Royal Navy : les news

21/07/2007

Les patrons de la Royal Navy n’arrivent pas à faire passer le message

Alors que le ministère des Finances Britannique cherche à trouver de l’argent pour financer l’effort de guerre en Irak, les dirigeants de la Royal Navy ont beaucoup de mal à faire prendre conscience au public et aux politiques qu’elle joue un rôle crucial dans les opérations en Afghanistan et en Irak.
En Grande-Bretagne, l’attention des médias, et donc du public et des hommes politiques, est concentrée sur les opérations terrestres qui se déroulent en Irak et en Afghanistan. La réputation de la Royal Navy a été ternie par la prise en otages de marins par l’Iran.

A la recherche de financements pour les opérations terrestres, le ministère des finances effectue des coupes sombres dans les autres activités et dans les programmes de construction. Une partie des navires de la Royal Navy seraient bloqués à quai par manque de carburant ou de pièces détachées. Certains projets de construction de frégates pourraient être remise en cause. Pour l’instant, protégé parce que devant bénéficier à la circonscription du premier ministre, le projet de 2 porte-aéronefs n’a pas été touché.

Pourtant, la Royal Navy participe de façon importante aux opérations, y compris terrestres, allant même jusqu’à effectuer l’entretien de véhicules blindés de l’armée de terre. Mais rien ne semble y faire : cela n’intéresse ni les médias, ni le public.

Un point a tout de même semblé retenir, un temps, l’attention de certains tabloïds : si la réduction du format de la Royal Navy était aussi importante que souhaitée par le ministère des finances, elle aurait moins de navires que la Marine Nationale française. Et cela serait une première depuis des siècles. “Shocking, isn’it ?”

Source: Le portail des sous-marins

Et la réduction des navires de la Royal Navy pourrait être terrible




Lire l'article ---> Labour's secret plans to slash the Navy

C'est incroyable mais si on en croit le tableau ci-dessus la Royal Navy n'aura plus de chasseur/dragueur de mines

Après les hollandais, ce sont les anglais qui dégraissent leur flotte

Dommage pour un pays qui a une telle réputation de marin.
Mais on peut constater que l'ASW reste un moyen de persuasion primordial.
Si les anglais coupent dans les dragueurs et chasseurs, ils ne suppriment pas beacoup de sous-marins. Par contre, ils gardent pas mal de landings.¨
Preuve que les opérations humanitaires sont aussi à la page.

C'est terrible de voir fondre comme neige au soleil une si grande marine avec une pareille histoire !!!

Je ne sais pas si c'est à cause des frais de la guerre en Irak qu'ils en sont arrivé-là mais en tout cas c'est triste !


---> http://www.savetheroyalnavy.org

13/12/2008

La Royal Navy sera durement affecté par la crise financière touchant le Royaume-Uni

Les problèmes financiers qui touchent la Grande-Bretagne forcent la Royal Navy à retarder ou abandonner 3 programmes majeurs....


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16/12/2008

Faute d'argent, la Grande-Bretagne retarde la réalisation de ses nouveaux porte-avions

Déjà repoussée à 2014, la livraison du HMS Queen Elizabeth, premier des deux porte-avions britanniques du programme CVF, n'interviendra pas avant 2015, si ce n'est 2016....


Lire la suite sur ---> meretmarine.com

3/02/2010

La Royal Navy a traduit 55 officiers en court martiale

Au cours des 10 dernières années, plus de 50 officiers de la Royal Navy, dont 3 commandants, ont été traduits en court martiale, selon des chiffres publiés par le ministère britannique de la défense.

La liste des infractions s’étend de l’ivresse à bord, dormir pendant son quart, vol et mise en danger de son bâtiment ou de son sous-marin. Les peines infligées vont de l’amende et de la perte d’ancienneté au renvoi de la Navy et à la prison.

Les noms des officiers impliqués n’étaient pas mentionnés dans les documents publiés par le ministère.

Mais on sait que 2 commandants de sous-marin ont été sanctionnés pour leur participation à l’échouement d’un sous-marin, provoquant des dégâts de 5 millions de £.....


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A concept design for a Type 26 Combat ship is seen in this handout computer-generated image (CGI) released by BAE Systems in London March 25, 2010. BAE Systems has won a 127 million-pound ($189.5 million) four-year contract to produce the specification for development and manufacture of a new class of British warship, Defence Secretary Bob Ainsworth said on Thursday. The warship contract was awarded after the government decided to proceed with the assessment phase for the Type 26 Combat ship, the Royal Navy's next generation surface warship, Ainsworth said in a statement. (Reuters Pictures)

Bonjour Olivier et merci pour les renseignements
Bon dimanche
amitiés
Roger

25/09/2010

La Royal Navy menacée par un plan de réduction drastique

Les chefs des armées britanniques ont conçu un plan drastique pour réduite de moitié la flotte de la Royal Navy.

Selon un projet de réduction consulté par les journalistes du Sun, la flotte britannique sera réduite à seulement 12 frégates et destroyers [1].

La flotte de surface britannique, autrefois la plus crainte dans le monde entier, plus petite que n’importe quel autre pays majeur en Europe, sauf le Portugal.

Et 7.500 postes de marins seront supprimés, soit plus d’un cinquième du personnel de la Navy (35.760).

Le projet rendrait la Navy, qui a remporté les batailles de Trafalgar, du Jutland et des Falklands, impossible à reconnaître.

Le plus proche descendant du plus grand héros de la Royal Navy, l’amiral Lord Nelson, a déclaré que ce projet l’avait horrifié.

Et une source navale a indiqué que "ce ne serait pas seulement un désastre. Nous nous dirigeons vers une humiliation nationale."

Ces réductions massives sont envisagées parce que le Trésor a ordonné de réduire le budget de la défense de 19%.

Perdre 12 frégates et destroyers est le prix que la Navy devra payer pour conserver ses 2 porte-avions. Les navires amphibies Albion et Bulwark, qui sont entrés en service il y a seulement 7 ans, seront vendus.....


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Ils vont bientôt avoir une flotte de la même taille que la notre

19/10/2010

Austérité: la Grande-Bretagne démantèle un porte-avions et reporte un programme nucléaire

LONDRES — Le Premier ministre britannique David Cameron va annoncer ce mardi le démantèlement du porte-avions et navire-amiral de la Royal Navy et le report de la modernisation de l'arsenal nucléaire, dans le cadre d'un vaste plan d'austérité, ont indiqué des sources gouvernementales.

Le porte-avions HMS Ark Royal sera démantelé "avec effet immédiat", a-t-on précisé de mêmes sources. L'Ark Royal est le seul porte-avions britannique entièrement opérationnel. Lancé en 1985, il devait initialement être démantelé en 2014.

Cette décision signifie que le Royaume-Uni se retrouvera sans la capacité de faire décoller des chasseurs sur des porte-avions, jusqu'en 2019 voire 2020, le temps que soit opérationnel l'un des deux nouveaux porte-avions en construction.

Par ailleurs, le renouvellement du coûteux programme Trident de dissuasion nucléaire, basé sur des missiles lancés de sous-marins, a été repoussé de cinq ans, soit après les prochaines élections législatives prévues en 2015.

Lors de sa présentation devant la chambre des Communes, vers 14h30 GMT, le Premier ministre conservateur détaillera des réductions budgétaires d'un peu moins de 8% dans la défense, imposées dans le cadre d'un programme d'austérité draconien qui touchera l'ensemble des ministères. Ces coupes, qui seront détaillées mercredi, visent à résorber d'ici cinq ans la quasi-totalité du déficit public, qui dépasse les 10% du Produit intérieur brut.

Les choix effectués pour la défense faisaient l'objet de nombreuses critiques dans la presse de mardi, le Times titrant sur le "fiasco" des porte-avions. Le Daily Telegraph, proche des conservateurs, fait quant à lui sa une sur "la rigolade de la marine".

Mme Alex Ashbourne-Walmsley, experte à la Royal United Services Institute, a qualifié le démantèlement de l'Ark Royal de "très curieux", en particulier après la nouvelle stratégie de défense, annoncée lundi, et qui "a très clairement établi que l'un des rôles du Royaume-Uni dans les cinq à vingt ans était d'intervenir en mer".

"Je ne crois pas qu'aucune des mesures que nous allons prendre affecteront en quoi que ce soit notre pouvoir de dissuasion nucléaire ni notre capacité à disposer d'une capacité de frappe permanente en mer", a répondu à la même radio le ministre britannique de la Défense, Liam Fox.

M. Fox a par ailleurs renouvelé son engagement à moderniser le programme Trident et à maintenir "le pouvoir de dissuasion nucléaire permanent en mer".

Pour ce faire, le Royaume-Uni fait tourner quatre sous-marins Vanguard, capables de lancer des missiles nucléaires Trident, qui nécessitent d'être remplacés pour un coût de 20 milliards de livres (23 milliards d'euros). Le report du programme signifie que le premier des nouveaux modèles n'entrera pas en service avant 2027 au mieux, contre 2024 comme initialement prévu, un délai que certains experts estiment insoutenable étant donné l'âge des sous-marins actuels.

David Cameron a téléphoné lundi soir au président américain Barack Obama pour lui assurer que le Royaume-Uni resterait "une puissance militaire de premier plan".

Source: AFP

20/10/2010

Londres sacrifiera un de ses deux porte-avions à terme

Le premier des deux navires en construction sera mis sous cocon ou vendu. Le second va devoir subir une grosse transformation pour accueillir des avions moins chers.

« Le fiasco » pour le « Times », « la rigolade de la marine » pour le « Daily Telegraph »… La presse anglaise n'était pas tendre, hier, à l'encontre du gouvernement Cameron. Le sujet de la polémique ? Les deux futurs porte-avions britanniques, symboles de la volonté du pays de maintenir sa puissance maritime, dont un sera sacrifié sur l'autel du déficit public.

Evalué à 5 milliards de livres et confié à un consortium industriel incluant BAE Systems, Thales ou encore Rolls-Royce, le programme a survécu aux arbitrages budgétaires. Mais uniquement parce que l'annuler aurait coûté plus cher, a reconnu le Premier ministre. Surtout, la Royal Navy ne conservera à l'arrivée qu'un seul des deux bâtiments. Et encore, ses ingénieurs vont devoir faire appel aux industriels américains ou français pour finir le travail !

Faute d'argent pour mener à bien le programme initial, Londres a décidé que le « Queen Elizabeth » -le premier des deux porte-avions dont la construction a débuté et qui est attendu en 2016 -servira de porte-hélicoptères. Trois ans plus tard, il sera mis sous cocon ou vendu à une marine étrangère quand le « Prince of Wales », le second de la série, entrera en service normalement. Mais pas dans la configuration prévue jusque-là.
Système de catapulte

Le « Prince of Wales » a en effet été dessiné pour accueillir une version à décollage court et atterrissage vertical du F-35, le futur avion de chasse de l'armée américaine, construit par Lockheed Martin. Sauf que cette version risque de coûter une fortune. Pour baisser la facture, Londres a donc décidé de se rabattre sur la version catapultée du F-35, moins chère a priori. Problème : installer un système de catapulte sur le « Prince of Wales » nécessite d'importants changements dans l'architecture du navire.

« C'est une cicatrice importante qui touche à la stabilité, à la sécurité et à la flexibilité du porte-avions », confirme un spécialiste. Selon Bloomberg, il y en aurait pour plusieurs centaines de millions de livres. Le ministère de la Défense britannique fait le pari qu'il pourra financer ce surcoût grâce aux économies tirées du changement de version du F-35. Pourquoi pas ? Mais les négociations avec Lock-heed Martin ne vont pas être faciles. Surtout, les Anglais ont perdu leur savoir-faire en matière de catapultes depuis les années 1970. Ils devront donc faire appel aux deux seuls pays qui maîtrisent l'installation de cette technologie : les Etats-Unis et la France, avec DCNS.

Source: lesechos.fr