Quelques photos et video de US-NAVY

Défense anti-missiles: un premier destroyer Aegis à Rota (Espagne) à partir de la mi-février le 14/01/2014


Quatre destroyers de la classe Arleigh Burke équipés du système de combat Aegis et de missiles anti-missiles SM-3, doivent être basés à Rota, en Espagne. (Photo DR)

Le premier des quatre destroyers Aegis déployés par les États-Unis dans le cadre de l’European Phased Adaptive Approach va arriver en Espagne vers le 10 février, indique le journaliste d'Ouest-France Philippe Chapleau sur son blog "Lignes de défense".

Les quatre destroyers seront basés à Rota, près de Cadix. Il s'agit des USS Ross, USS Donald Cook et USS Porter, qui viendront de Norfolk, et de l'USS Carney de Mayport. Ces destroyers de la classe Arleigh Burke sont équipés du système de combat Aegis et de missiles anti-missiles SM-3.

Le Ross et le Donald Cook arriveront au cours de l'année fiscale 2014 et les deux destroyers suivants au cours de l'année fiscale 2015.

L'Approche adaptative phasée européenne prévoit la mise en place en quatre phases, jusqu’à 2020, de missiles SM-3 sur des plates-formes navales (Aegis) puis à terre (Roumanie et Pologne).

Ce dispositif de défense anti-missiles est mis en place sous l'égide de l'Otan. Il est officiellement présenté comme un moyen de "défendre l'Europe des attaques potentielle de missiles balistiques venant de pays comme l'Iran".

États-Unis : la commande de Littoral Combat Ships risque d'être fortement réduite le 16/01/2014


Le Littoral Combat Ship a pour particularité de se décliner en deux types de navires, un navire monocoque de 3 000 tonnes et un navire trimaran de 3 200 tonnes. (Photo DR)

L'un des programmes phare de l'US Navy, celui des Littoral Combat Ships, risque d'être fortement réduit. L'actuelle numéro 2 du Pentagone, Christine Fox, a transmis une note le 6 janvier à l'US Navy lui demandant d'envisager de le ramener de 52 à 32 navires. Soit 20 exemplaires de moins.

Le Littoral Combat Ship (LCS) est un programme visant à déployer d'ici 2026 une nouvelle classe de frégates furtives légères modulaires ayant pour vocation, comme leur nom l'indique, le combat en zone littorale. Le coût total du programme est aujourd'hui évalué à 32 milliards de dollars (23,5 milliards d'euros).

Le Littoral Combat Ship a pour particularité de se décliner en deux types de navires, un navire monocoque de 3 000 tonnes et un navire trimaran de 3 200 tonnes. Un consortium mené par General Dynamics construit le trimaran et un autre consortium mené par Lockheed Martin le monocoque.

La hausse des coûts mais aussi des doutes sur les capacités réelles de ces navires assez faiblement armés ont conduit certains analystes à s'interroger sur la pertinence de ce programme.

Les partisans du programme font valoir que ces navires plus petits, à équipages réduits, représentent la meilleure façon pour l'US Navy d'accroître la taille de sa flotte, qui atteint aujourd'hui un plus bas historique.

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US navy destroyers and cruisers in action .


Excursion en bateau
Un petit tour des navires de la Marine qui sont stockés dans la baie près de Martinez.

Arrivée en Espagne du premier destroyer américain du bouclier anti-missile le 14/02/2014


Mise à feu d'un missile à bord de l' "USS Donald Cook". (Photo : US Navy)

L’USS Donald Cook vient de prendre position à Rota, base navale espagnole proche de Gibraltar. Pour la première fois, un navire américain doté du système de combat Aegis capable de neutraliser les missiles balistiques (missile lancés verticalement au-dessus de l'atmosphère qui retombent ensuite sur terre preque verticalement) est basé en Europe. Trois autres destroyers doivent suivre.

L’Otan indique qu’il s’agit d’« une étape supplémentaire pour l’Otan, pour la sécurité européenne et pour la coopération transatlantique ».

L’USS Donald Cook est un destroyer de type Arleigh Burke, de 8 500 tonnes à pleine charge, la classe la plus importante et encore prolongée de destroyers lance-missiles de l’US Navy, qui en compte près de 70.

Les quatre destroyers, qui sont aptes à participer à toute mission militaire classique, sont déployés dans le cadre de l’« approche adaptative phasée » pour l’Europe, qui doit atteindre son plein format en 2020, avec un certain nombre de missiles SM-3 à bord de navires de combat équipés du système de combat Aegis. Vingt-huit pays membres de l’Otan sont concernés par le projet de bouclier anti-missile, qui constitue l’un des points de désaccord entre l’Otan et la Russie.

Un jouet impressionnant.
Il y avait du monde au poste d'admiration pour ce catapultage et cet appontage, le bébé est filmé et photographié sous tous les angles !

US Navy : le programme Littoral Combat Ship victime des coupes budgétaires le 25/02/2014


Le programme Littoral Combat Ship de frégates légères furtives a pour particularité de se décliner en deux types de navires, l’un monocoque, l’autre trimaran. (Photo DR)

Si les coupes prévues dans le budget américain de la Défense épargnent assez largement l’US Navy, celle-ci va néanmoins devoir tailler dans l'un de ses programmes phares, celui des Littoral Combat Ships, avec une commande ramenée de 52 à 32 navires. C’est ce que le secrétaire américain à la Défense, Chuck Hagel, a indiqué le lundi 24 février en dévoilant les grandes orientations budgétaires du Pentagone pour 2015.

Le Littoral Combat Ship (LCS) est un programme visant à déployer, d'ici 2026, une nouvelle classe de frégates furtives légères modulaires ayant pour vocation, comme leur nom l'indique, le combat en zone littorale. Il a pour particularité de se décliner en deux types de navires, l’un monocoque construit par Lockheed Martin, l’autre trimaran construit par General Dynamics. Le coût total du programme était jusqu’à présent évalué à 32 milliards de dollars (23,5 milliards d'euros).

La hausse des coûts mais aussi des doutes sur les capacités réelles de ces navires assez faiblement armés et protégés ont conduit certains analystes à s'interroger sur la pertinence de ce programme. Critique reprise par Chuck Hagel qui craint que ces frégates légères ne puissent affronter des marines modernes, "surtout en Asie-Pacifique", zone où elles doivent se déployer en priorité.

En revanche, la marine américaine conserve l’objectif de maintenir en service 11 porte-avions. Mais une décision devra être prise en 2016 sur le retrait du service ou la refonte à mi-vie de l’USS George-Washington. Son maintien en flotte aurait un coût de 6 milliards de dollars (4,4 milliards d’euros) selon Chuck Hagel.

Enfin, la flotte de 22 croiseurs de la classe Ticonderoga est préservée. Mais la moitié d’entre eux seront "mis de côté" dans l’attente de leur modernisation.

Après avoir doublé depuis 2001, le budget du Pentagone est maintenant confronté à une baisse durable des dépenses évaluée à 20% entre 2010 et 2017. L’armée de terre subit l’essentiel des sacrifices avec des effectifs qui seront ramenés de 520 000 hommes aujourd’hui à 440 000 en 2017.

thierry

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nettoyage du pont d'envol





thierry

ça ne passe pas loin



thierry

un transfert pas comme les autres



thierry