Photos d’accidents et de tempête en mer

Une semaine pour éteindre un feu de conteneurs sur le "Maersk Kampala" le 04/09/2013


Un feu de conteneurs s'est déclaré sur le "Maersk Kampala" alors que celui-ci se trouvait au sud du canal de Suez. (Photo DR Stan Muller)

Le feu de conteneurs qui s'était déclaré voici une semaine sur le porte-conteneurs Maerk Kampala est éteint, a indiqué mercredi 4 septembre Maersk Line. De la fumée continuait à s'échapper de certains conteneurs mais l'arrosage par les remorqueurs et les équipes de lutte contre l'incendie devait éviter toute reprise du sinistre.
Le Maersk Kampala se trouvait au sud du canal de Suez au moment de l'incident. Maersk Line avait indiqué le 29 août que le feu s'était déclaré dans un premier conteneur, puis s'était étendu à un second conteneur. Pour éviter la propagation du sinistre, il a fallu découper les conteneurs en feu ainsi que ceux qui les environnaient et les arroser d'eau.
Maersk Line doit maintenant déterminer un port d'accueil pour le Maersk Kampala. Le navire, qui bat pavillon néerlandais, est long de 300 mètres pour une capacité de 6 600 EVP.

"Bugaled Breizh": les journaux ont bien été transmis aux juges le 05/09/2013



Les journaux des bâtiments de la Marine en exercice dans la zone du naufrage du Bugaled Breizh, les jours alentours, sont bien mentionnés au dossier judiciaire, mais sans s’y trouver physiquement.
Les avocats découvrent ainsi qu’ils sont sous scellés au tribunal de grande instance à Nantes, depuis 7 ans, et consultables sous contrôle du greffier vu leur degré de confidentialité. Et que le ministre de la Défense disait juste. Curieux tout de même que les juges encore sollicités pour leur déclassification n’aient pas évoqué leur présence. En tout cas leur analyse a débuté.
En parallèle les avocats avancent sur leurs demandes d’investigations à formuler avant début octobre, et ne lâchent pas la piste du sous-marin britannique. Rappelons que la thèse d’un sous-marin nucléaire d’attaque (SNA) se prenant dans une fune est celle estimée la plus probable par les juges depuis 2008.

Repérés, les trafiquants incendient leur navire avec 30 tonnes de haschisch le 09/09/2013


Le cargo des trafiquants en feu entre la Sicile et Malte.

Des trafiquants de drogue syriens et égyptiens, détectés par des vedettes de patrouille italiennes, ont mis le feu à leur navire transportant 30 tonnes de haschisch, avant de se jeter à l'eau. Ils ont été arrêtés, a annoncé la police financière italienne samedi 7 septembre.
Les forces maltaises ont coordonné les opérations d'extinction de l'incendie sur le Gold Star, un cargo de 85 mètres de long, battant pavillon tanzanien. La Valette a envoyé sur place, à environ 30 milles de ses côtes, trois navires de patrouille et un hélicoptère.
Selon un communiqué de la police financière italienne, les services antidrogue italiens avaient été avertis " il y a trois jours de la présence d'une importante cargaison de drogue sur le cargo qui était en train de naviguer en Méditerranée".
Les unités du commandement aéronaval de la police financière à Pomezia ont alors été mobilisées vendredi pour tenter l'abordage du cargo, dans le Canal de Sicile, entre Capo Passero (pointe extrême sud de l'île principale) et le petit archipel de Malte.
Dès qu'ils ont vu les embarcations policières, " les neuf membres d'équipage, de nationalités syrienne et égyptienne, ont incendié le navire pour détruire leur précieux chargement avant de se jeter à la mer au risque de leur propre vie vue la position et la hauteur de la quille du navire", a noté la police financière.

Les trafiquants ont été repêchés et placés en état d'arrestation par la police italienne. Plusieurs heures ont été nécessaires pour maîtriser l'incendie et mettre en sécurité le navire.

Le « Marseillois », vieux gréement de 42 mètres, coule dans le Vieux Port de Marseille le 11/09/2013


Le « Marseillois » a coulé en quelques minutes. Il repose depuis hier matin au fond du Vieux Port. (photo Thibaud Teillard)

Le Marseillois, emblématique vieux gréement du Vieux Port à Marseille, a coulé en quelques minutes hier matin. Il n’y a pas de pollution aux hydrocarbures mais les marins pompiers ont mis en place par précaution un barrage flottant.
Le navire de 42 mètres hors tout était utilisé comme restaurant flottant. Sa table, gérée par Gérard Boccamaiello, a accueilli Tom Cruise ou George Clooney.
Ce trois mâts construit dans les années 1920 à Valence a navigué au cabotage en Méditerranée sous le nom de Cala Virgili jusqu’à que des Marseillais le découvrent échoué sur une plage de Majorque dans les années 1970. Ils décident de le sauver sous l'égide de l’Ascanfe, Association pour la sauvegarde et la conservation des navires français et étrangers. Les travaux sont financés par une souscription qui réunit 212 entreprises et particuliers.
Le Marseillois devait passer en cale sèche, travaux repoussés à l’an prochain pour ne pas rater Marseille 2013, capitale européenne de la culture.

Prison avec sursis pour la collision mortelle entre le « Condor Vitesse » et « Les Marquises » le 11/09/2013


La collision avec le « Condor Vitesse » avait totalement détruit le caseyeur granvillais (Bruno Saussier, archives).

Le commandant et le second du Condor Vitesse ont été condamnés respectivement à 18 et 12 mois de prison avec sursis, le mercredi 11 septembre par le tribunal correctionnel de Coutances. Le 28 mars 2011, entre Saint-Malo et Jersey, une violente collision de leur navire avec le caseyeur granvillais de 9,20 mètres Les Marquises avait causé la mort de son patron, Philippe Lesaulnier, alors âgé de 42 ans.
À l’audience du 26 juin, le parquet avait jugé la vitesse du ferry de 86,27 mètres « totalement inappropriée » en raison de la brume et avait requis une partie de prison ferme contre les deux officiers, âgés de 59 et 48 ans. La cour ne l’a pas suivie jusqu’au bout, pour la plus grande colère de la famille du patron, présente à l’annonce du jugement.
Le commandant a aussi écopé de 5 ans d’interdiction d’exercice (il est retraité depuis) et les deux officiers ont été condamnés à payer en préjudice moral 8 000 euros à la veuve du pêcheur décédé, 3 000 euros à chacun de ses enfants, ainsi que 2 000 euros à chacun des deux matelots rescapés et 1 000 euros à l’armateur.

L O Voici le rapport au sujet de l'abordage du ferry avec le navire de pêche.
1) Conversation a la passerelle (sans commentaire) je vous rappelle le ferry navigue a 37 nœuds dans le brouillard!!! (extrait de la boite noire)

08 28 07 CAPITAINE : Hier au soir j’ai regardé CAT WOMEN à la télé. J’suis c… parce que j’ai mal dormi après.
08 28 10 SECOND CAPITAINE : CAT WOMEN ?
08 28 18 CAPITAINE : Elle sautait de partout on dirait un chat. Elle est vachement belle. Elle avait une tenue sexy.
08 28 25 CHEF MECANICIEN : Elle a des belles moustaches.
Suivent dix minutes de conversations « sans rapport avec la conduite du navire ».
08 42 41 BRUIT DE LA COLLISION BRUIT D’ALARME
08 42 46 VOIX D’HOMME NON IDENTIFIEE : Ah, Ah, Ah. … c’est quoi ?
08 42 59 SECOND CAPITAINE : Je vois rien.
08 43 08 VOIX ANGLAISE : ALAN ? Check one void two, we have an alarm.
08 43 17 VOIX D’HOMME NON IDENTIFIEE : Passerelle de cardeck.
08 43 25 VOIX D’HOMME NON IDENTIFIEE : j’vais…,
08 43 27 CAPITAINE : Hein ?
08 43 35 VOIX FEMININE NON IDENTIFIEE : Tiens XXXX arrête je… c’est quoi ça ?
08 43 49 SECOND CAPITAINE : je sais pas, on a heurté quelque chose. Je vais descendre à l’arrière si je vois quelque chose
Le capitaine informe les passagers :
08 44 00 CAPITAINE : Attention please, Captain speaking, we just…so we just investigate. Votre attention s’il vous plait, c’est une annonce de la passerelle, nous avons heurtéun corps étranger dans l’eau, peut-être un petit morceau de bois ou une bouée decasier et on va donc voir ce qui s’est passé, on vous tiendra au courant
Dans la timonerie, on se demande s’il faut faire demi-tour. La barre ne répond pas convenablement. Les pompes sont arrêtées. Il y a de l’eau dans le flotteur droit.
08 49 03 VOIX D’HOMME NON IDENTIFIEE : J’étais à l’arrière mais pas du bon côté, j’ai pas vu, j’ai rien vu du tout. J’ai senti le choc.
VOIX D’HOMME NON IDENTIFIEE : De toute façon on ne voit rien.
08 49 35 CAPITAINE : J’espère que c’est pas un bateau hein !
(…)
08 50 07 VOIX FEMININE NON IDENTIFIEE : Je peux parler ? Il y a un passager qui était sur le pont et qui dit qu’il a vu.
CAPITAINE : Qu’il a vu quoi ?
VOIX FEMININE NON IDENTIFIEE : heurté quelque chose, il dit qu’il voit un trou.
Les investigations menées à bord et le témoignage de passagers laissent peu de doute sur la cause des « deux trous » constatés sur le flotteur : un bateau de pêche.
08 53 59 CAPITAINE : Est-ce que tu peux appeler Jersey Radio pour leur dire qu’on a heurté un bateau ? P… de m… .
08 54 14 SECOND CAPITAINE : Je les appelle sur le 16 ?
08 54 30 CAPITAINE : Fais PAN PAN PAN . Envoie un Mayday, Mayday Relay ;
08 54 40 SECOND CAPITAINE : Mayday Relay, this is CONDOR VITESSE. CONDOR VITESSE over
08 55 00 JERSEY COASTGUARD : CONDOR VITESSE, this is Jersey Coastguard, Received your Mayday Relay Come in
08 55 10 SECOND CAPITAINE : JERSEY COASTGUARD, this is CONDOR VITESSE, our present position is 48°56,7 N 001°57,8 W we have collided an object unknown witnessed by passenger to be a vessel, as to be a boat we are presently stopped. We cannot manoeuver. Over.
08 56 30 JERSEY COASTGUARD CONDOR VITESSE JERSEY COASTGUARD posit passenger has witnessed collision with an object to be a boat
08 57 00 CAPITAINE : tu peux leur dire qu’on fait route, qu’on fait demi tour qu’on a heurté un bateau qu’on …
08 58 38 CAPITAINE : fait ch…, j’ai rien vu.



Quelle désinvolture

Le rapport complet de l’enquête 

www.beamer-france.org/BanqueDocument/pdf_289.pdf
bonne lecture   

Résultat : le vieux    et le second      pas de prison   

Salut  

L'État condamné dans l'affaire de l'explosion de la "Fidèle" le 17/09/2013


La faute inexcusable a été retenue pour chacun des six dossiers des ouvriers d'État, quatre personnes décédées, et deux blessées. C'est la première fois que la responsabilité de la DCN (Direction des constructions navales, détenue à l'époque à 100 % par l'État, et devenue depuis DNCS) est caractérisée par une juridiction dans ce dossier, qui a fait l'objet de deux non-lieux sur le plan pénal, en 2007 et en 2012, selon l’avocat des victimes et de leurs familles, Me François Laforgue.
Le 30 avril 1997, cinq marins et pyrotechniciens avaient été tués et 17 blessés par l'explosion accidentelle de la Fidèle, une gabare de la Marine nationale, au large de Cherbourg.
La procédure devant le Tass ne concernait que les six victimes civiles de la Direction générale de l'armement. Les victimes militaires ont été indemnisées (un militaire décédé, six blessés) il y a 2 à 3 ans via une transaction passant par le tribunal administratif.
Mardi, le Tass a condamné l'État à verser aux familles de 187 000 euros et 205 000 euros par victime décédée, pour l'indemnisation du préjudice subi par chacune des personnes décédées. S'y ajoutent 100 000 euros pour chaque veuve et 50 000 euros pour chacun des huit enfants. Les victimes décédées avaient entre 40 et 48 ans.
Les blessés, âgés aujourd'hui de 49 et 56 ans, recevront entre 61 000 et 71 000 euros d'indemnisation.
Au total, l'État est condamné à verser environ 1,5 million d'euros, selon une source judiciaire.
Il y avait 22 personnes au total à bord de la Fidèle, qui avait explosé alors qu'elle transportait plus de 1 400 grenades sous-marines de fabrication espagnole.
Sur le plan pénal, l'affaire a fait l'objet d'un non-lieu définitif le 19 septembre 2012.

L O Un mot d'explication au sujet de la "Fidèle" qui a coulé au large de Cherbourg en 1997.
Heureusement que cette situation n'a jamais eu  lieu sur le "Kamina " durant l'exécution des nombreux dumping de munitions en Atlantique.
Voilà la relation des événements du 2 mai 1997.



«La Fidèle» explose au large de Cherbourg: 2 morts, 3 disparus

MERCHET Jean-Dominique 2 mai 1997 à 03:32

• Deux personnes sont mortes et trois autres portées disparues à la
  

suite de l'explosion d'une gabare de la Marine nationale, la Fidèle, mercredi à 10h30 au large de Cherbourg. Sept autres personnes ont été blessées, dont certaines grièvement. Hier, les recherches se poursuivaient pour retrouver les disparus. Vingt-deux personnes étaient à bord lorsque l'explosion s'est produite. Le bâtiment de 630 tonnes a coulé dans les minutesqui ont suivi la déflagration, entendue à près de 30 kilomètres. Les rescapés ont été récupérés par un navire de pêche et un voilier britannique. Alain Tournyol du Clos, directeur de l'arsenal de Cherbourg, «ne comprend pas ce qui a pu se passer». La Fidèle procédait à la destruction d'un stock de 1 450 grenades périmées, soit plus de 600 kilos d'explosifs. Dégoupillées en surface, ces grenades sous-marines n'explosent en principe qu'à une dizaine de mètres de profondeur, sous l'effet de la pression. L'explosion a eu lieu à l'arrière, là où les six artificiers de l'arsenal procédaient à l'immersion des grenades. Deux enquêtes, militaire et judiciaire, ont été ouvertes pour déterminer les causes de l'accident. (avec AFP et Reuter)

Salut 

Une vidéo de l'ADMIRAL KUZNETSOV et + ?

enfin une autre vue que l'US NAVY

allors celui-ci a eu chaud
https://youtu.be/tlssBERuimo

et celui-ci très chaud
https://youtu.be/PWMlmwoexks

A/B du GARIBALDI
https://youtu.be/knI5tfxP868

     

Le "Soléal" s'échoue en mer de Bering le 23/09/2013


Le navire de croisière "Soléal" est le dernier-né de la Compagnie du Ponant. (Photo d'archives DR)

Durant une croisière le long des côtes russes, le Soléal, le dernier né de la Compagnie du Ponant, s'est échoué le 21 septembre sur un banc de sable non cartographié près de l'île d'Arakamchechen (péninsule de Chukokta) à l'entrée du détroit de Bering avec 143 passagers à bord.
L'échouement a duré une trentaine d'heures, mais le navire a réussi à se remettre à flot par ses propres moyens et aucun blessé ni aucune pollution n'est à signaler. L'inspection de coque effectuée par des plongeurs a permis au navire de reprendre sa croisière. Le navire n'a pas lancé d'appel de détresse et n'a pas demandé d'assistance selon le MRCC de Moscou.
Le Soléal avait été le premier navire civil français à franchir le passage du Nord-Ouest en arrivant le 16 septembre dernier à Anadyr en Russie.

Le paquebot « Royal Princess » victime d'une avarie de propulsion le 23/09/2013


Le « Royal Princess » a été victime le 22 septembre d’un incident de propulsion en Méditerranée centrale.

Le Royal Princess, paquebot neuf baptisé en juin par Kate Middleton, s’est retrouvé temporairement en black-out le dimanche 22 septembre vers 13 h 30 alors qu’il naviguait entre Mykonos et Naples. Un générateur de secours a pu être mis en service pour assurer les services de base aux 5 000 passagers et membres d’équipage, notamment les toilettes. Un communiqué officiel de Princess Cruises (groupe Carnival) indique que tout est fait pour que le navire retrouve son mode de propulsion normal. Les passagers sont néanmoins débarqués à Naples et la croisière est interrompue.
Le paquebot tout frais sorti des chantiers Fincantieri était parti le 15 septembre de Venise pour une croisière de 12 jours. Il aurait subi divers incidents techniques depuis sa livraison, selon le compte-rendu de passagers sur les réseaux sociaux.
Deux paquebots de Carnival ont connu des incidents au printemps en Amérique centrale.

Sécurité maritime : un premier pas vers la pesée obligatoire des conteneurs le 23/09/2013


Le naufrage du "MOL Comfort" pourrait être la conséquence d'une mauvaise répartition des poids des conteneurs due à de fausses déclarations. (Photo DR)

L'Organisation maritime internationale (OMI) vient d'adopter un projet d'amendement à la convention Solas rendant obligatoire la pesée des conteneurs avant embarquement. Il émane du sous-comité sur les marchandises dangereuses, les cargaisons solides et les conteneurs, qui s'est réuni à Londres du 16 au 20 septembre.
Le sous-comité a accepté les propositions de compromis des armateurs et des gouvernements préconisant deux méthodes différentes pour vérifier le poids des conteneurs. Soit les chargeurs vérifieront le poids d'un conteneur en le pesant une fois emballé, soit ils pèseront tous les paquets et les marchandises individuellement.
Les mauvaises ou fausses déclarations constituent un problème de longue date pour l'industrie du transport, ainsi que pour les États en raison du risque qu'elles font peser sur la stabilité des navires, leurs équipages, les manutentionnaires dans les ports...
Cette question de la pesée des conteneurs est revenue à la Une de  l'actualité à la suite du récent naufrage du porte-conteneurs MOL Comfort dans l'océan Indien. La rupture en deux de la coque pourrait être la conséquence d'une mauvaise répartition des poids des conteneurs due à de fausses déclarations.
La surcharge des conteneurs avait aussi été mise en évidence par le MAIB, le Bureau enquêtes accidents britannique, dans son enquête sur la perte du porte-conteneurs MSC Napoli en 2007.
Actuellement, c'est le chargeur qui indique le poids des conteneurs sur un document, sans autre contrôle. C'est sur la foi de ce document que le navire est chargé et équilibré.
Les propositions doivent maintenant être approuvées par le comité de sécurité maritime de l'OMI en mai 2014, avant une adoption finale attendue pour novembre 2014. Si elles sont adoptées, les mesures rendant obligatoire la pesée des conteneurs prendraient effet en juillet 2016.