Regia Marina

Quand j'étais gamin, ça remote à avant la guerre , j'étais déjà passionné de navires. Cela devait avoir pour origine le film Alerte en Méditerranée dans lequel Pierre Fresnay était de commandant d"un contre torpilleur français en Méditerranée pendant la guerre civile espagnole alors encore en cours. Le paquebot El Djezaïrn en panne de machine était sous le vent et menacé par un grand nuage toixque
émanant d'un cargo chargé de gaz de contrebande torpillé par un sous marin (on le le disait pas,mais on cmprenakit qu'il était italien. L'eL Dezaïr fut sauve grâce et au cueage de l'officier de la Royal Navy, le commandant Falcon en liaison sur le contre torpilleur.
J'avais aussi visité le contre tormpilleur L'Adroit en visite au quai du Steen à Anvers. Tout blinquait (comme ne disent pas les Français)à bord avec encore une bonne odeur de cuisine et de vin dont je me souvient encorr.
J'avais commencé une colletion de petits modèles Viking au 1/1200ème très bien faits, sûrement des pièces de collection actuellement. J'en avais trois ; HMS Exeter, l'Emile bertin, et (devinez !) le Gorizia nous jouuoions souvent à la guerre navale sur les tapis de la villa d'un copain voisin. Le 9 mai 40 j'avais laissé nous avions laissé de petits navires chez le copain voulant terminer le jeu le surleneman samedi.
Vous savez ce qui arriva nous partpimes touss comme réfugiés sans préavis. A ma rentrée la villa était occupée par des aviateurs italien basés à Steenockerzeel (maintenant Melsbroek. Mon Gorizia est donc rentré en Italie...

 robert

Voici une précision historique concernant la présence étonnante d'aviateurs italiens en Belgique, racontée par Robert  :
 
"Quelques mois après la capitulation de la Belgique, les troupes allemandes commencent la construction à Melsbroek, dans la banlieue bruxelloise, d’un terrain d’aviation, baptisé « terrain n° 13 », qui ne comprend initialement que la piste et un hangar. Dès septembre 1940, la Luftwaffe y stationne des Junkers 88 et des Heinkel 111.
 
Un mois plus tard, à la suite d’accords conclus avec l’Allemagne, l’Italie dépêche à Melsbroek un contingent de bombardiers. Ces appareils, des BR 20M, font partie du Corpo Aereo Italiano. Ils effectuent leur première mission de guerre le 24 octobre 1940. Les résultats engrangés par cette unité ne sont guère probants et en janvier 1941 les appareils restants regagnent l’Italie."

Si quelques uns le souhaitent jpeux passer quelques souvenirs du passage des italiens à Bruxelles. Je pourrais peut-être retrouver chez un ami un fim amateur tourné Grimbergen en été 1940. Les aviateurs allemands croyayent manifestement que la guerre était finie et faisaient du tourisme aérien ou à Waterloo et Bruxelles. L'unité srationnée sur l'aérodrome de Grimbergen était un staffel météo de Dornier Do 17. Dans un banquet en plein air dans le chaâteau de Grimbergen on voit l'officier de liaison italien dans son uniforme plus clair et sa chemise noir. Si je le retrouve je pourrais le mettre sur un cd et peut être quelqu'un pourra -il en faire une video pour lee. On y voit aussi un survol de la côte de Boulogne - nieuport avec vue des ruines et des épaves encore présentes.Mais SANS GARANTIE à ce stade. Amitiés à tous. Robert

Bonjour Robert,
Ce sera avec plaisir que de pouvoir suivre la suite de tes récits.
Amicalement
STAN

salut les amis
 une parenthése avant la suite de Robert

il faut savoir que le 1er aérodrome de bruxelles se trouvait a Haren
on l'appelait "l'aérodrome d'Everre".
Certains d'entre nous sont aller a Everre Nord (Staff actuellement)
Pour Haren on disaient "Everre Sud"
Certains on bien connus l'AVIA
voici un petit historique:
 
 
 
 
 
lors de la Première Guerre mondiale, les Allemands établirent une piste en gazon longeant la « Chaussée de Haecht » à Haeren et construisirent quelques hangars en bois conçus pour stocker les zeppelins.
[ 
 

 

 
À la fin de la guerre, le petit aérodrome est devenu une petite piste utilisée par l'armée belge.
 
En 1923, dès avant la grande lancée des traversées transatlantiques par avion, la compagnie aérienne belge Sabena s'établit à l'aérodrome qui devient un petit aéroport civil.
La jeune société prend aussi comme siège les bâtiments existants.

En 1929, les vieux hangars en bois sont remplacés par un tout petit terminal d'aéroport qui servait pour l'accueil des passagers et la vérification des billets. En outre, il y avait une tour de contrôle et des équipements d'entretien.
 
La ville de Bruxelles se développe et les progrès de l'aviation rendent cet aérodrome obsolète par sa petite taille et la nécessité pour certains avions d'avoir des pistes en dur.

On avait déjà entamé une petite rénovation de l'aérodrome lorsque la Seconde Guerre mondiale commence en 1940.
 
En 1940, les Allemands construisent à nouveau un aérodrome militaire, mais cette fois, à Melsbroek : plus grand et installé sur un terrain de 600 hectares, il possède cette fois trois pistes alignées en triangle.
La construction de la première se termine en juillet 1940 et les deux autres sont construites peu de temps après.
 
Après la guerre, le gouvernement belge décide d'abandonner l'ancien aérodrome et d'adapter celui de Melsbroek au trafic civil en allongeant les pistes.
 
Jusqu'à la fin de la construction du terminal du nouvel aérodrome, les utilisateurs de l'aéroport doivent utiliser le vieux terminal d'Haeren et se faire conduire en autocar jusqu'aux nouvelles pistes.
 
les quichets

Merci encore pour votre intéret et les belles photons de Christian, j'ai pas mal à raconter sur cette époqie de la guerre et sur Evere où j'allais à bicyclettes les avions, JU 52 de la Deursche Lufthansa aux empennages à croix gammée, lrs Hanley age HP de la ligne Londres-bruxelles avec le steward qui acceuillait les passagers au pied d'un petite échelle de trois marche avec un fanion de l'Imperial Airways. 9a m'amuse de continuer mais je devrai faire attention de ne pas trop dérivé sur l'aviayion, nous sommes un site de marine<; salut à tous.

bonjour Robert  
tout a fait d'accord, mais cecci n'était qu'une parenthése, et ,si Jean Claude 48 nous aides avec la doc qu'il peut trouver sur le sujet est trés bien venus.
Car allors on que celà intéresse  

salut robert

trés intéressant
mon grand pére paternel a fait son service militaire comme électricien
sur l'aéroport de haeren

en 40 les boches l'ont obligé a partir sur l'aéroport de montpellier
c'était ca ou partir dans une usine allemande il a réussi a emmener
son beau frére en le faisant passer comme électricien alors qu'il était
comptable

ils ont failli etre fusillés plusieurs fois car les résistants venaient le nuit
saboter les installations et les boches le matin devaient trouver
des coupables heureusement que ce sont des amis maintenant
tiens ,qu'ils paient les dommages de guerre de la ww2 qu'ils
devaient paier lors de la réunification et terminent de paier ceux
de la premliére , facile de se faire passer pour des spécialistes de
l"économie aprés avoir 2 Fois pillé l'europe et quasiment rien
remboursé   

on devrait commémorer chaque année le non remboursement
facile aprés ,dans le fond ils ont gagné la guerre tout en l'ayant
perdue:Smilie_42: 

Bonjour Jean Claude, l'avion G-EBLO est un Armstrong Wirhworth Argosy Mk I ( N° constructeur AW 155 livré en 1926 à Imperial Airways et détruit dans un crash en Egypte en 1931 je n'en ai donc jamais vu) les deu trimoteurs pâles sont des Savoia
Marchetti S 73 de la SABENA. Sans connaître leur immatriculation il est impossible de retrouver leur sort. J'en ai souvent vu, iks étaient de couleur crème avec des immatriculattion brun chocolat et non noires. Il faisaient la liaison Belgique Congo aussi bien que le réseau européen de la compagnie.

Mille excuse à Christian, ja"i commis un lapsus avec son nom ! Sans rancune ? Amitiés. Robert

Pas de problêmes Robert  

Message pour Christian, Il peux passer avec plaisir la photo du Barbarigo dont je parlerai prochainement

On peut les diviser en trois périodes : l'installation à Bordeaux avec le commencement des opérations en Atlantique, le théâtre d'opération des Açores et le l4atlantique Sud et la mise en service dans des opérations de forceurs de blocus vers le Japon.
A la fin de juillet 40 Supermarina lança une mission epérimentale pour tester le passage du détroit de Gibraltar. Ce passage était très périlleux pour deu raisons, tout d'abord les forts courants de marée qui rendent la navigation en plongée difficile. Ensuite, et surtout, les patrouilleurs de la Royal Navy qui sillonnaient le détroit. Quatre unités furent envoyées, les Malaspina, Cappellini (1), Venerio et Calvi pour râter les défenses anglaises. Cela montra que les patrouilleurs anglais étaient effectivement très actifs et dangereux mais ne constituaient pas une entrave définitive au passage.
Les Malaspina,Cappelini,Barbarigo et Dandolo partirent pour leur première mission le 1er août . Le Malaspina naviguant en surface fut obligé de plonger en catastrophe et heurta le fond rocheux qui lui causa des avatries à se barres de plongée. Il put cependant refaire surface un peu plus tard pour réparer pour réparer ses avaries. pour commencer la premiere croisière de guerre avant de gagb$ner Bordeaux
Il enregitrera aussi la première victoire de Betasom en coulant le pétrolier anglais British Fame.