Recherche du sous-marin argentin disparu: les news (3)

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Citation :

Le nombre total de km² de la zone-8 à la zone-12 est d'environ 7500km²; L'équivalent déjà balayé des zones-1-2-3-4-5. Dans les temps, l faudrait encore 22 jours à compter d’aujourd’hui.

https://twitter.com/DaniMColu/status/1050896653530615815

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Citation :

Ma mise à jour du matin. Le Seabed Constructor a eu des problèmes avec un ou deux AUV's pendant la nuit. A part ça, tout semble aller bien.

https://twitter.com/LabratSR/status/1051761075488739328

Bonjour Olivier ; bonjour Titian.

On élargit, on élargit ; mais que faire d'autre, quand on a, déjà, tellement ratissé ?
Moi aussi, je constate que l'on se déplace de plus en plus à l'est, Titian.
D'accord, avec toi, Olivier ; l'ARA peut très bien s'occuper des zones les moins profondes, avec son propre matériel.
Mais en a-t-elle, vraiment, le désir ?
Amitiés

Xavier


PS : en tout cas, cette affaire commence à faire tâche d'encre.
Un collectif des parents des disparus, de la "MINERVE, demande la reprise, après plus de 50 ans, des recherches promises...

La France a les moyens de retrouver des débris de la Minerve ;
ils ont bien retrouver l'Airbus Rio -Paris

Xavier MONEL a écrit:

D'accord, avec toi, Olivier ; l'ARA peut très bien s'occuper des zones les moins profondes, avec son propre matériel.
Mais en a-t-elle, vraiment, le désir ?

Je pense qu'ils n'auront pas vraiment le choix avec la pression des parents, mais bon pour ça, ils doivent d'abord se procurer un ROV, que Aguad avait promis d'acheter il y a plusieurs mois déjà

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Citation :

A 14h aujourd'hui, un membre d'équipage du Seabed Constructor a été transféré par l'hélicoptère fenec du destroyer ARA Argentina, en direction de port. Félicitations au pilote et à la Armada Argentina. Mission réussie.!

https://twitter.com/DaniMColu/status/1051639881670246400

https://twitter.com/DaniMColu/status/1052008742370377728

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Citation :

Sous-marin ARA San Juan: onze mois, onze certitudes et aucune fleur (15.10.2018)

Il y a 11 mois, les Argentins ont ignoré qu’au fond de la mer, la trace du sous-marin Ara San Juan et de ses 44 membres d’équipage avait été perdue, et que la pire page de la Marine en temps de paix et de démocratie était en cours de rédaction. Mais au fil des jours, la désinformation et les contradictions officielles devenaient de plus en plus grandes et il semblait que la vérité allait disparaître avec eux. C'était une tragédie, ce n'était pas une tempête parfaite, ce n'était pas le destin ou la malchance! Même sans savoir la vérité, alors que le sous-marin est cherché par la force de l'espoir, onze mois après cette date, nous avons onze certitudes.

1-Aujourd'hui, nous savons qu'à l'aube du 15/11/17, le haut commandement de la marine n'était ni dans ses positions ni dans les circonstances. Son chef d'état-major au pouvoir était en Uruguay, le chef de la COAA à Chaco et le ministre de la Défense était au Canada.

2 - Aujourd'hui, nous savons que, du 14/11/17 au 16/11/17, la compagnie de téléphonie mobile et Internet a coupé le service à la marine ce qui a fait échouer le système de communications navales Eureka qui était seul en haute mer et mis au secret.

3- Aujourd'hui, nous savons que la nuit précédente, nous avions lu le 14/11/17 à 23h30 depuis le téléphone satellite du sous-marin ils ont appelé la cellule privée d'un capitaine qui n'était PAS en service et qui se trouvait à l'extérieur de la base navale de Mar del Plata Quelque chose qui, non seulement n’est pas permis (les appels du satellite cellulaire sont destinés à des urgences) mais cela n’a jamais eu lieux dans les autres navigations du sous-marin à cette heure de la nuit et sur un téléphone portable privé. Nous savons aussi que cet appel existait mais que les autres appels du sous-marin tôt le matin du 15/11/17, ne l'étaient pas, mais le porte-parole de la Marine, le capitaine Balbi, avait même nié toute tentative de communication, alors même que le ministre Aguad informait le contraire.

4-Aujourd'hui, nous savons que la dernière position de l'ARA San Juan est inconnue. Dans l'affaire examinée par la Cour fédérale de Caleta Olivia, deux positions différentes ont été signalées. La recherche comporte 17 points de données ou des positions possibles.

5-Aujourd'hui, nous savons que l'état de l'ARA San Juan n'était pas sûr non seulement pour les failles mécaniques, électriques, quotidiennement il perdait 50 litres d'huile hydraulique, mais aussi pour le manque d'éléments pour faire face à une urgence. Aucune pyrotechnie et il n'y avait pas de place pour tout l'équipage sur les radeaux de sauvetage.

6-Aujourd'hui, nous savons, malgré le refus ferme des premiers mois par le gouvernement et la marine, qu'il y avait à bord un officier du renseignement non-commissionné chargé d'observer et de rapporter des objectifs militaires et logistiques britanniques.

7-Aujourd'hui, nous savons que des courageux sous-officiers ont déclaré avoir détecté le San Juan Ara le 15/11/17 à 14 h 15 sur trois fréquences et que d'autres sous-officiers du 21/11/17 avaient décrit comme possible la séquence des coups sous-marins écouté avec sonar passif sans avoir à ce jour la preuve contraire de leurs paroles.

8-Aujourd'hui, nous savons que la marine a tardé pour les rechercher, mais a mis fin à la recherche et au sauvetage du SARSUB à l'avance et rapidement.

9-Aujourd'hui, nous savons que la Marine et le ministère de la Défense sont à l'origine du premier recrutement direct d'une entreprise privée pour le lieu, ACTED SO EVIL, qui, après contestation et plainte au pénal, devrait l'annuler.

10 - Nous savons aujourd'hui qu'ils ont caché des données vitales à la marine et qu'ils ont manipulé les temps de la justice à travers les détails techniques et le langage naval.

11 - Nous savons aujourd’hui que le crime d’assassinat a été commis à l’occasion d’un crime d’assassinat à 44 occasions mais qu’il est également responsable de mensonges idéologiques, de dissimulation et de manquement aux devoirs d’un fonctionnaire lors de la phase SAR, de la recherche des 44 Crewmen et de l’Ara San Juan, au-delà de ceux qui ont contracté un faux témoignage.

Aujourd'hui, toutefois, 44 familles ne savent pas ce qui s'est passé, ni comment elles vont continuer à vivre sans leurs proches, des familles incomplètes et marquées à jamais par la souffrance. Mais avec une circonstance aggravante, ces familles ont senti l'abandon de la Marine et le gouvernement ne l'a pas encore quitté. Ce n'est que sous l'aspect du bien-être, mais aussi dans cette détermination que chacun exprime à sa manière, mais cela les fait coïncider dans la solitude, les familles touchées cherchent Vérité et Châtiment!

Il ne faut pas oublier l'ARA SAN JUAN en tant que nation

Source : m.diarioveloz.com

Bonjour Olivier.

Bienvenu, ce résumé.
Autre chose...
Tu l'as certainement remarqué comme moi (nos autres amis, aussi, sans doute) ; c'est la présence assidue, depuis plusieurs jours, du "Nathaniel B Palmer", dans les eaux ou à proximité du "Seabed Constructor".
J'ai vérifié ; c'est un brise-Glace scientifique US, de NSF...
A première vue, il vient du sud, après avoir longé (de loin) la côte.
Curieux, n'est-ce pas ?
Qu'en penses-tu ?
Amitiés.

Xavier

Bonjour Xavier,

On dirait qu'il passe par là par hasard, il file vers Montevideo :

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Citation :

Ma mise à jour du matin. Le Seabed Constructor a récupéré les AUV's 1 et 6 et attend maintenant que le reste du AUV's terminent leurs missions avant de passer à la zone-9. Suivi effectué viar Big Ocean Data.

https://twitter.com/LabratSR/status/1052182022448246786

https://twitter.com/infobae/status/1052194549819367425

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Citation :

Le mystère de l'ARA San Juan: le sous-marin n'est pas dans la zone où l'implosion présumée a eu lieu (16.10.2018)

Les informations exclusives d'Infobae révèlent que l'ARA San Juan n'a pas pu être retrouvé à proximité du lieux où son nauffrage a été estimé ou de celui de sa dernière communication.

La recherche de l'ARA San Juan par la compagnie américaine Ocean Infinity est arrivée à la première conclusion qui a découragé les parents des 44 membres de l'équipage disparus il y a 11 mois : le sous-marin ne se trouve pas à proximité de la prétendue implosion du navire de guerre.

À l'époque, le 22 novembre 2017, l'ex-porte-parole de la Marine, Enrique Balbi, avait nommé cet événement, au cours duquel les marins seraient décédés en "40 millisecondes", une "anomalie hydroacoustique" qui s'est produit "trois heures plus tard et à 30 miles nautiques du dernier lieu qu'il avait rapporté. "

La nouvelle a déjà été rapportée au ministre de la Défense, Oscar Aguad, et aux personnes en deuil qui espéraient que la technologie du navire Seabed Constructor permettrait de retrouver le navire dans les 20 premiers jours de ratissage qui comporte 60 jours d’exploitation, selon les impositions du contrat direct

Pour cette raison, l'attention est maintenant concentrée sur le lieux où trois tentatives de communication effectuées depuis l'ARA San Juan auraient été enregistrées - après l'implosion présumée - et que la marine n'avait pas enregistré dans le livre de garde à l'époque, et qui ont été ajoutées ensuite, selon des déclarations faites devant la juge fédérale de Caleta Olivia, Marta Yáñez.

Le navire transportant quatre membres des familles de victimes se dirige vers cette position, dont Luis Tagliapietra, le père d'Alejandro, l'un des officiers à bord, et le responsable visible de l'une des trois plaintes.

"La certitude que cette opération de recherche nous a fournie est que le sous-marin ne se trouve pas dans ce qui était désigné comme l'épicentre de l'événement hydroacoustique, il n'est pas à proximité de la dernière position qui a été donnée en vertu de la dernière communication, de celle du PIN satellite. Il n'est pas là. C'est une zone qui a été ratissée maintes et maintes fois et il n'est pas là ", a reconnu avec angoisse, mais toujours avec espoir, Tagliapietra dans un dialogue téléphonique avec Infobae.

"Maintenant, une série de questions nous est ouverte. Bien que j'ai la même foi et espère les trouver ailleurs, des questions se posent, comme savoir ce qui s'est passé et sont liées aux personnages qui nous ont menti et nous ont caché des informations et ont tout retardé. plus qu'ils ne le pourraient ", a ajouté l'avocat.

Et il a ajouté: "Il y a des gens qui en savent beaucoup plus qu'ils ne nous l'ont dit, à commencer par le ministre de la Défense Aguad, suivi de l'ancien chef de la marine, l'amiral Marcelo Srur, du contre-amiral Luis Enrique López Mazzeo, qui était le commandant des opérations spéciales (COA) et le capitaine Claudio Villamide, qui était le commandant de la force sous-marine, sont les quatre acteurs qui nous ont menti depuis le début et qui en savent beaucoup plus que ce qu’ils nous disent et de ce qu’ils en on dit à la justice, je ne crois absolument pas à ce système de justice, je l'utilise parce que je n'en ai pas d'autre, car c'est la seule chose que j'ai, c'est l'outil que j'ai sous la main, mais je ne pense pas que cela fonctionne. "

De plus, Tagliapietra, du pont du navire Ocean Infinity, a dénoncé que la juge en charge de l'affaire n'avait pas encore recueilli les éléments de preuve à l'origine des plaintes, par exemple la déclaration du chef direct du sous-officier du renseignement Castillo, qui se trouvait à bord du sous-marin pour identifier les bateaux de pêche étrangers présumés opérant dans les eaux nationales ainsi que les navires de guerre de la marine britannique et les aéronefs appartenant au "gouvernement des Malouines", comme indiqué dans le dernier ordre des opérations reçu par le commandant de l'ARA de San Juan.

"La juge a appelé le chef des services du renseignement de la marine, l'ancien et le nouveau, mais jamais le supérieur direct de Castillo, ni celui qui l'a informé, qui a également la responsabilité de s'être embarqué un jour plus tôt sans aucun type de préparation, a expliqué l'avocat du plaignant.

Tagliapietra a également informé Infobae de la poursuite de la recherche du sous-marin: "Nous ratissons maintenant le nord de la Zone-6 , la Zone-9 et la Zone-10, qui sont les coordonnées où se serait trouvé le sous-marin s'il avait continué à naviguer jusqu'à 14h18 en novembre dernier, il s’agissait des trois tentatives de communication que la marine n’avait pas inscrites et qui, plus tard, avaient été apprises par le témoignage d’un sous-officier des communications."

Sur le même sujet, le capitaine de l'outre-mer et expert Marcelo Covelli a déclaré: "Le plus probable est qu'après l'explosion le sous-marin aurait pu faire surface et effectuer les trois tentatives de communication, ainsi le rapport du spécialiste nord-américain Bruce Rule ne serait pas correct en ce que le bruit détecté serait dû à l’effondrement de la coque. "

Bruce Rule est un ancien chef du service d'analyse acoustique de l'US Naval Intelligence Office. Il a préparé le seul rapport détaillé sur la disparition du navire et a fondé une partie de son analyse sur les informations publiées par l'Organisation du traité d'interdiction complète des essais nucléaires (CTBTO), et qui a établi, de manière concluante, que le signal avait été produit par l’effondrement de la coque du seul sous-marin argentin en opération "à grande profondeur, à 13h58 heure locale (10h58 GMT)".

La deuxième conclusion de l'expert nord-américain est que la "durée de l'effondrement n'autait été que de 40 millisecondes", c'est-à-dire que : "L'événement aurait été instantané et fatal".

Comme vous pouvez le constater, à presque une année de la pire tragédie de la marine argentine en temps de paix, il existe plus de mystères que de certitudes sur les raisons, les responsabilités politiques et la responsabilité de la marine dans la disparition de l'ARA San Juan et ses 44 membres d'équipage.

Source : infobae.com

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Citation :

La compagnie Ocean Infinity a signalé la découverte à l'est de la zone-8 d'un nouveau point d'intérêt (le POI-17) de classe «C». La plate-forme Seabed Constructor sera positionnée demain dans la zone-8 de sorte que le ROV puisse inspecter le POI-17.

https://twitter.com/MalvinasData/status/1052325395306094592

Bonjour Olivier.

Oui, j'ai vu, depuis, que ce navire se dirige sur Montevideo.
Mais, à une vitesse ultra-lente et en faisant une route pratiquement parallèle à celle du Seabed Constructor.
Je sais que cela semble ne vouloir rien dire ; mais, dans l'état actuel des choses (surtout, après avoir lu ton dernier post) ?
Amitiés.

Xavier


PS : 11h15 ; le revoilà, dans les eaux du SC...

traduction google du tweet :

Citation :

Ma mise à jour du matin, le Seabed Constructor travaille le long de la frontière sud de la zone-9. On s'attend à ce qu'ils inspectent le POI-17 avec un ROV aujourd'hui.

https://twitter.com/LabratSR/status/1052485254840246272