Portuguese Navy - Marine portugaise

Modernisation de la frégate ‘Bartolomeu Dias’ dans les chantiers de Damen à Vlissingen :

https://twitter.com/Defaereanaval/status/1137313101672566784

La frégate NRP en cours de modernisation (aux normes belgo-néerlandaises) à Den Helder :

La frégate D. Francisco de Almeida est entrée en cale sèche à Den Helder, franchissant ainsi une nouvelle étape importante dans son projet de modernisation.

https://twitter.com/MarinhaPT/status/1334835995624214529

Bonjour et merci, Olivier.

C'est là que l'on s'aperçoit que l'on n'a pas perdu son temps, en travaillant 4 ans, au Portugal.
Quand j'y étais ; j'ai pu visiter l'Aviso "QM Anquetil", à "Leixoes", le port de Porto.
Heureusement que je me souvenais de mon matricule ; sinon je n'aurais pas eu droit à une petite visite privée, du bord, et à une pinte de bière...
Amitiés.

Xavier

Portuguese Navy “on brink of catastrophe”

La marine portugaise «au bord de la catastrophe»



The Portuguese Navy is on the brink of catastrophe: only one of its five frigates is operational and the Vasco da Gama – the jewel in the crown of the country’s ‘war fleet’ – has been anchored in the Arsenal de Alfeite shipyard for the last four years, awaiting hugely expensive repairs.

Explains Expresso, “the more the time passes, the more difficult it will be” to repair the frigate to point that it can return to active service.

Indeed, maintenance issues throughout the Navy have reached crunch point.


Former Naval chiefs have described the situation as “disastrous” and “a catastrophe”.

A number of ships have had to make do with ‘cannibalised’ repairs, to ensure their permanence at sea – and at time of writing only one frigate, the Álvares Cabral, is in full working order.

The Corte Real is being made ready for a NATO mission in August, two others are in Holland being ‘modernised’: D. Francisco de Almeida is “at a more advanced stage”, says Expresso, but the Bartolomeu Dias was unfortunately rammed in the boatyard by a towboat “for which reason delivery will be delayed”.

“Even the four brand new Naval Ocean Patrol boats, known as NPOs, are starting to have problems”, while plans to purchase six more seem to have hit the doldrums.

Former CEMA (Naval chief of staff) Admiral Macieira Fragoso stresses: “If nothing is done, and if the budgetary situation persists (for that read: lack of available cash) we are headed for a situation of catastrophe in terms of ships”.

In terms of submarines (which cost a billion euros to purchase in 2014 and tens of millions to maintain ever since), Trident is operational, Arpão is stuck in Alfeite.

Indeed, this is another part of the problem: due to the massive descaling of professionals at the naval shipyard since the troika years, there simply aren’t enough ‘specialised workers and engineers’ to work on naval boats, even if the money came through.

Due to Arpão’s size – and its maintenance priority – work on other vessels has been delayed.

Says Expresso, defence minister João Gomes Cravinho is in ‘intense dialogue’ with the ministries of finance and infrastructures – but finance minister João Leão has a reputation of holding onto cash as long as possible.

“When he was budget secretary under (his predecessor) Mário Centeno” colleagues described him as “having thrown away the keys to the safe with the State’s money left inside”, says the paper.

In other words, easing the naval budget along is not proving an easy task.

Even if it was, the “accumulation of deficiencies” has reached a point that money cannot perform miracles.

Said Macieira Fragoso “if the government gave the Navy €30 million tomorrow, Alfeite would not have the capacity of response because of successive years of degradation…”

The PSD has already suggested the government use some of Europe’s bazooka funding to invest at least in Alfeite – but to date nothing has been decided.

La marine portugaise est au bord de la catastrophe: une seule de ses cinq frégates est opérationnelle et le Vasco da Gama - le joyau de la `` flotte de guerre '' du pays - est ancré au chantier naval Arsenal de Alfeite depuis quatre ans. ans, en attendant des réparations extrêmement coûteuses.

Explique Expresso, «plus le temps passe, plus il sera difficile» de réparer la frégate au point qu'elle puisse revenir en service actif.

En effet, les problèmes de maintenance dans toute la marine ont atteint un point critique.


Les anciens chefs de la marine ont qualifié la situation de «désastreuse» et de «catastrophe».

Un certain nombre de navires ont dû se contenter de réparations «cannibalisées», pour assurer leur permanence en mer - et au moment de la rédaction de cet article, une seule frégate, l’Álvares Cabral, est en parfait état de fonctionnement.

Le Corte Real est en cours de préparation pour une mission de l'OTAN en août, deux autres sont en Hollande en cours de «modernisation»: D. Francisco de Almeida est «à un stade plus avancé», dit Expresso, mais le Bartolomeu Dias a malheureusement été percuté dans le chantier naval par un remorqueur «pour quelle raison la livraison sera retardée».

«Même les quatre tout nouveaux bateaux de patrouille navale océanique, connus sous le nom de NPO, commencent à avoir des problèmes», tandis que les projets d’achat de six autres semblent avoir atteint le marasme.

L'ancien chef d'état-major de la CEMA (chef d'état-major de la marine), l'amiral Macieira Fragoso, souligne: «Si rien n'est fait, et si la situation budgétaire persiste (pour cela lire: manque de liquidités disponibles), nous nous dirigeons vers une situation de catastrophe en termes de navires».

Au niveau des sous-marins (qui ont coûté un milliard d'euros à l'achat en 2014 et des dizaines de millions à entretenir depuis), Trident est opérationnel, Arpão est coincé dans Alfeite.

En effet, c'est une autre partie du problème: en raison du détartrage massif des professionnels du chantier naval depuis les années de la troïka, il n'y a tout simplement pas assez de `` travailleurs spécialisés et d'ingénieurs '' pour travailler sur des bateaux de guerre, même si l'argent est passé. .

En raison de la taille d’Arpão - et de sa priorité de maintenance - les travaux sur d’autres navires ont été retardés.

Selon Expresso, le ministre de la Défense João Gomes Cravinho est en «dialogue intense» avec les ministères des finances et des infrastructures - mais le ministre des finances João Leão a la réputation de conserver les liquidités le plus longtemps possible.

«Lorsqu'il était secrétaire au budget de (son prédécesseur) Mário Centeno», ses collègues l'ont décrit comme «ayant jeté les clés du coffre-fort avec l'argent de l'État laissé à l'intérieur», dit le journal.

En d'autres termes, alléger le budget naval n'est pas une tâche facile.

Même si c'était le cas, «l'accumulation de carences» a atteint un point tel que l'argent ne peut pas faire de miracles.

Selon Macieira Fragoso, «si le gouvernement donnait demain 30 millions d'euros à la Marine, Alfeite n'aurait pas la capacité de réponse à cause des années successives de dégradation…»

Le PSD a déjà suggéré que le gouvernement utilise une partie du financement européen du bazooka pour investir au moins dans Alfeite - mais à ce jour, rien n’a été décidé.

Thierry

Le Sagres Navire-école de la Marine PORTUGAISE
Construit en Allemagne, de 1937 a 1938, il s'appelait alors
Albert Leo Schlageter . Endommagé par une mine en Mer Baltique, il fut récupéré par les Américains en 1945 & Vendu au Brésil, il prit le nom de Guanabara . Et fut enfin vendu au Portugal en 1961 & porte aujourd'hui le nom de Sagres, du nom d'un promontoire situé a côté du Cap Saint-Vincent ... Reconnaissable a ses voiles frappées de la croix du Christ de couleur rouge . Le SAGRES II est devenu, en 1962, Le Navire-école pour les Cadets, futurs officiers, de l'École Navale Portugaise .. C'est le Voilier le plus Vélèbre de la Marine Portugaise .. Participations a l'Armada de Brest en 1989, 1994, 1999, 2003, 2013



Thierry