Recherche du sous-marin argentin disparu: les news (1)

Le destroyer ARA Sarandi à quitté la base navale de Puerto Belgrano en direction de la zone de recherche. Apparemment, il n'aura que son sonar de coque pour chercher le sous-marin...

https://twitter.com/Armada_Arg/status/961985381133676547

Bonsoir Olivier.

Un grand merci pour cette interview dont les réponses me semblent, à première vue, dignes de foi.
En outre, on y reparle des fameux canyons, mais aussi d'un autre sous-marin ???
Voilà une nouvelle piste qui n'avait pas été envisagée, me semble-t-il...
Elle paraît difficile à concevoir ; mais...
A suivre, donc.
Amitiés.

Xavier

Le destroyer ARA Sarandi, qui est parti aujourd’hui de Puerto Belgrano vers la zone de recherche, a été assigné à la zone "Area familia 2", il embarque 3 représentant de familles et un (ou une) voyant !

https://twitter.com/DaniMColu/status/961975736218345473

Une comparaison entre les récompenses et la façon de faire...

https://twitter.com/titulame/status/961873748126154752

traduction google de l'article :

Citation :

Récompense de 70 millions d'euros pour trouver l'avion de la Malaysia Airlines (9.02.2018)

La compagnie américaine Ocean Infinity a été embauchée pour trouver le Boeing qui a disparu. Il facturera jusqu'à 70 millions d'euros s'ils peuvent le trouver dans les trois mois. Si non, rien

Le 8 mars 2014, le monde entier annoncé aux nouvelles. Le vol MH370 de la compagnie asiatique Malaysia Airlines, qui avait décollé à Kuala Lumpur en direction de Pékin avec 239 personnes à bord, a disparu au milieu de l'océan Indien. Trois ans plus tard, en janvier 2017, les autorités malaisiennes, chinoises et australiennes ont annoncé la suspension de la recherche, reconnaissant que malgré les efforts intenses, elles n'avaient pas réussi à retrouver les restes de l'avion.

Maintenant, le gouvernement malaisien est aux prises avec ce qui pourrait être sa dernière chance de retrouver l'avion. Il espère en recrutant la compagnie d'exploration américaine Ocean Infinity, dont le navire "Seabed Constructor" est arrivé sur la zone de recherche le 21 janvier, en lançant le premier véhicule sous-marin autonome (drone sous-marin) pour commencer la mission.

L'accord conclu stipule que Ocean Infinity dispose de 90 jours pour trouver l'avion de la Malaysia Airlines. S'ils trouvent leurs restes, ils pourraient recueillir jusqu'à 70 millions de dollars, en fonction de la taille de la zone qui a été ratissée avant de trouver l'avion. Cependant, si elle n'a pas réussi à mener à bien la mission, la compagnie américaine ne recevra absolument rien. Un risque que l'entreprise, convaincue de son succès, a décidé de relever avec le grand défi que cela implique.

Le navire a également disparu

Le navire envoyé pour éclaircir le mystère a été le protagoniste à son tour. Peu de temps après le début de la mission, il a disparu des radars qui le suivaient et même, il ne pouvait plus être contacté par radio. Après plusieurs jours sans rien savoir à son sujet, il est revenu sur les moniteurs de surveillance. L'un des porte-parole d'Ocean Infinity a assuré à ABC qu'il s'agissait en fait d'un changement de direction du navire pour continuer ensuite avec la recherche et que, par conséquent, le système de localisation permettant le suivi numérique était éteint.

La création de théories du complot était inévitable et il était même possible de s'assurer que tout était dû à une tentative d'enquête sur un ancien trésor coulé dans la région. Quoi qu'il en soit, la recherche pour trouver l'avion disparu suit son cours et le temps donné pour le retrouver devient plus petit.

Source : elmundo.es

Ca y est, tout est revenu sur l'AIS et le Yantar est bien au boulot sur la zone

Bonjour et merci pour le renseignement.
Je viens d'essayer de le localiser, mais il a du déconnecter sa balise.
Amitiés.

Xavier

Un suiveur argentin sur twitter a bien résumé la situation :

Citation :

Pour trouver le ARA SanJuan, il n'y a pas besoin de miracles, pas besoin de marines étrangères, pas besoins de sorciers ou de chercheurs de trésors ! Seulement acquérir la technologie et travailler avec 1 ROV/AUV et 4 mini Glider (mini planeur sous-marin)

:

https://twitter.com/DaniMColu/status/962129293609439232

Citation :

La marine (Armada) doit monter une opération avec le BIP Victor Angelescu, PTO Deseado/austral ou n'importe quel type d'aviso en leur donnant les AUV/ROV et les mini Glider :

https://twitter.com/DaniMColu/status/962131066088804358

Bonsoir Olivier.

Merci à toi ; voilà qui éclaire notre lanterne.
Donc, la technologie existe, bel et bien.
Comme quoi, maintenant et toujours, tout est une question de moyens.
Conclusion : si la volonté de retrouver ce "soum" perdure ; on va le retrouver.
Amitiés.

Xavier

https://twitter.com/clarincom/status/962387996266737664

traduction google de l'article :

Citation :

ARA San Juan: les membres de la famille de l'équipage laisseront une lettre à Mauricio Macri à Chapadmalal (10.02.2018)

C'est une demande de rapports d'explosions dans la zone où le sous-marin voyageait.

Après avoir été reçu par Mauricio Macri cette semaine à la Casa Rosada, un groupe de parents de membres de l'équipage de l'ARA San Juan, porté disparu depuis presque 3 mois, laissera une lettre au Président cet après-midi à Chapadmalal. Ceci est une demande de rapport demandant des explications sur les causes de la disparition du navire.

"Cet après-midi, un groupe de parents de membres de l'équipage de l'ARA San Juan se rendra à la résidence présidentielle de Chapadmalal pour envoyer au président une demande de rapport que nous n'avons pas pu lui envoyer mardi dernier", a déclaré à Telam, Yolanda Mendiola, la mère du caporal Leandro Cisneros.

Les parents ont été reçus par Macri à la Chambre du gouvernement mardi dernier, lors d'une réunion au cours de laquelle le chef de l’État a annoncé que le gouvernement remettrait "une récompense internationale en millions de $ à quiconque trouvera le sous-marin". Ensuite, il s'est avéré que ce serait autour de 4 millions de dollars américains et il a ratifié «l'intention officielle et ferme de continuer à le chercher».

Macri est arrivé hier soir à la résidence présidentielle de Chapadmalal pour passer le week-end et les vacances de carnaval, avec la première dame, Juliana Awada et sa plus jeune fille, Antonia.

En ce qui concerne la demande adressée au Président, Mendiola a expliqué: "Depuis le 23 novembre, date à laquelle l'Autriche a annoncé qu'une explosion avait été enregistrée dans la zone où voyageait l'ARA San Juan, nous avons demandé au gouvernement de signaler l'équivalence en TNT de la dite explosion, c'est une unité de mesure qui permet d'établir l'origine et les causes de l'explosion et sa relation avec le sous-marin ".

« La Marine et le gouvernement ont toujours refusé de rendre ces informations publiques, bien qu'ils lui ont annoncé dans ses mains et a fait un exercice comparatif détonation avec une torpille à 40 mètres de profondeur au début de Décembre dans le domaine des opérations sous-marines ", a-t-il dit.

Pour les proches, il est fondamental d'évaluer les explosions enregistrées pour établir ce qui s'est passé avec l'ARA San Juan et son équipage. "Nous demandons en tant que parents une enquête objective, c'est pourquoi nous devons unir nos forces pour les forcer à dire la vérité", a déclaré la mère du premier caporal qui était à bord du sous-marin.

Source : clarin.com

Bonjour Olivier.

Et bien, la preuve est faite que les parents des victimes ne lâcheront rien.
Quelle tenacité ; mais n'en est-il pas de même, chaque fois qu'un soum disparaît ?
Une chose, m'intrigue, cependant ; l'Autriche ?
Comment ce petit pays européen a-t-il pu capter cette explosion (ou implosion), à tant de km de là.
Personnellement, cette question m'amène à me demander si la thèse de "Jack" n'est pas la bonne.
Qu'en penses-tu ?
Le "choc" généré par une explosion, n'est-il pas plus intense que celui créé par une implosion ?
Alors, hydrogène+oxygène+étincelle=explosion, ou bien torpillage, ou mine (Thèse très risquée et insoutenable, à priori).
Mais là, je suis, sans doute, en plein délire...
Amitiés.

@Xavier MONEL a écrit:

Une chose, m'intrigue, cependant ; l'Autriche ?
Comment ce petit pays européen a-t-il pu capter cette explosion (ou implosion), à tant de km de là.

Bonjour Xavier,

C'est l' "Organisation du Traité d'interdiction complète des essais nucléaires" (c'est une organisation internationale dont le siège est à Vienne) qui a capté le 15 novembre dans un secteur proche de l'endroit d'où le sous-marin a émis ce jour-là son ultime signal "une "anomalie hydroacoustique" (un signal inhabituel) qui pourrait avoir été provoquée par une explosion.

Cette organisation dispose de 11 stations hydro-acoustiques dans les océans détectant les « vagues » (ondes sous-marines), comme celles provoquées par une explosion sous-marine (même très lointaine). Six d'entre elles utilisent des microphones sous-marins qui transmettent leurs informations par câble à des stations côtières. Les cinq autres (T-phase stations) utilisent des sismographes pour détecter les ondes sous-marines une fois converties en ondes sismiques au contact du socle rocheux de l'île.

Pour le reste, je n'ai absolument aucune idée de ce qui a bien pu se passer mais voici peut-être une piste ? Je suis occupé à parcourir un article (traduit par google mais très mal !) sur un rapport secret tombé dans les mains de la presse et qui parle de l'état pitoyable de la flotte sous-marine argentine... je vais regarder pour améliorer la traduction et ensuite je le placerais ici

.../...

Et bien c'est parfait ; ton explication est claire et nette.
Merci.
Pour le reste ; j'attends, avec impatience, ton prochain document.
Quant à la vétusté de la flotte argentine ; je crois que cela ne fait de doute pour personne.
Pour les "Soums" ; c'est beaucoup plus grave (à mon avis) que pour les navires de surface.
Prolonger leur vie, au-delà de 40 ans ; cela me semble de la pure folie (ils ont de telles contraintes).
Amitiés.

Xavier

Voici l'article  

https://twitter.com/infobae/status/962686660667367424

traduction google de l'article :

Citation :

Avant la disparition de l'ARA San Juan, la Marine voulait renouveler la flotte de sous-marins (11.02.2018)

Un rapport "secret" auquel Infobae a eu accès, révèle les intentions de la Marine d'acquérir des nouveaux submersibles en raison du mauvais état général des navires.

La disparition de l'ARA San Juan avec ses 44 membres d'équipage, le 15 novembre 2017, a surpris la Marine argentine au milieu d'un débat interne pour renouveler la flotte de sous-marins.

Trois documents remis par la Marine elle-même pour l’enquête menée par le juge fédéral, Marta Yañez, révèle l'intention de la Marine d'avoir cinq submersibles de «sixième génération» en raison de la mauvaise condition générale des submersibles actuels.

Ce sont des papiers portant le cachet de "SECRETO" daté du mois d'avril et juin des années 2016 et 2017.

En plus de décrire les aspects techniques des sous-marins disponibles sur le marché (le plus voté était le 209/1400 allemand), le "COMMANDEMENT DE LA FORCE DES SOUS-MARINS" a décrit sur papier la dure situation de la flotte actuelle qu'il qualifiait en "état d'obsolescence".

Parmi les principaux arguments en faveur de l'acquisition des sous-marins modernes, il affirme que c'est le seul moyen d'atteindre les objectifs établis historiquement par le DEMIL qui signifie « directive stratégique militaire » et que en temps de paix elles paraissent excessives, mais qu'en interne il est évident qu'ils continuent à être projetés:

- Porter les forces navales et / ou le trafic maritime de l'adversaire.
- Attaques contre les forces navales.
- Opérations de minage.
- Obtenir des informations.
- Opérations d'attaque avec des missiles tactiques à des objectifs terrestres, entre autres actions.

Manque officiel de connaissance Ministre de la Défense Oscar Aguad, a été surpris quand Infobae onsulté sur le projet depuis deux ans avait été élaborait la commande des sous-marins pour l'acquisition de cinq nouveaux sous-marins, les objectifs qu'ils citaient dans la documentation pour appuyer la proposition, et les plaintes internes et renversées dans le procès-verbal « secret » sur le rééquipement manqué des forces armées, appelé « PLANCAMIL » (plan des capacités militaires), annoncé en 2011 par Arturo Puricelli, alors le ministre de la région de Cristina Kirchner et c'était seulement des mots.

Sur ces sujets, Aguad a dit à Infobae : « Dans le ministère de la Défense, ou les Joint Chiefs , durant les années 2016-2017 il n'y a aucune étude de cette nature. Peut-être dans la Marine quelqu'un a fait cela mais je ne le connais pas. Il y a eu un plan d'équipement, pour les Forces Armées, ce plan existe encore, mais sur le plan qui se consulte (pour l'acquisition de sous-marins de sixième génération) non seulement je n'en n'ai pas connaissance, mais cela n'a pas été discuté. Je n'ai pas d'autre information »

Au cours du dialogue téléphonique avec ce média, Aguad était dans le nord de notre pays pour superviser le déploiement effectué par l'armée argentine dans la province de Salta touchée par les inondations. Cette force militaire a déployé, avec la Croix-Rouge, des tentes avec de la nourriture et des soins de santé. Il installait également un pont portatif pour rejoindre les villes isolées par le débordement de la rivière Pilcomayo.

ARA San Juan

Dans le même document le ministre Aguad assure que la marine argentine, à l'époque en charge de l'amiral Marcelo Eduardo Hipólito Srur, n'a pas soulevé à la défense, et élaborée le 30 avril 2017, au point 9 le capitaine de la frégate Pedro Martín Fernández, a donné des détails sur les «travaux en suspens» pour l'ARA San Juan.

Les "défauts" qu'il détaille sont les suivants: les sonars ont un "bruit électrique"; "le système hydraulique a des pertes"; il y a des «fuites dans le réservoir de carburant»; "il est en attente pour vérifier le bruit dans la ligne d'axe"; entre autres.

Sur ce point, le commandant - et l'un des 44 membres de l'équipage disparu - rapporte qu'il est seulement possible de le réparer en «cale sèche».

Le rapport rappelle qu'il était essentiel "de traiter l'entrée impérieuse en cale sèche de l'ARA San Juan au cours du premier semestre de 2018 afin d'assurer son fonctionnement, étant donné qu'il a été actuellement 39 mois sans effectuer l'entretien correspondant que, conformément au manuel du fabricant, devrait être tous les 18 mois. "

Comme l'a révélé Infobae, c'était la raison pour laquelle le submersible ne pouvait pas naviguer à une profondeur supérieure à 100 mètres, puisque son "étanchéité" n'était pas certifiée à une plus grande profondeur.

"Le non-renouvellement des sous-marins existants implique la perte progressive des capacités uniques de combat et de dissuasion de la marine argentine", décrit dans les documents.

Au point 11 du même document intitulé: "Étude de commandement des commandements de sous-marins de la 6e génération", le capitaine Claudio Javier Villamide, actuellement en disponibilité préventive, se plaint que le plan de capacité Militaire annoncé pendant le gouvernement de Cristina Kirchner "était assez ambitieux", mais qu'il "n'a pas pu être accompli".

À titre d'exemple, il soutient que PLANCAMIL «parlait de maintenir, de réparer les sous-marins actuels et de récupérer un autre sous-marin, le San Luis, en élargissant un autre sous-marin, le Santa Fe, et en achetant cinq autres sous-marins plus un navire d'appui de sous-marins (un bateau mère) ".

Flotte de l'Argentine

La question de l'acquisition de cinq nouveaux submersibles n'a pas été facile et a eu ses complications. Ceci est démontré dans la prolifération des documents officiels analysés par le juge Yañez.

Le magistrat a déjà demandé la participation d'experts étrangers pour avoir un avis aussi impartial que possible sur les problèmes techniques avec lesquels l'ARA San Juan était autorisé à naviguer.

Il arrive que même dans ces papiers, où le problème principal est l'achat de nouveaux navires de guerre, les lacunes du submersible disparu, était patent.

Sous le sous-titre "Analyse du problème", un deuxième document est daté de juin 2017, soit cinq mois avant la disparition de l'ARA San Juan, il est noté que "actuellement la force des sous-marins a trois sous-marins; deux d'entre eux sont en état de fonctionnement: le sous-marin ARA Salta, appartenant à la quatrième génération de sous-marins, qui a largement dépassé sa durée de vie (...) ".

Dans le paragraphe suivant, le document aborde une fois de plus la situation de la catastrophe submersible. "L'ARA San Juan incorporée en 1985, avec le sous-marin ARA Santa Cruz, appartiennent à la cinquième génération de sous-marins."

Il est décrit que le San Juan a eu sa réparation à mi-vie, que la coque a été coupée pour le "remplacement des moteurs diesel et le remplacement des éléments de batterie (en utilisant dans ce cas le remplacement du même)", c'est-à-dire qu'ils n'ont pas été changés par de nouveaux.

A propos de l'ARA Santa Cruz, les navigateurs se souviennent qu'il se trouve dans le complexe CINAR (complexe naval industriel argentin), qui dépend de la présidence de la Nation, "effectuant des réparations majeures et des changements de batteries".

Sous-marins de sixième génération

Le document à auquel Infobae a accédé de manière exclusive, et qui est signé par l'ancien commandant de la Force sous-marine, Claudio Javier Villamide, et par le chef d'état-major du commandement de la force sous-marine, Héctor Aníbal Alonso, rappelle que "dans les occasions précédentes que la Marine a fait face au même problème, incorporation / remplacement de sous-marins, il a résolu l'achat de nouveaux sous-marins dans trois occasions et achat de sous-marins usagés dans deux occasions, disponibles après la Seconde Guerre mondiale".

Il reconnaît également qu '"à l'heure actuelle, il n'y a pas une abondance d'offres de sous-marins par les forces armées qui ont des unités désaffectées".

Pour cette question, l'approche des marins argentins était axée sur les nouveaux sous-marins de sixième génération disponibles sur le marché.

Certains des sous-marin évalués étaient :

- Sous-marin de la classe Scorpène : d'origine française, et qui est utilisé, entre autres marines par les Chiliens, les Indiens, la Malaisie et les brésiliens. Ces derniers, précise le document, ont déjà sollicité quatre sous-marins Scorpène à propulsion diesel-électrique, qui «sont construits par une joint-venture formée par la société française DCNS et la société brésilienne Odebrecht», celle du scandale des pots-de-vin.

- Sous-marin Type 214 : Sous-marin à propulsion diesel-électrique qui est devenu un "best-seller" pour l'industrie sous-marine allemande, renforce le document, et souligne que les marines telles que la Grèce, la Corée du Sud et le Portugal les comptent dans leur flotte.

- Sous-marin Type 209 : Il a été le plus voté par le Conseil consultatif de l'Arme sous-marine et donc le type de navire que la Marine recommande d'incorporer.

Parmi ses vertus, selon les officiers qui l'ont proposé, ce sous-marin de sixième génération est «attaque diesel / électrique classique, développé par un consortium allemand et bien que n'étant pas exploité par la marine de ce pays, a été un succès à l'exportation» .

La marine turque est le plus gros consommateur de ce navire et "le premier utilisateur était la marine de Grèce".

Le rapport souligne également que le sous-marin le plus voté par la marine de notre pays "a la capacité de transporter 14 torpilles" et que l'équipage qui peut embarquer est entre 30 et 36 hommes".

La disparition de l'ARA San Juan avec ses 44 membres d'équipage, en premier lieu, a interrompu les discutions de la Marine pour l'achat de nouveaux submersibles; mais il a aussi aggravé l'état d'une flotte déjà décimée et en «état d'obsolescence», telle la définition qu'en fait la marine.

Source : infobae.com

suivi du Yantar sur la zone les dernières 24h

https://twitter.com/MikeChillit/status/962777228424642560

.../...

Bonjour Olivier.

Sur la carte, à droite de la ligne bleue qui matérialise la route du "Yantar", il y a point d'interrogation avec un truc noir que je n'arrive pas à identifier.
Serait-ce la matérialisation d'un point de contact avec une épave détectée qu cours d'un précédent passage ?
Amitiés.

Xavier