui ont collaboré avec la mission, ont transmis l'impossibilité de suivre les coûts élevés de la méga-recherche.

Est seulement resté, pour un mois de plus, le navire Russe Yantar, et Poutine a dit à Macri, dans sa visite à Moscou, qu'ils ne pourront pas le retenir longtemps dans l'Atlantique Sud.

Les proches des membres d'équipage disparus ont levé une collecte pour atteindre le chiffre de 4 millions de dollars et suivre la recherche d'une manière particulière. Un fer sera peu probable du rationnel.

Les parents des membres de l'équipage disparus ont proposé de faire une collecte pour arriver au chiffre de 4 millions de dollars et ainsi poursuivre la recherche de manière particulière. Une volonté de fer peu probable depuis ce qui est rationnel.

Un groupe d'entre eux serait conseillé par l'avocat des médias, Fernando Burlando, celui qui aurait recommandé d'aller par la voie des indemnisations.

Les familles des 44 viennent de secteurs humbles de l'intérieur du pays. Beaucoup d'entre eux ne peuvent pas attendre les temps d'un jugement économique contre l'état.

Le secteur intransigeant est dirigé par Luis Tagliapietra, père d'un des sous-mariniers disparus et l'avocat de plus de 20 parents, qui procéderait à toutes les demandes.

Pendant ce temps, le juge Caleta Olivia a entendu des témoignages de deux sous-mariniers qui ne se sont embarqués sur le voyage fatidique, mais qui savent les dégâts que l'ARA San Juan a souffert à d'autres occasions. Les deux ont reconnu que le sous-marin avait plusieurs défauts tant dans les capteurs de la valve de fermeture du snorkel que l'une des bobines des batteries qui a brûlé en arrivant à Ushuaia, bien qu'ils aient dit que « ils n'avaient jamais été en danger avec la navigabilité du sous-marin ».

Source : expedientepolitico.com.ar

de quoi sauver la face de ces politiciens et amiraux en donnant l'aumône a ces familles
je crois toujours que les pécheurs chinois le trouverons

Nouvelle semaine de recherche pour l' #ARASanJuan le BIP Victor Angelescu recherche dans la zone Nord , très lente de Nord-Sud à partir de l'est, la zone la plus profonde. Dans ce domaine, il n'aurait même pas passé le sous-marin, de sorte que les probabilités de contact sont nuls.

https://twitter.com/DaniMColu/status/968140047487852545

Suivi du "Victor Angelescu" sur sa zone de recherche au nord avec des profondeurs entre 100 et 200m. C'était une demande des parents pour chercher là-bas...

https://twitter.com/Submarineering/status/968157979894779904

Suivi du "Yantar" sur sa zone de recherche :

https://twitter.com/Submarineering/status/968159655796072449

Ah oui, il y a la récompense...

https://twitter.com/Uru_VisionMar/status/968168880756744192

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Un pêcheur prend une image supposée de l'ARA San Juan (26.02.2018)



Le bateau de pêche argentin « CEIBE DOUS » appartenant à Iberconsa, a révélé une image faite par une sonde le 23 de ce mois, sur un secteur à 60 milles d' où on cherche le sous-marin argentin Ara San Juan, a publié sur la page facebook Navegantes De Argentina aujourd'hui.

L'image provoque la sensation d'être le sous-marin disparu, amenant les utilisateurs du réseau social à demander de lancer une recherche dans cette zone spécifique. À ces heures, le bateau de pêche 'CEIBE DOUS' se trouve à Puerto Deseado, Santa Cruz.

Source : visionmaritima.com.uy

https://twitter.com/infoen280/status/968184488755978245

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"La corruption l'a tué": dénonciation et hommage après 3 mois de la disparition d'Ara San Juan (24.02.2018)

Dans le cadre d'un hommage aux 44 sous-mariniers qui a commencé à Playas Doradas, ville balnéaire près de la mer dans la à Sierra Grande, en Río Negro, nous parlons avec Alejandra Toconás, sœur d'un des membres de l'équipage de l'ARA San Juan. En outre, nous vous disons comment l'hommage à chacun des marins dans leurs villes d'origine se poursuivra.

Sur ses épaules, elle porte un drapeau argentin avec les mots inscrits «Tu nous manques, tu seras toujours dans nos cœurs, frère, tu es une fierté pour nous tous».

Alejandra est l'aînée des six frères et sœurs de Mario Armando Toconás (36 ans), le caporal qui travaillait dans le secteur des armes sous-marines à bord de l'ARA San Juan. A côté se trouve le reste du clan Toconas: Sergio, Cesar, Rosana et Miguel, et son père, Irénéo, un jujeño natif de Palpalá qui se sont installés dans la Sierra Grande, avec sa femme, qui est morte en 2005 en raison d'une la maladie rénale - et ses enfants, à la recherche d'un meilleur avenir pour sa famille quand on lui a offert un emploi dans une mine de fer. Manque Natalia, qui est à Mar del Plata: ils se relaient pour qu'il y ait toujours quelqu'un dans la base navale qui attend les nouvelles.

Chacun porte son drapeau avec une légende, qui se répète sur les T-shirts avec les dernières images de Mario, celles qui avait été tirées dans le port pendant lors du  dernier voyage d'ARA San Juan.

Trois mois après la disparition du sous-marin, à Playas Doradas, la ville thermale près de Sierra Grande, famille, amis et voisins se sont rassemblés devant le front de mer pour rendre un vibrant hommage.

SYMBOLES. L'ARA San Juan faisait route d'Ushuaia vers Mar del Plata, mais le 15 novembre, toutes les traces ont été perdues au large de la côte de Chubut.

Il y avait 44 membres d'équipage à son bord. Jusqu'à aujourd'hui, ses allées et venues sont inconnues. Pour honorer la mémoire des 44, une fondation de Comodoro Rivadavia appelée "Agrupación Isabel" et créée il y a trois ans à des fins sociales, a construit une réplique de l'ARA San Juan. Gonzalo Pérez, le visage visible de la fondation, a quitté son emploi dans une compagnie pétrolière pour se consacrer à aider les gens.

La fondation dispose d'un salon de coiffure mobile, d'une scène transportable et organise des activités récréatives à Comodoro et dans les villes voisines. Maintenant, ils ont recréé une réplique en métal du sous-marinréplique en métal du sous-marin. Elle mesure 16 mètres de long sur 3 mètres de large et 5 mètres de haut et pèse dix mille kilos. Il suffit de faire un tour des différentes villes qui étaient celles des 44 pour rendre un hommage, et la première destination est Playas Doradas, le village balnéaire près de Sierra Grande, qui a vu Mario Toconas grandir.

Lorsque Guillermo Benitez, un ancien camarade de classe de Mario, a pris connaissance de cette initiative, il a voulu se joindre à l'hommage avec une autre réplique du sous-marin, mais dans une version miniature. Pour cela, il a convoqué le forgeron local Carlos Abot.

"L'idée était de réinstaller le thème, de continuer à allouer des ressources pour savoir ce qui est arrivé aux 44 membres d'équipage", a déclaré Benitez. Et il ajoute qu'il se souvient de son ami pour "son sourire, son humilité et son pouvoir de vaincre".

Depuis le 17 février, cette mini-réplique fait également partie d'un monument qui rend hommage aux 44 face à la mer. L'autre reste sur le camion semi-plat également face à la mer, mais dans quelques jours il prendra la route pour voyager vers le reste des villes.

« NOUS VIVONS EN ESPÉRANT QU'IL REVIENNE ». Mario Armando Toconás était le troisième de sept frères. Il a fait le secondaire dans le CET 12 de Sierra Grande et en terminant il a voulu s'enrôler dans la marine.

Il a commencé l'instruction à Punta Alta et a continué à l'ESMA, à Buenos Aires. En 2010, il a été reçu comme sous-marinier et il s'est ensuite installé à Mar del Plata, où il a rencontré sa femme, Ruth, qui est enceinte de sept mois et attend une fille: la sœur de Rian, 9 ans.

«Ma belle-sœur est dévastée, elle ne peut pas venir parce qu'elle est émotionnellement très mauvaise et sa grossesse ne lui permet plus de voyager», explique Alejandra, qui était à Mar del Plata de novembre à décembre et tout au long du mois de janvier. Maintenant, elle est retournée à Sierra pour reprendre son travail dans le travail social local. La dernière fois qu'elle a vu son frère éc'tait en vacances d'hiver: Mario a voyagé à Sierra Grande pour rendre visite à la famille. "Malheureusement, mon frère devait être dans le sous-marin, nous avons notre hypothèse", dit Alejandra.

- Quelle est-elle? Que pensez-vous qu'il est arrivé?

- Ça aurait pu être une attaque, on a dit qu'ils le poursuivaient depuis août, mais la Marine le nie. Ils disent qu'ils ne savent pas ce qui s'est passé, il faut les trouver pour connaître la vérité. Espérons maintenant qu'avec la récompense (de 98 millions de pesos) offerte par le gouvernement, n'importe quelle compagnie peut les trouver. Nous ne perdons pas espoir. Je suis venu à penser que peut-être ils pourraient être dans les îles Falkland. Mauricio Macri s'est engagé à les rechercher aussi longtemps que nécessaire. La vérité est que chaque fois qu'un sous-marin a été perdu, ça a toujours été lent pour trouver où il se trouvait: la mer est immense.

Maintenant, ils disent que l'endroit où ils ont supposément entendu l'explosion, et ils ont cherché mais ce n'était pas le bon. Ils ne savent plus où regarder, ils consultent même des voyants. Il est que durant 84 années d'histoire de plongée sous-marine il ne s'est jamais passé quelque chose ainsi. Mais nous ne pouvons pas baisser les bras parce que même pas une plaque du sous-marin est apparue. Un confrère de mon frère qui est à bord de l'ARA Salta m'a avoué qu'il a très peur, que ce sous-marin n'est pas en état non plus, qu'il craint qu'il les passe la même chose qui avec l'ARA San Juan.

- Tu as été une grande partie de l'été installée dans la base navale de Mar del Plata, comment as-tu vécu l'expérience ?

- C'est très épuisant. Les gens pleurent, crient, tournent mal. Il est difficile pour vous de sortir de cette situation. Dans quelques jours je dois y retourner et cela me rend très anxieuse.

- Vous dites que la Marine ne vous informe pas, comment gérez-vous cette situation?

-Beaucoup de fois nous nous renseignons sur les réseaux sociaux. Par exemple, ils ont dit que la dernière communication avait été celle de 7.30 et on a appris qu'il y avait eu trois autres appels, à 14,18, à 17 et à 20h45, alors pourquoi parler de l'explosion de 1030 ? Ne fermez pas les horaires. Cette information n'a pas été rendue publique parce que le garçon qui était de garde ne l'a pas enregistrée. Tout est très confus. Avec les conditions dans lesquelles se trouvait le sous-marin, ils les ont envoyés mourir. Mon frère a été tué par la corruption parce que cela vient du gouvernement de Cristina. Ils n'ont pas mis les matériaux originaux comme ils devaient. Mon frère était très calme, il ne racontait rien, mais il a laissé des notes sur son ordinateur. Nous avons pu le débloquer et l'information a été transmise à la justice.

- Qu'est-ce que ces notes ont dit? Pouvez-vous nous dire quelque chose?

-Détails de quand ils ont fait l'examen en Juillet et la preuve qu'ils manquaient beaucoup de choses. De même, bien que le sous-marin ne soit pas en état, je suis certain qu'il s'est passé quelque chose d'autre, car les batteries n'explosent pas comme il a été dit. Il y a aussi la plainte en justice qu'a faite Jorge Oliver (représentant du groupement des anciens combattants Génération Malvinas), qui a dit que le sous-marin a été coulé, il a les coordonnées et sait qu'il est à 148 mètres de profondeur, selon l'emplacement qu'a donné le navire Russe (Yantar). Mais la Justice ne donne encore pas l'autorisation pour faire la recherche dans cette zone.

INTERDICTION D'OUBLIER. Au milieu de l'entrevue avec Alejandra, son frère Sergio (travail sur un bateau de pêche) et Miguel, le plus jeune (qui est agent de police) ont rejoint la discussion. "Je veux savoir où ils sont pour les trouver et savoir ce qui s'est passé", dit Sergio d'un ton retentissant.

Et Miguel commente: "J'ai parlé avec Mario une demi-heure avant qu'il ne quitte Ushuaia, il nous a envoyé des photos (N. de R.: ce sont celles publiées dans cette note) et j'ai dit" Que Dieu soit avec vous " je sais que c'était un travail risqué, mais nous espérons toujours être à nouveau tous ensemble.

- Sont-ils conscients que la recherche peut prendre beaucoup de temps et qu'ils ne trouveront peut-être même rien? Combien de temps prévoyez-vous de continuer?

-Alejandra: Cela devient long. Cela fait trois mois dans lesquels nous n'avons pas pu nous reposer. Je vais me coucher et je me réveille en pensant à mon frère ... Nous voulons savoir ce qui s'est passé, où il est. Si ils sont si profond qu'ils ne peuvent être retirés, peu importe, nous nous en contenterons. Mais au moins nous saurons où ils sont. Nous ne voulons pas rester avec l'idée qu'ils sont partis et nous ne les verrons plus. Je ne sais pas à quel point nous allons être comme ça, combien nous allons supporter de plus. C'est très dense. Nous sommes obsédés par le sujet. Nous vivons en attendant le téléphone cellulaire et regardons des vidéos du sous-marin sur YouTube pour voir si nous pouvons découvrir des failles. Sergio: Je veux qu'ils le trouvent et savoir ce qu'il est passé. Miguel: Nous voulons connaître toute la vérité. Il n'y a pas de jour où je peux être calme. Je vis en pensant à lui. À Mar del Plata j'étais assis au bord de la mer, je l'attendais. Plusieurs fois je me suis réveillé sur le rivage, priant pour qu'il apparaisse. Je suis le plus petit et je ne peux pas me détendre. Si l'un de nous tombe, nous tombons tous. Nous essayons de rester ensemble, en nous donnant la force l'un l'autre ... Interdit d'oublier Mario et les autres 43.

Textes et photos: DANIELA FAJARDO (dfajardo@atlantida.com.ar) à Playas Doradas, Río Negro.

Source : infobae.com

position du Yantar et du Angelescu :

https://twitter.com/MikeChillit/status/968218146527240193

https://twitter.com/rcamarenar/status/968219136999424000

traduction google de l'article :

Citation :

Les familles du sous-marin Ara San Juan demandent de l'argent pour financer la recherche (26.02.2018)

Face à l'échec du ratissage officiel dans l'Atlantique, ils veulent engager du matériel privé "avec une technologie de pointe"

"Nous cherchons la vérité et vous pouvez nous accompagner." Avec cette légende, les proches des 44 membres d'équipage du sous-marin ARA San Juan, disparu le 15 novembre 2017 dans l'Atlantique Sud, ont entamé une collecte pour poursuivre une recherche qui au début a bénéficié de l'aide de 18 pays mais qui est aujourd'hui réduite à quatre navires. Ils ont donc ouvert deux comptes bancaires, l'un en pesos et l'autre en dollars, pour collecter des fonds qui doivent leur permettre d'embaucher des navires «à la pointe de la technologie», comme expliqué dans l'appel. Ils cherchent à amasser 3 800 000 $.

L'initiative comprend également différents types d'événements afin d'encourager l'aide d'une société qui se désintéresse progressivement de la recherche du sous-marin, coïncidant avec la couverture limitée fournie par les médias locaux. « Ils avaient parlé entre la famille et quand le gouvernement a annoncé la récompense et a arrêté l'appel d'offres pour les entreprises étrangères à venir chercher, on lui a donné cours », a déclaré Claudio Sandoval, oncle du sous-marinier Celso Vallejos, au journal Clarin. L'objectif des parents est de contracter les services de la compagnie américaine SEA, avec un siège à Caracas, au Venezuela, qui fournirait des robots appelés AUV (drone sous-marin autonome), qui sont submergés et manipulés à distance à partir d'un bateau. Dans des occasions précédentes, l'AUV a trouvé des parties de petits avions et des éléments beaucoup plus petits qu'un sous-marin.

«Je suis triste et déçue par le gouvernement que nous avons», a déclaré à EL PAÍS Isabel Polo, la sœur du caporal-chef Daniel Polo. "J'ai encore de l'espoir et je crois aux miracles. J'ai été récemment dix jours à Mar del Plata et la vérité est que aller à la mer était douloureux, mais j'ai deux filles que j'ai dû emmener. Je me suis à peine mise à l'eau un instant durant tous ces jours », a ajouté la femme, qui a participé à la réunion que les parents ont eu avec le président Mauricio Macri et le ministre de la Défense, Oscar Aguad, le 6 février.

"Après 70 jours, il nous a reçus pendant 40 minutes. Pendant que nous lui parlions, il (pour Macri) bâillait. J'ai senti que j'ai allé écouter un mensonge présidentiel, parce qu'il nous a dit la même chose qu'Aguad nous avait dit en décembre. Nous lui avons demandé qu'aille le [navire] Angelescu et je lui ai dit que nous étions fatigués d'être tapotés dans le dos. Pour ce qui est de l'Angelescu il l'a accompli ", dit la femme.

Outre l'Angelescu, trois autres bateaux sont à la recherche de l'ARA San Juan aujourd'hui. Ce sont la corvette ARA Spiro, l'aviso ARA Islas Malvinas et le navire russe Yantar, qui reste "comme une faveur personnelle du président Poutine", au moins, jusqu'à ce que certains faits l'obligent à retourner dans son pays.

Les proches de l'équipage des 44 ont déjà tout essayé. Ils sont même allés jusqu'à faire appel aux services de deux voyants, qui ont prétendu avoir "vu le sous-marin à 240 kilomètres de la côte". Enfin, la marine argentine a envoyé un navire dans la zone en question, mais sans résultat positif. Cependant, ils n'abandonnent pas, et ne sont pas satisfaits de la récompense de 98 millions de pesos (près de cinq millions de dollars) offerts par le gouvernement argentin pour ceux qui fournissent des informations "qui nous permettent de trouver le lieu et l'emplacement du sous-marin".

"La récompense était la dernière chose que nous avons demandé et nous avons dit que nous préférions louer l'AUV (drone sous-marin autonome), mais il n'a rien répondu. Ensuite, [le ministre de la Défense, Oscar] Aguad a déclaré dans une interview que si personne ne parvenait à fournir des informations, ils engageraient les services de la société américaine, sans toutefois fixer de date limite pour cela ", a déclaré M. Polo.

La base navale située dans la ville de Mar del Plata, à 400 kilomètres de Buenos Aires, est devenue dès le premier jour un sanctuaire improvisé. Les drapeaux de l'Argentine avec l'insigne "44" ont été déchirés à mesure que les jours de recherche passaient et que certains espoirs s'éteignaient. Beaucoup de parents ont choisi de retourner chez eux, mais un groupe a décidé de revenir occuper le secteur et de rester là, près de l'endroit où la nouvelle a été produite.

Les parents ont décidé d'organiser une prise de contrôle pacifique là-bas, deux mois après la disparition du sous-marin. Ils se divisent en équipes et dorment sur des matelas à l'étage de l'hôtel Antarctica, mais ils s'alimentent eux-mêmes. Les autorités militaires leur ont à peine accordé la permission d'y dormir, sans autre aide. Même ceux qui ont voyagé dans leurs lieux d'origine pour passer les vacances, ne pouvaient pas rentrer. Aujourd'hui, une vingtaine de personnes ont décidé de rester "jusqu'à ce qu'elles nous donnent une réponse concrète". Une réponse. Quelque chose qui jusqu'ici est aussi mystérieux que l'endroit où se trouve le navire.

Source : elpais.com

position du Yantar :

https://twitter.com/MikeChillit/status/968281229232627713