Recherche du sous-marin argentin disparu: les news (2)

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Citation :

Les 7 contacts détectés ont été écartés. Il y a un 8ème qui est analysé en ce moment. Le destroyer ARA Almirante Brown a quitté Puerto Belgrano pour remplacer la corvette ARA Espora. Ils ont commencé à travailler dans la zone 3. Suivi du Seabed Constructor durant les dernières 24 heures.

https://twitter.com/juanmab/status/1041133996078522368

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Citation :

Recherche du ARA San Juan, ci-joint capture d'écran du PDF du rapport quotidien de l'opération fourni par Ocean Infinity, avec des graphiques détaillés qui aident à comprendre l'ampleur de l'opération.

https://twitter.com/MalvinasData/status/1041141357686009856

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Citation :

Une mise à jour tardive. J'adore ça. Ils ne font aucune supposition quant à l'endroit où le sous-marin «n'aurait pas pu aller». Parfait. Si ils le trouvent là-bas à l'ouest d'Iridium, l'estimation d'emplacement d'origine d'appel peut avoir été très incorrecte.

https://twitter.com/MikeChillit/status/1041174978505437184

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Citation :

Terminé une nouvelle journée de suivi du Seabed Constructor. Ça a été le jour du plus grand déplacement avec 128 nm allant du Nord de la zone-2 au sud de la zone-3. Balayage finalisé de la zone-1, ils continuent le Nord de la zone-2 et ils ont commencé avec les AUV's la zone-3.

https://twitter.com/DaniMColu/status/1041169727396175873

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Citation :

Le Seabed Constructor se rapproche du plateau continental. Je doute qu'il va déployer les AUV's là-bas, mais j'aime le fait qu'ils vont tout vérifier.

https://twitter.com/MikeChillit/status/1041193079695400960

traduction du tweet :

Citation :

Mise à jour visuelle. Je spécule que le Seabed Constructor déploie les AUV's au nord le long du plateau de son emplacement actuel maintenant. Il me semble qu'ils font d'excellents progrès.

https://twitter.com/MikeChillit/status/1041256533995208705

https://twitter.com/LANACION/status/1041083586496155648

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ARA San Juan: un par un, les sept éléments détectés lors de la recherche ont déjà été rejetés (15.09.2018)

Une semaine après le début des recherches scientifiques du sous-marin ARA San Juan, les spécialistes ont déjà exclu sept "points d’intérêt" que les équipements avec des trackers acoustiques avaient localisés dans l’une des quatre secteurs qui seront ratissés pour essayer de trouver le navire de la Marne Argentine qui emmenait 44 membres de l'équipage.

Mardi, le premier des cinq véhicules sous-marins autonomes (AUV), qui suit les fonds marins, avait réussi à localiser deux objets. Le premier était un navire coulé et l’autre, un objet qui a été analysé avec le ROV (Remote Operated Vehicle), qui confirmait qu’il s’agissait d’une formation géologique.

Comment est la procédure ? Les experts lancent les cinq AUV's un par un en mer. Le processus exige deux heures pour chaque équipement. Une fois en opération, ils descendent et commencent à cartographier la zone assignée pendant environ 40 heures du sud vers le nord, soit la durée de la charge de la batterie.

Ensuite, ils sont récupérés à bord, le processus demande également deux heures. Après la récupération, les données collectées par le sonar à balayage latéral, la sonde multi-faisceaux et le magnétomètre seront téléchargées pendant 4 heures; pour le traitement d'analyse qui lui prend entre 10 et 12 heures.

Ces "images" créées par le sonar sont analysées par les experts qui les qualifient sur une échelle à cinq niveaux: la classe "A" correspond à l'identification du sous-marin, la "B" à la "haute probabilité", la "C" , est de "forte probabilité"; le "D" se réfère à une "compatibilité improbable", et le E, "identifié comme incompatible".

Mercredi, après avoir analysé plus d'images, le Seabed Constructor est allé vérifier trois autres contacts de la catégorie « C », qui étaient en courte portée. Tous ont été rejetés et il a été confirmé qu'il s'agissait de formations géologiques.

Pendant ce temps, au cours des 24 dernières heures, les deux autres points analysés ont été éliminés, également classés comme "C". Le premier, c'est une formation géologique qui a été analysée dans l'après-midi d'hier par un ROV.

Le second, analysée après minuit, a été écarté en tant que réseau. "La société Ocean Infinity a lancé un véhicule sous-marin autonome (AUV) pour enquêter sur le point d’intérêt N° 7, situé dans une zone de 1 à 759 mètres de profondeur. d'une longueur de 50 mètres et d'une largeur d'environ 8 mètres, réseaux visibles jusqu'à environ 2 km au nord ", sources officielles détaillées à LA NACION.

Les dimensions sont toujours les premiers signes avant-coureurs. Dans ce cas, ils ressemblaient tous au sous-marin disparu il y a plus de 300 jours, qui a une longueur de 67 mètres et une largeur de 7 mètres.

Source : lanacion.com.ar

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Citation :

Dans la zone d'opération, le Seabed Constructor a continué à travailler toute la nuit, au lancement et à la récupération des AUV's dans le sud de la zone-3, où il a commencé, hier après-midi. Avec une superficie de 1080 km² approximativement, il s'agit de la zone la plus à l'ouest et de faible profondeur de 100 à 700 mètres, l'isobata y passe de 200 mètres.

https://twitter.com/DaniMColu/status/1041274922436386827

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Citation :

Pour la première fois depuis le début de l'opération Ocean Infinity a été en mesure de déployer les 5 AUV's, aujourd'hui dimanche 16 septembre, avec la zone 1 déjà presque évaluée, il y a 2 AUV's opérant dans la zone 2 et les 3 autres appareils sont dans la zone 3.

https://twitter.com/MalvinasData/status/1041335233159864325

https://twitter.com/InfobaeLoUltimo/status/1041366636505100288

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Recherche de l'ARA San Juan: « Nous serons les yeux et les oreilles des parents de nos héros bien-aimés » (16.09.2018)

Les quatre observateurs - des parents des victimes -  assurent que le vendredi 7 Septembre ils ont embarqué à bord du Seabed Constructor pour redémarrer la recherche des 44 sous-mariniers perdus. Ici, les préparatifs et les heures avant leur départ. De plus, le mot d'Oliver Plunkett, directeur général d'Ocean Infinity, la société américaine en charge de l'opération. "Le contrat a été signé pour 60 jours, mais nous espérons terminer plus tôt", a-t-il déclaré.

Ils s'accrochent à cette opportunité comme si c'était la dernière. Non à cause d'un péché de pessimisme, mais parce qu'il a fallu dix mois pour lancer cette méga-opération pour relancer la recherche de l'ARA San Juan. Alors que les navires de la Marine n'ont jamais cessé de chercher le sous-marin qui a disparu le 15 Novembre 2017, le fait est que la technologie ultra avancée à la disposition du Seabed Constructor, qui est parti de Comodoro Rivadavia le vendredi 7 Septembre à 14 heures - pourrait fournir aux parents des 44 membres d’équipage ce qu’ils attendent tant : des réponses.

IL TARDE À ARRIVER… Pour Silvina Krawczyk – la sœur du lieutenant Eliana Krawczyk –, Luis Tagliapietra – le père du lieutenant Damián Tagliapietra –, Fernando Arjona – le frère du caporal Alberto Arjona – et José Luis Castillo – le frère du caporal Enrique Castillo –, les derniers quinze jours ont été vertigineux et intenses. Après avoir été choisi – vote au moyen pour de prendre part de la recherche en qualité de veedores, ils ont subi des tests sanguins, des tests d'urine, des électrocardiogrammes, des examens oculaires et audition lieu. Ils ont également passé des tests psychologiques et ont dû apprendre les concepts de base de la navigation.

En outre, on leur a imposé d'avoir des connaissances d'Anglais, puisque c'est la seule langue qu'on parle à bord du navire. Dépassé cette instance, le mardi 4 Septembre réunis dans le Bâtiment Libertad (situé dans l'avenue Commodore Py 2055) avec le PDG d'Ocean Infinity, Oliver Plunkett, qui leur a donné les détails du plan de recherche. La réunion a duré environ trois heures et les proches (dont beaucoup sont arrivés de Mar del Plata en groupes fournis par la marine) l'ont définie comme "positive". "Nous avons réussi à nous débarrasser de tous les doutes", ont déclaré les GENS optimistes.

Pour sa part, Luis Tagliapietra -avocat et plaignant dans l'affaire pénale instruite par la juge fédérale Marta Yáñez- a souligné la franchise des États-Unis. « Nous nous attendions à ce que nous n'ayons aucun type de limitation à l'intérieur du navire, C'est-à-dire, nous serons habilités à observer tout ce qu'ils font. Notre présence à bord est capitale : nous serons les yeux et les oreilles du reste des parents de nos héros aimés", a dit l'avocat.

LE PROCESSUS DE RECHERCHE. Le Seabed Constructor a quitté Cape Town (Afrique du Sud) le 16 août et est arrivé au port de Comodoro Rivadavia le jeudi 6 septembre à midi. Un jour plus tard, le vendredi 7, il est reparti en direction du golfe de San Jorge, pour commencer le processus de recherche du sous-marin disparu. Doté d'une technologie de pointe, le navire permettra une recherche scientifique approfondie. Tel que rapporté par une vidéo institutionnelle, il dispose de cinq véhicules sous-marins autonomes (AUV) capables de fonctionner jusqu’à 6 000 mètres de profondeur.

En outre, il dispose d'un laboratoire informatique à la pointe de la technologie, de deux types de véhicules télécommandés à distance (ROV) équipés de caméras haute définition, de grues, d'un héliport et de vedettes rapides. Comme indiqué, les AUV's vont balayer une superficie de 3.200 km2, ce qui correspond aux trois zones définies sur la base des informations reçues de la Marine Argentine et d'autres sources internationales qui ont été consultés lors de la planification de l'opération.

Et si la localisation s'avère infructueuse, la zone sera étendue à un cercle avec un rayon de 25 milles nautiques centré sur la dernière position déclarée de l'ARA San Juan le 15 Novembre 2017. « Le contrat a été signé par un maximum de 120 jours et un minimum de 60, mais espérons terminer avant », a déclaré le PDG d’Ocean Infinity, qui percevra les 7,5 millions de dollars US promis uniquement si il localise le sous-marin.

AVEC FOI ET ESPOIR. En plus de l'équipage (plus de 40 marins et techniciens), en plus des quatre observateurs, le 7 Septembre ont aussi embarqué, en qualité d'observateurs, trois officiers de la Marine Argentine (deux sous-mariniers et un spécialiste du service naval Hydrographie dans l'interprétation des images). Avant de monter sur le navire, avec émotion à fleur de peau, Tagliapietra l'a défini comme une opportunité unique. « La capacité de redémarrer la recherche nous a tellement coûté que nous voulons la saisir à fond. Grâce à la technologie du Seabed Constructor nous allons avoir des certitudes qu'aujourd'hui, clairement, nous n'avons pas. Si nous ne les trouvons pas, c'est parce qu'ils ne sont pas là », à dit le père du lieutenant Damián Tagliapietra.

Lundi 10 Septembre, étant arrivé à la première zone de recherche avec un « temps calme et de la brume », étaient déjà quatre mini sous-marins déployés pour recueillir des informations sur les fonds marins. Cela a été expliqué par la partie quotidienne que la famille et la marine livrent, deux fois par jour, pour détailler le travail effectué. Tous les espoirs sont mis sur ce voyage. Ce sera une question d’attente et de foi.

Source : infobae.com

traduction du tweet :

Citation :

Hier, le destroyer ARA "Admiral Brown" a quitté Puerto Belgrano en direction de la zone de recherche du sous-marin #ARASanJuan, où il va soulager la corvette ARA "Espora" comme navire de soutien pour les opérations.

https://twitter.com/Armada_Arg/status/1041407227129679872

https://twitter.com/Los44AraSJ/status/1041411623485956102

traduction google du rapport quotidien :

Citation :

Rapport n°19 sur la recherche de l'ARA San Juan - dimanche 16/09/2018

Rapport du matin

Navigation

46°07'26"S  60°07'46"W
Course : 257°
Vitesse : 12,5 nœud
Temps calme, avec brouillard, vent de 8 nœuds, vagues de 2 mètres.

NOUVEAUTÉS

À 21h00, l'AUV2 a été déployé dans la zone-3, à la position 46°14'19"S - 60°02'43"O. À 23h42, l'AUV1 a été déployé dans la zone-3 à la position 46°15'53"S - 59°59'11"O. À 04h15 am, l'AUV5 a été déployé dans la zone-3. À l’heure actuelle, les 5 AUV's sont à l'eau, deux AUV's dans la zone-2, l'AUV6 et 7, et trois dans la zone-3, les AUV1, 2 et 5.

D'après l'analyse précédente du nouveau contact POI-8, de classe C, il semble que ce soit dans la zone 2, mais il ne fait que 28 mètres de long et 7 de large, il est donc attendu que l'AUV6 fournira des données plus précises pour déterminer si une inspection avec le ROV est nécessaire. Nous continuons d’attendre l’analyse des données collectées dans la zone 2. Dans la zone 1, il n’y a plus de contacts à vérifier, mais si la révision longitudinale des canons est toujours en suspens, une tâche sera réalisée lorsque toutes les zones seront terminées.





Les familles de l'équipage de l'ARA San Juan

traduction du tweet :

Citation :

Une mise à jour tout à l'heure. Le Seabed Constructor continue de faire de bons progrès. Il a maintenant parcouru environ les trois quarts du polygone de recherche.

https://twitter.com/MikeChillit/status/1041537946262925313

https://twitter.com/lanacionmas/status/1041563954084892673

traduction google de l'article :

Citation :

ARA San Juan: comment vivent les parents qui participent à la recherche du sous-marin (17.09.2018)

Chaque objet détecté dans la recherche de l'ARA San Juan multiplie les pulsations et renouvelle les espoirs des quatre parents qui voyagent à bord du Seabed Constructor.

Et il y a eu huit « points d'intérêt » à examiner, le dernier qui a été examiné hier, et les sept précédents, sont sans résultat Positif, et Luis Tagliapietra, Silvina Krawczyk, Jose Luis Castillo et Fernando Arjona (père, sœur et frères de membre de l'équipage de l'ARA San Juan) ne baissent pas les bras. Ils continuent à bord à partager la journée avec les techniciens d'Ocean Infinity et s'organisent pour transmettre les nouvelles au reste des parents qui attendent sur la terre ferme. Il y a deux rapports pour jour et, fréquemment, des mises à jour vers 22h30.

Jeudi dernier, ils ont trouvé des câbles, des filets et des éléments d'engins de pêche, d'une longueur de 55 x 8 mètres à une profondeur de 759 mètres, visibles à deux kilomètres de distance, ce qui reflète la capacité technologique des AUV (véhicules sous-marins autonomes) et ROV (véhicules d'opération à distance) pour distinguer clairement les objets détectés au fond de la mer.

"Si ils sont là, nous les trouverons, et si nous ne les trouvons pas, c'est parce qu'ils ne sont pas là, nous devons faire preuve de patience, il y a encore beaucoup à voir", a déclaré l'un des quatre parents en dialogue avec LA NACION.

Les parents ont des cabines individuelles et ils passent la majeure partie de la journée ensemble, bien que les tâches soient réparties. Ils se sont imposés eux-mêmes une routine de gardes pour "vérifier dans les différents postes que tout se déroule comme il se doit et pour mener les rapports à la disposition des familles", résume l'un d'eux.

Les AUV's restent actifs 24 heures sur 24 et des contacts ont été vérifiés entre 11 heures du soir et 5 heures 30 du matin. "Ici on n'arrête jamais", a dit un des parents.

"Chaque jour, nous sommes anxieux, stressés à chaque découverte et nous ressentons mille sentiments, il est impossible de nous détendre, même si nous savons que cela prend du temps", a-t-il déclaré.

"Jusqu'à présent, il n'y a pas eu deux jours égaux, nous allons au rythme de l'opération", a expliqué l'un d'eux, qui a vécu hier une journée spéciale: dix mois après la disparition du sous-marin.

Les quatre parents, qui ont embarqué en tant qu'observateurs, ont dû suivre une formation technique et des tests navals pour monter à bord du Seabed Constructor et faire partie de l'expédition. Chaque jour, ils organisent des réunions pour coordonner et mettre à jour la situation avec les autorités d'Ocean Infinity.

Lorsque le dernier rapport a été connu hier, il y avait cinq AUV's dans l'eau. Dans les jours précédents, certains contacts localisés ont généré des attentes, mais il a ensuite été déterminé qu'il s'agissait de formations géologiques.

Images et explications

Les proches n’ont pas la capacité technique d’avertir de leur propre chef une particularité des images que l’équipement de dernière génération transmet depuis le fond de la mer. Pour cela il y a des professionnels. Ils voient leur travail et les marins spécialisés les informent s'il y a quelque chose, leur montrent ce qui est analysé et les avertissent de ce que cela peut être. S'il est possible que l'objet soit le sous-marin, le ROV est abaissé pour l'identifier avec les caméras pour qu'il n'y aie aucun doute sur ce que c'est.

"Nous demandons tout ce qui se passe, Ils sont toujours très bien prédisposés et ils nous écoutent, et ils ont répondu à tout jusqu'à présent", a révélé l'un des membres des familles.

"Chaque jour apporte son empressement", dit une pensée biblique, et à ce principe les parents s’accrochent. Chaque jour est différent. La seule chose qui est la même chose est l'heure du repas, mais ils mangent vraiment, s'il n'y a pas d'autre activité à faire.

"Tout le temps nous partageons avec tout le monde et nous sommes ensemble, mais nous divisons les tâches, et de toute évidence, nous avons des moments de loisirs pour boire du maté ou faire de l'exercice", a déclaré l'un des proches.

En raison des expériences auxquelles ils sont confrontés à chaque heure et des pensées qui découlent du sort de leurs proches, les membres de la famille estiment que «le navire est superbe, mais en même temps petit».

Source : lanacion.com.ar

Le point sur la situation

Les drones sous-marins autonomes (AUV) du Seabed Constructor ont entièrement balayé la zone-1. Et maintenant ils sont occupés à balayer la zone-2 et la zone-3.

Les données collectées par les AUV's dans la zone-1 ont été entièrement analysées et il n'ont pas découvert la moindre trace du sous-marin !!!

Ils continuent bien-sur de balayer les zones restantes et à analyser au fur-et-à-mesure les données collectées par les AUV's, et ça jusqu'à ce que qu'ils aient entièrement scanné et puis analysé les 4 zones de recherche.

Et si finalement, il n'y avait toujours aucune trace du sous-marin, alors la zone de recherche sera agrandie.