Recherche du sous-marin argentin disparu: les news (1)

mise à jour des positions des navires :

https://twitter.com/elparanadiario/status/946346112088018944

traduction google de l'article :

Citation :

Une commission a été créée pour enquêter sur ce qui est arrivé au sous-marin ARA San Juan (28.12.2017)

Le Sénat a approuvé à l'unanimité la loi qui établit la création au Congrès d'une commission d'enquête sur la disparition du sous-marin ARA San Juan.

La nouvelle norme a été approuvée sans débat avec 67 voix en faveur et a obtenu le soutien unanime obtenu la semaine dernière à la Chambre des députés.

Le Sénat a reçu les membres des familles des 44 membres d'équipage du sous-marin disparu le 15 novembre dernier, lors d'une réunion convoquée par le bloc FPV-PJ.

Les proches des membres d'équipage de l'ARA San Juan demandent qu'ils n'abandonnent pas la recherche.

Alors que le bloc a annoncé que la réunion comme une rencontre entre les sénateurs FPV conduit par l'ancien président Cristina Kirchner, avec les parents des marins, il a décidé de l'ouvrir à tous les sénateurs et ont assisté à Magdalena Odarda (Front progressiste ) et Julio Cobos (Change).

Après avoir écouté les parents qui ont pour la plupart accepté de demander une enquête sur la Marine, tous les sénateurs présents à la réunion se sont engagés à voter la loi.

La Commission, qui sera composée de six députés et de six sénateurs, aura pour mission d'enquêter sur les opérations de disparition, de recherche et de sauvetage du sous-marin.

Selon le texte du projet de loi, la Commission peut demander des rapports à tout les organismes publics, ordonner la citation de fonctionnaires et prendre des déclarations de témoignage et accéder aux dossiers du Système national de renseignement, entre autres facultés.

En outre, il aura une durée d'un an, extensible pour une année de plus, pour publier un rapport final sur les causes qui ont conduit à la disparition de ARA San Juan.

L'intention du Kirchnerisme, comme l'a déclaré hier le président du bloc FPV-PJ, Marcelo Fuentes, est de "citer le ministre de la Défense, Oscar Aguad" et de promouvoir la continuité de la recherche du navire.

Source : elparana.coml

traduction google de l'article :

Citation :

L'ARA San Juan reste de plus en plus seul (28.12.2017)



L'Argentine n'aura plus l'équipement sophistiqué fourni par les puissances étrangères - que le gouvernement a exhibé d'un ton triomphant après la disparition du sous-marin ARA San Juan - avec lequel la recherche du navire se termine pratiquement ou entre dans une phase simplement testimonial. La marine argentine a rapporté hier que le navire océanographique américain Atlantis se retirera de la zone. Aussi, le navire Yantar, de la Fédération de Russie, conclurait sa participation à la mi-janvier, ce qui marque une limite aux tâches pour trouver le San Juan, malgré les promesses du gouvernement de ne pas s'arrêter jusqu'à ce qu'on ai retrouvé le sous-marin. « Nous quittons la recherche et c'est le reflet du peu de soutien que nous avons eu du président (Mauricio) Macri, à qui nous avons demandé de nous recevoir et de nous écouter dans cette lutte de la douleur et de l'angoisse », se plaignait la femme d'un marin du sous-marin.

Les États-Unis retireront le navire Atlantis et son ROV (véhicule sous-marin télécommandé), qui permet une recherche jusqu'à six mille mètres de profondeur.

Après les nouvelles que le navire Atlantis « retournera aux tâches dans lesquelles il était engagé au moment où l'incident du sous-marin ARA San Juan s'est produit », les parents de l'équipage ont demandé de « poursuivre la recherche. » «Peu à peu, ils nous quittent il y a moins de forces qui recherchent comme des bateaux, des hélicoptères et des radars», se plaignaient-ils. Ce n'est pas la première critique des familles sur l'attitude et la gestion de la situation par la marine et le gouvernement national. Les parents ont commencé à exprimer leur désaccord juste une semaine après la dernière communication du navire avec son centre de contrôle, situé à Mar del Plata.

Luis Tagliapietra, père d'un officier de San Juan, et l'un des plaignants dans l'affaire pénale menée par le juge fédéral Marta Yáñez dit, dans l'acte de Plaza de Mayo Un mois après la disparition " Ils nous ont dit qu'un marin n'abandonne jamais un autre marin. Mais ce n'était qu'un slogan, parce qu'ils cherchent avec de moins en moins de ressources, avec moins de désir de les trouver. "

Puis il bombardait les «marches et contre-marées de l'information, ils admettaient différentes choses telles qu'elles apparaissaient dans la presse. Au début, ils ont juste dit que c'était un problème de communication et qu'il n'y avait aucune indication que quelque chose de grave était arrivé. Et seulement quand il s'est propagé, ils ont accepté de dire qu'ils avaient signalé des problèmes. "

Les deux, Mauricio Macri et son ministre de la Défense, Oscar Aguad, ont été sévèrement réprimandé à deux reprises, ils ont rencontré des parents, à la fois dans la base navale de Mar del Plata, le port d'attache du sous-marin et où les familles se sont réunies après les nouvelles de la disparition.

La Marine a déclaré que la décision de retirer Atlantis a été prise "après avoir terminé deux fois le balayage des zones assignées." "Cependant, les États-Unis continueront le soutien par le biais du personnel expert dans la planification et l'analyse des données" a déclaré cette force.

Ruth Gomez, enceinte de six mois et la femme du chef d'équipe Mario Toconas, a déclaré: « Nous quittons la recherche et c'est le reflet du peu de soutien que nous avons eu du président (Mauricio) Macri, à qui on a demandé de nous recevoir et de nous écouter dans cette lutte de douleur et d'angoisse. " « Aujourd'hui (hier), de nombreux parents sont allés au Sénat de la Nation où sera discuté en comité sur la création d'une Commission d’enquête, mais comme toujours, est la dernière et nous devons revenir à Mar del Plata Nous ne pouvons pas continuer à attendre et à mourir pendant que nos représentants traitent d'autres questions », a-t-elle déclaré. Puis elle a déclaré: « Nous avons un très fort vide et nous aider à aller enlever, donc demain (aujourd'hui) de la base navale de Mar del Plata, une position micro de la Marine, se rendra à Puerto Belgrano pour être plus proche du lieu du fait qu'ils nous donnent des explications concrètes et fiables ".

« Samedi nous serons de retour pour passer une fin de l'année sans nos proches », a dit la femme de Toconas, ajoutant: « Cela a été les vacances les plus douloureuses que tout être humain peut vivre; Nous avons besoin de vérité, de lutte et de recherche permanente pour être en paix. "

Le mardi, tel que rapporté par le ministère de la Défense des États-Unis, après avoir terminé le balayage jusqu'à deux fois des zones affectées, l'Atlantis se dirigera vers Comodoro Rivadavia pour décharger l'équipe du ROV CURV21. À la fin du débarquement, le navire retournera à ses tâches précédentes. Quoi qu'il en soit, il a été signalé que les États-Unis continueront le soutien par le biais d'un personnel expert dans la planification et l'analyse des données.

La Marine a également dit, dans le même rapport, qui fournira deux jours de conseils juridiques interdisciplinaires et de soutien administratif aux familles des 44 membres d'équipage du sous-marin disparu il y a plus d'un mois. "Il a été prévu de fournir jeudi et vendredi de cette semaine des conseils juridiques et administratifs interdisciplinaires afin d'évacuer différentes préoccupations", a déclaré hier matin un communiqué. "La marine argentine et le ministère de la Défense maintiennent l'engagement d'accompagner les proches des 44 membres d'équipage, de les héberger et de les assister dans tous les besoins de base", se souviennent-ils.

En ce qui concerne la poursuite de la recherche du sous-marin disparu, la Marine a indiqué que jusqu'à hier, ils ont continué avec cinq navires: le destroyer ARA Sarandi, les aviso ARA Puerto Argentino et ARA Islas Malvinas avec son ROV (véhicule sous-marin télécommandé) russe Panther Plus, et les navires océanographiques Atlantis (qui se retire de la recherche) et le Yantar, de la Fédération de Russie.

Mardi, l'aviso ARA Islas Malvinas a examiné avec le ROV Panther Plus des contacts détectés par le destroyer ARA Sarandí avec des résultats négatifs. Lors de sa dernière participation à l'opération de recherche, l'Atlantis a inspecté plusieurs objets avec le ROV CURV21, non lié au sous-marin ARA San Juan. Il a été signalé qu'à l'heure actuelle, il n'y a pas de nouveaux contacts à inspecter.

Pour sa part, l'aviso ARA Puerto Argentino est également en route pour Comodoro Rivadavia où il déchargera son sonar à balayage latéral des États-Unis et continuera ensuite sa navigation vers Ushuaia pour soutenir la traversée de l'Antarctique des hélicoptères Mi17.

Le gouvernement argentin a déclaré, quant à lui, sa « profonde gratitude » à son homologue des États-Unis pour l'aide apportée dans la recherche du sous-marin ARA San Juan, après le retrait de la zone de recherche du navire Atlantis. A travers un communiqué publié par le ministère des Affaires étrangères, le gouvernement « reconnaît la contribution importante à cette opération effectuée par le Département d’État et l'ambassade des États-Unis » en Argentine, ainsi que « par le ministère de la Défense, en collaboration avec le Commandement du Sud et la NASA ". Tous ont contribué «avec un équipement naval et technologique avancé, des systèmes de recherche, du personnel, des conseils et des recherches d'une valeur unique dans le processus de recherche du sous-marin manquant», indique le communiqué.

Source : lagazetapolitica.com

le RV ATLANTIS (USA) (qui est équipé du ROV CURV-21 qui peut descendre jusqu'à 6.000m) approche de Comodoro :

Voilà le RV Atlantis est arrivé à Comodoro. Mission terminée pour lui, il faisait partie de l'opération de recherche du sous-marin depuis le 21 novembre

Citation :

Le navire Atlantis du WHOI participe à la recherche de sous-marins disparu (27.10.2017)



Le navire de recherche dispose d'un sonar multifaisceaux pour étudier le fond marin

Le navire de recherche Atlantis, exploité par l'Institut Océanographique Woods Hole (WHOI), a été détourné le 21 novembre pour aider à la recherche du sous-marin argentin disparu ARA San Juan et il participe à la recherche depuis lors. L'Atlantis était en route vers une mission océanographique planifiée dans l'Atlantique Sud lorsque les responsables de l'US Navy lui ont ordonné de se rendre dans la zone où les dernières communications avaient été reçues du sous-marin.

Le navire de recherche avancée est arrivé dans la région à 14 heures le 21 novembre et il a immédiatement commencé les opérations de recherche en utilisant le sonar multibeam sophistiqué du navire et les systèmes de communication sous-marine. Le sonar multifaisceaux est généralement utilisé pour cartographier le fond marin, en dirigeant un cône en forme d'éventail d'ondes sonores qui se reflètent sur le fond de l'océan. Dans ce cas, le sonar cherche à détecter le sous-marin, qui peut être sur le fond marin.

Le navire a également utilisé son système de communication sous-marin, qui ressemble à un téléphone sous-marin: il a la capacité d'écouter les sons de l'océan et de transmettre des sons dans l'océan qui peuvent être détectés par les sous-mariniers.

Le navire a exploré la plus septentrionale des trois zones de recherche rectangulaires de l'océan jusqu'à environ 14 h 30 le 22 novembre, quand il a été redirigé vers un nouvel emplacement dans la "case" cible la plus au sud, où il continue à chercher.

Le sous-marin ARA San Juan a disparu le 15 novembre alors qu'il voyageait du port d'Ushuaia vers la base de Mar del Plata, avec 44 membres d'équipage à son bord.

L'Atlantis appartient à la marine américaine et est exploité par le WHOI en vertu d'un accord d'affrètement. Le navire se dirigeait vers le port de Montevideo, en Uruguay, pour chercher des scientifiques et des techniciens pour desservir plusieurs réseaux d'amarrage en eau profonde du bassin argentin à 42 ° S et 42 ° O, dans le cadre de l'Initiative des observatoires océaniques de la National Science Foundation. Ce sera le dernier voyage du capitaine très apprécié du navire, A.D. Colburn, qui prend sa retraite après plus de trois décennies de navigation sur les navires du WHOI.

La Woods Hole Oceanographic Institution est une organisation privée à but non lucratif située à Cape Cod dans le Massachusetts, dédiée à la recherche marine, à l'ingénierie et à l'enseignement supérieur. Établie en 1930 sur une recommandation de l'Académie nationale des sciences, sa mission première est de comprendre l'océan et son interaction avec la Terre dans son ensemble, et de communiquer une compréhension de base du rôle de l'océan dans l'environnement mondial changeant.

Source : whoi.edu

"Nouvelle Positive : il est confirmé que le ROV russe "Panther Plus" restera à bord de l'aviso ARA Islas Malvinas pour une durée illimitée en tant que prêt et sans dépense par l'Etat argentin."

https://twitter.com/DaniMColu/status/946419963434360835

Citation :

Le ARA ISLAS MALVINAS (Argentine) est équipé du ROV russe "Panther Plus" qui peut descendre jusqu'à 1.000 m de profondeur pour examiner visuellement les contacts :

clic pour agrandir
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Spoiler:

Bonsoir Olivier.

Merci pour tous ces renseignements complémentaires, même s'ils sont pessimistes (mais combien réalistes).
Petit à petit, tout va sombrer dans l'oubli, comme notre sous-marin.
Je reviens sur ton commentaire, livré ce matin, à 00h28, pour te dire que je le partage entièrement.
Bonne veille, à toi, le couche-tard...
Amitiés.

Xavier

Xavier MONEL a écrit:

olivier a écrit:

lRemarque : Je persiste à croire que les "sois-disant" contacts suspects (ou anomalies) détectés à 500, 700 et 814 mètres de profondeur par le destroyer argentin sont bidons ! J'ai été opérateur sonar sur deux frégates (qui avait un sonar de coque comme le destroyer) et sur un chasseur de mines (qui lui avait un sonar pour détecter et classifier des objets sur le fond), et donc je continue de dire qu'il est impossible au destroyer argentin de voir quoi que ce soit sur le fond de la mer ! Ou alors si c'est vrai qu'il sait détecter des objets suspects sur le fond, et bien dans ce cas je comprend que les américains quittent l'opération avec leur navire ultra-moderne (équipés de ce qui se fait de mieux comme sonar à balayage latéral et autres) puisqu'il ne trouve rien alors que les destroyers de la marine argentine sont capables avec leur sonar de coque de trouver des contacts suspects sur le fond de la zone de recherche

Je reviens sur ton commentaire, livré ce matin, à 00h28, pour te dire que je le partage entièrement.
Bonne veille, à toi, le couche-tard...

Salut Xavier,

Je me demande qui pourrait croire à leur histoire comme quoi le destroyer ARA Sarandi aurait détecté (avec son sonar de coque "Atlas Elektronik dsqs-24c") un objet de petite taille se trouvant sur le fond marin à 845 mètres de profondeur dans l'Atlantique sud et par mauvais temps

Alors, l'objet suspect en question détecté à 845 mètres de profondeur est un demi baril (un baril de fuel coupé en deux comme on faisait à bord pour faire des bbq) dont les mensurations sont : 72 cm de hauteur pour 53 cm de diamètre ! Bref un bazar minuscule  

Voici les images prises par le ROV russe "Panther Plus" :

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Fortiche le destroyer, ils n'ont plus besoin de chasseur de mines maintenant  

Je comprend que l'américain se soit barré avec son matos de détection hyper-sophistiqué, il ne peut pas rivaliser avec le destroyer

Qu'est-ce qu'il va détecter la prochaine fois, un briquet à 900 mètres

Arrivée de l'Atlantis à Comodoro :

https://twitter.com/juanmab/status/946452882353721345

Voilà, l'aviso ARA PUERTO ARGENTINO (Argentine) (qui est équipé d'un sonar à balayage latéral tracté de l'US Navy) arrive à Comodoro où il débarquera l'équipe de l'US Navy ainsi que tout le matériel (pour mettre en œuvre le sonar tracté) qui a été fixé sur son pont. Sa mission est terminée et il repartira ensuite vers Ushuaïa pour d'autres tâches :



Venant de Ushuaïa, le PUERTO ARGENTINO est arrivé à Comodo le 22 novembre où il a embarqué l'équipe de l'us navy ainsi que tout le matériel pour mettre en œuvre le sonar tracté :

https://twitter.com/SINDICATOSUTRA/status/933417312199331840

Et le 24 novembre , prêt pour aller sonder la zone, il quittait Comodoro pour rejoindre la zone de recherche :

https://twitter.com/Argengchogau/status/934183924741361666

Sur la plage arrière de l'aviso on distingue (entouré en jaune) tout le système (treuil, portique,..) de mise en œuvre du sonar tracté qui a été fixé sur le pont, et le container blanc (montré par la flèche jaune) c'est le centre de contrôle du sonar tracté occupé par l'équipe de l'US Navy :



Voilà, ce navire qui n'est pas prévu pour ce genre de travail, aura fourni un boulot incroyable, il aura scanné la zone de recherche sans relâche et par tout les temps. Bravo Zulu

Il ne reste que trois navires sur la zone de recherche : le RV Yantar (celui qui est le mieux équipé avec sondeur, sonar tracté et deux ROV qui peuvent descendre jusqu'à 6.000 mètres), l'aviso ARA Islas Malvinas (équipé du ROV Panther Plus qui peut descendre jusqu'à 1000 mètres, mais il n'a pas de sonar) et le destroyer ARA Sarandí (qui ne donne pas sa position sur l'AIS) qui n'a que son sonar de coque (actif à moyenne fréquence) pour chercher !

https://twitter.com/MikeChillit/status/946496288396382209

Le seul, qui pourrait encore trouver le sous-marin, c'est le Yantar mais malheureusement son départ prochain est semble-t-il déjà programmé durant le début de janvier !

Petit hors sujet pour signaler qu'en ce moment c'est la canicule en argentine, il fait près de 40°

https://twitter.com/ClarinSociedad/status/946404656846008320

traduction google :

Citation :

Les proches de l'équipage insistent pour continuer la recherche du sous-marin (29.10.2017)

MAR DEL PLATA : « Ils veulent couper la recherche, ils ne recherche pas plus pour nos enfants », ont mis en garde les mères de certains membres de l'équipage du sous-marin ARA San Juan en apprenant que les États-Unis ont commencé à retirer des équipes qui ont collaboré à l'opération en cours plus de trois semaines, et que la Russie fera la même chose à court terme et que les navires argentins affectés sont de moins en moins nombreux.

Les proches des 44 marins, dont plusieurs sont installés ici pour suivre l'évolution des rapports quotidiens reçus à la base navale locale, disent clairement que sans la contribution internationale ce ne sera pas possible car cela dépend des robots sous-marins télécommandé (ROV) qui vérifiait chaque objet métallique détecté dans les profondeurs.

Cet après-midi, plusieurs d'entre eux invité par la Marine Argentine, se rendront à Puerto Belgrano pour visiter l'Agence nationale SAR, où la coordination des opérations de recherche est concentrée. Aujourd'hui ils devraient prendre contact avec les responsables de ce déploiement et être informé comment ils travaillent et comment des progrès seront réalisés dans les semaines à venir.

Selon le dernier rapport de la Marine, la recherche « continue » avec trois navires: le destroyer ARA Sarandi, l'aviso ARA Malvinas, qui a à bord le ROV russe Panther Plus, et le navire océanographique Yantar (et ses ROV) de la Fédération de Russie.

"Nous voulons que l'opération ne soit pas suspendue, ne pas partir et continuer à chercher pour savoir où ils sont et ce qui est arrivé à nos enfants", a déclaré à LA NACION Yolanda Mendiola, mère du Maître Leandro Cisneros.

Les proches du caporal Luis Esteban García, quant à eux, sont toujours à Mar del Plata prêts à se plaindre auprès des autorités navales et gouvernementales. Au cours des dernières heures, l'amiral Brown s'est approché de la plate-forme pour demander le soutien du gouverneur de Buenos Aires, María Eugenia Vidal. "Nous vous demandons de continuer à chercher le sous-marin et son équipage car nous devons savoir où il se trouve et ce qui leur est arrivé", a déclaré Diego Garcia, frère du sous-officier.

Le groupe de près de 20 parents qui vivent ici depuis plus d'un mois s'est réuni hier à la base navale de Mar del Plata avec des représentants des œuvres sociales, afin d'ajuster certaines procédures liées à la couverture des services en l'absence de titres, qui sont l'équipage manquant. Après midi, ils ont commencé le voyage à Puerto Belgrano et seront de retour demain à Mar del Plata.

Pendant ce temps, le navire océanographique nord-américain Atlantis est arrivé hier au port de Comodoro Rivadavia pour décharger l'équipement et l'approvisionnement. "Il est très probable qu'il restera sur le quai de notre ville pour passer le Nouvel An", a expliqué Favio Rafael Cambareri, administrateur et président du conseil d'administration du port.

Source : lanacion.com.ar

traduction google :

Citation :

La marine est restée "sans contacts à inspecter" et la recherche est diluée (29.10.2017)

Parmi les contacts qui ont été examinés jusqu'à présent, aucun ne correspondait au sous-marin perdu. Le navire américain a accosté à Comodoro et ne participe plus à l'opération. Les espoirs de le localiser tombent

La marine est restée sans objectifs à examiner. De tous les "contacts" détectés jusqu'ici, aucun ne correspondait au sous-marin ARA San Juan, et tout indique qu'il sera difficile d'en trouver de nouveaux, étant donné que la technologie dont on disposait n'est plus disponible avec le départ du navire océanographique américain Atlantis, et avec la Russie dont on ne peut plus compter que pour deux semaines de plus, comme cela a été annoncé, ils abandonneront également la recherche à la mi-janvier.

Hier, la Marine informait dans son rapport quotidien sur la recherche du sous-marin que jusqu'à présent il n'y avait pas de "nouveau contact à inspecter", dans le cadre de l'opération qui tente d'établir ce qui s'est passé avec le sous-marin disparu le 15 novembre dernier dans les eaux atlantiques Sud avec 44 membres d'équipage à bord.

Il a également indiqué que la recherche se poursuivait avec le destroyer ARA Sarandí et l'aviso ARA Islas Malvinas avec le ROV (véhicule télécommandé) Russe Panther Plus à bord, et le navire océanographique Yantar, de la Fédération de Russie.

En ce qui concerne la situation météorologique, le communiqué a annoncé que des vents de 11 à 16 nœuds étaient attendus du secteur nord-ouest, augmentant l'après-midi de 17 à 21 nœuds, avec des vagues de 1,5 mètre dans la zone de recherche.

D'autre part, il a annoncé que "il a été prévu de fournir des conseils juridiques et administratifs interdisciplinaires afin d'évacuer différentes préoccupations" aux proches des membres d'équipage disparus.

A la fin, la marine et le ministère de la Défense ont réaffirmé qu '"ils s'engagent à accompagner les proches des 44 membres d'équipage, à les héberger et à les assister dans tous les besoins de base".

LE RETRAIT DE L'ATLANTIS

Dans ce contexte, le navire océanographique de la marine américaine « Atlantis », qui s'est retiré des tâches de recherche du sous-marine ARA « San Juan », est arrivé hier au port de Comodoro Rivadavia pour décharger l'équipement, réapprovisionner et attendre des directives.

"Il est très probable que" l'Atlantide restera sur le quai de notre ville pour passer le Nouvel An ", a expliqué Favio Rafael Cambareri, administrateur et président du conseil d'administration du port de Comodoro Rivadavia.

« A partir des données que nous avons, l'« Atlantis » désinstallera et déchargera l'équipement qu'il transportait pour balayer les profondeurs jusqu'à 6.000 mètres et, très probablement, il restera en Commodore Rivadavia jusqu'au mardi 2 janvier », a indiqué le fonctionnaire portuaire.

Selon le mouvement prévu pour les prochaines heures, l'arrivée du navire de la Marine Argentine ARA « Puerto Argentino », un aviso de la flotte nationale qui était également affecté à la recherche du sous-marin « San Juan », est également prévue au port de Comodoro Rivadavia.

LA COMMISSION D’ENQUÊTE

Par ailleurs, et en ce qui concerne la création d'une commission bicamérale spéciale enquêtant dans le cadre du Congrès national pour enquêter sur les causes de la disparition du sous-marin, le sénateur "UCR / Changeons" Silvia del Rosario Giacoppo a déclaré: « nous partons du principe de l'engagement la représentation des intérêts des citoyens et, en particulier, des membres de la famille de l'équipage avant un événement d'une immense gravité institutionnelle ".

"Le pays a été humainement choqué", a-t-il ajouté, "et la situation exige le devoir d'informer avec vérité sur les causes actuelles et passées qui ont déterminé la disparition du sous-marin".

"Le ministère de la Défense - a ajouté le législateur - enquêtera sur les faits à l'interne; Le pouvoir judiciaire fera du point de vue de la sanction pénale et, quant à lui, le Congrès a fait une demande d'accompagnement de la recherche de la vérité par la responsabilité politique de maîtrise de soi et surtout faire face aux éventuels actes de corruption qui se trouvent liés à la déficience dans l'entretien du sous-marin ".

Le changement du sénateur, membre du comité de la marque, a déclaré que « huit membres de l'équipage de l'ARA San Juan sont jujeños, et les législateurs dans ma province continueront d'être présent dans la recherche de la vérité, jusqu'à ce qu'il se déroule du tout éléments qui le composent, une vérité aux conséquences ultimes sur les événements qui se sont déroulés, y compris les responsabilités politiques qui sont établies ".

"Nous devrons faire face à d'éventuels incidents de corruption liés à l'entretien du sous-marin" - Silvia del Rosario Glacoppo - Sénateur de Cambiemos

Marine

La marine a rapporté hier à la recherche du sous-marin ARA San Juan que "jusqu'à présent il n'y a pas de nouveaux contacts à inspecter". En outre, que la recherche se poursuivait avec deux navires nationaux et un russe.

Source : eldia.com

Mise à Jour : RECHERCHE EN COURS DU ARA SAN JUAN - LES NAVIRES ET LES ÉQUIPEMENTS (44 jours après la disparition du sous-marin)

Il ne este plus que trois navires sur la zone de recherche, le RV Yantar (c'est celui qui est le mieux équipé avec des sonar/sondeur et deux ROV pour aller examiner les contacts), l'aviso ARA Islas Malvinas (il est équipé du ROV Panther Plus qui peut descendre jusqu'à 1000 mètres, mais il n'a pas de sonar) et le destroyer ARA Sarandí (qui ne donne pas sa position sur l'AIS) qui n'a que son sonar de coque pour chercher !


source : Mike Chillit

Les navires qui participent à la recherche (équipés de sonar "remorqué" à balayage latéral et/ou de ROV pour l'inspection visuelle des contacts) :

- le RV YANTAR (Russie) (il est équipé de 2 mini sous-marin "habité" pouvant descendre jusqu'à 6.000 mètres)
- le destroyer ARA Sarandi (Argentine) (il ne dispose que de son sonar "actif à moyenne fréquence" de coque pour chercher !) (il n'est pas équipé de ROV)
- le ARA ISLAS MALVINAS (Argentine) (équipé du ROV russe "Panther Plus" qui peut descendre à 1.000 m) (il n'est pas équipé de sonar).

Spoiler:

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Les navires qui ont quitté la zone de recherche (mission terminée) :

- le RV ATLANTIS (USA) (il est équipé du ROV CURV-21 qui peut descendre jusqu'à 6.000m) a quitté la zone de recherche pour le port de Comodoro où il débarquera son ROV, mission terminée pour lui.
- le ARA PUERTO ARGENTINO (Argentine) (est équipé d'un sonar à balayage latéral tracté) a quitté la zone de recherche pour le port de Comodoro où il débarquera son sonar tracté et l'équipe de l'US Navy.