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SCHOETERS CHRISTIAN Amiral
Nombre de messages : 7734 Age : 70 Localisation : ghislenghien Date d'inscription : 10/07/2011
| Sujet: Re: aeronaval en 1914+18 Lun 24 Juin 2019 - 6:05 | |
| Salut Robert et a tous Avant de partir voici l'histoire d'un AS belge, qui a avoir avec l'aeronaval, un peut long mais trés intéressant. mais cet article ne peut être cinder en deux Bonne lecture et bonne semaine a tous Surnom Banjo Naissance 2 novembre 1888 à Petite-Chapelle belgique Le capitaine-commandant Fernand Maximilien Léon Jacquet (2 novembre 1888 - 7 octobre 1947 1914 Lorsque la Belgique neutre est envahie par l'Allemagne en août 1914, Jacquet effectue des missions de reconnaissance près de Namur. Lorsqu'il n'effectue pas des missions de combats dans un biplace, il sillonne les routes proches du front dans une automobile équipée d'une mitrailleuse Lewis et son mitrailleur, le prince de Chimay, Joseph-Philippe François de Riquet. Il semble que la présence d'un mitrailleur dans les airs et sur terre soit due à sa myopie. D'un caractère fonceur, il se portait volontaire pour des missions spéciales Il a notamment bombardé les Allemands à Groote Hemme le 24 novembre 1914 et le jour de Noël 1914 à Beerst et Essen. Au début du conflit, alors que les aviateurs ont pour mission de rapporter des photographies et effectuer des missions de reconnaissance sur le front, Jacquet pénètre profondément les lignes ennemies à la recherche de l'affrontement. 1915 Passé à la 1re escadrille, dans les Flandres, Il croise 10 Aviatik le 26 février 1915 et les prend en chasse, mais sans succès. À 3 autres occasions, il attaque des Aviatik solitaires. Finalement, le 17 avril 1915, il engrange la première victoire en combat aérien de son pays. Jacquet, aux manettes d'un Farman HF.20 armé d'une mitrailleuse, est pris sous le feu d'un Albatros Flugzeugwerke, avion de reconnaissance allemand biplace. C'est son mitrailleur, Henri de Vindevoghel qui tira les 7 coups fatals qui tuèrent le pilote, condamnèrent son mitrailleur et firent prendre feu à l'avion. Jacquet suivit avec deux victoires non homologuées, le 20 juin, un avion rendu incontrôlable et le 28 juillet 1915 quand il força un avion ennemi à atterrir. 1916 Le 20 mai 1916, le mitrailleur de Jacquet est le lieutenant Robin. Le duo affronte des hydravions allemands en matinée et en soirée. Lors du combat du soir, ils engagent la moitié d'une formation de 10 avions ennemis et il s'assure ainsi de sa seconde victoire homologuée par la destruction de l'un d'entre eux. Il s'ensuit une série de victoires probables les 26, 27 mai et 22 juin . Le 23 juin, à bord d'un Farman F.40 orné d'une tête de mort peinte sur le nez, il détruit un Fokker. Le mois suivant, les 2 Belges demandent l'homologation de 2 victoires, le largage de fléchettes sur un ballon d'observation allemand et le bombardement d'une position allemande à Gistel. Elles seront refusées. L’après-midi et le soir du 30 juillet, Jacquet et Robin affrontèrent une série d'avions allemands et furent crédités d'une victoire grâce à la destruction d'un LVG. Leur victime probable fut le sous-lieutenant Franz Walz (en), qui ce jour-là fut abattu et blessé gravement Jacquet et Robin ressortirent indemnes d'un bombardement de l'artillerie antiaérienne allemande le 8 septembre mais leur avion fut détruit. Ils volaient probablement sur un Farman modifié. En décembre 1916, Jacquet est nommé commandant de son escadrille, la 1re Escadrille de Chasse Il occupe le terrain des Moëres mais le GC 12 a réparti ses escadrilles sur deux terrains assez proches : le premier se trouve à Saint-Pol-sur-Mer près de Dunkerque dans un bassin maritime asséché, l'autre est plus à l'intérieur des terres, près du village de Bergues. Les escadrilles françaises, belges et britanniques se retrouvent ainsi proches les unes des autres. Il n'y a pas plus de dix minutes de vol entre les plus éloignées et moins de cinq entre les Moëres et l'escadrille anglaise la plus proche. Cela favorise évidemment les contacts. On se rend des visites de courtoises à la moindre occasion. On prend le thé chez les Britanniques, l'apéro chez les Français, et les deux chez les Belges1917 Le 1er février 1917, Jacquet devient finalement un as, Robin et lui abattent un Rumpler à une altitude de 12 500 pieds À la même période lorsque sous l'impulsion de Roi Albert est créé le Groupe de Chasse regroupant trois escadrilles (et donc le premier "Wing" de chasseurs), le roi insiste pour que Jacquet en prenne le commandement Le 18 mars 1917, il a l'honneur d'emmener le roi Albert, dont c'est le baptême de l'air, faire une reconnaissance au-dessus de la ligne de front. Ils sont escortés par 5 Nieuport. Jacquet tenta de faire l'acquisition de Bristol F.2 Fighter pour remplacer ses vieux Farman. Il reçut des SPAD S.XI et des Sopwith 1A2 à la place. Pendant ce temps, le lieutenant Robin entame sa formation de pilote. Jacquet fut promu au grade de Capitaine-Commandant en décembre. Le 7 avril, au centre d'Houtem, Jacquet reçoit la visite du roi Albert I. Le 9 septembre, Guynemer vient se poser aux Moëres à la suite d'un problème mécanique. Reçu par Jacquet qui veut le faire patienter au bar de l'escadrille, mais celui-ci refuse pour assister à la réparation de son moteur déficient. Verbessem, pilote de chasse, réalise une des dernières photos de l'As français. Il repart vers 16 heures après avoir remercié Jacquet et les mécaniciens. Les Belges ne reverront plus Guynemer qui meurt le 11 du même mois. Fin septembre, Jacquet reçoit la visite conjointe du roi d'Italie et du roi Albert I. Le roi Victor-Emmanuel III s'entretint à cette occasion longuement avec l'adjudant André De Meulemeester (surnommé le chasseur-né) et Jacquet en présence du roi Albert. 1918 Jacquet remporte une victoire probable le 3 juin 1918, rendant incontrôlable l'avion de son adversaire, une action qui aurait été homologuée dans la Royal Air Force. Le 4 octobre et le 6 novembre, il utilise un Spad pour obliger un biplace allemand à atterrir. Fernand Jacquet termine la guerre avec 7 victoires homologuées et 9 probables. Il reçut également maintes décorations belges et étrangères. aprés guerre Fernand Jacquet quitte l'armée belge en 1921. Avec un son fidèle équipier Robin, il ouvre une école de pilotage à Gosselies sous l'égide de la SEGA, à la fondation de laquelle il est également associé dès l'origine.. Après l'obtention d'un important contrat de l'armée belge donnant lieu pour la première fois à des compensations économiques, Fairey (Hayes, UK) crée sur le même l'aérodrome de Gosselies sa filiale belge Société des Avions Fairey le 27 août 1931; Fernand Jacquet en le directeur commercial. Lorsque les Allemands envahissent la Belgique pour la seconde fois en 1940, Jacquet devient un membre actif de la Résistance jusqu'à son arrestation et son emprisonnement dans le fort de Huy en 1942. Il y restera jusqu'à la fin de la guerre. Fernand Jacquet meurt à Leval-Chaudeville le 12 octobre 1947 |
| | | calamar1942 Amiral
Nombre de messages : 9506 Age : 83 Localisation : Espagne,spanje,empuriabrava Date d'inscription : 01/11/2009
| Sujet: Re: aeronaval en 1914+18 Lun 24 Juin 2019 - 11:19 | |
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| | | SCHOETERS CHRISTIAN Amiral
Nombre de messages : 7734 Age : 70 Localisation : ghislenghien Date d'inscription : 10/07/2011
| Sujet: Re: aeronaval en 1914+18 Ven 5 Juil 2019 - 7:23 | |
| Salut a tous
certains partis en vacances d'autres reviennent moi je reviens avec ;
HAUTEFEUILLE Jean, Baptiste, Stéphane, Laurent
– Lieutenant de vaisseau du 10.07.1909 1er janvier 1878 à Toulon. + 2 décembre 1941 Valognes (Manche) Ecole navale 1896. Enseigne de vaisseau du 5.10.1901 Il est embarqué sur des cuirassés, croiseurs et torpilleurs jusqu’en 1910. Il est affecté au camp de Châlons-Mourmelon le 1.08.1910 et y devient le 5è marin breveté pilote par l’AéCF le 4.10.1910 à avec le n° 247 sur Henry Farman. Il ne passe pas les épreuves du brevet militaire. Il commande le camp d’aviation de Châlons de février 1911 à septembre 1911. Il est ensuite à l’état-major de la Marine, chargé du Service de l’aviation, ce qui l’amène à être le 1er commandant du Centre d’aviation maritime de Fréjus – Saint-Raphaël (15.10.1912-15.12.1913). Sa santé l’oblige à ne plus piloter à partir de décembre 1913 et il volera désormais comme observateur. Il commande un torpilleur à Cherbourg (03.1914-08.1915) puis revient à l’aviation en commandant le centre d’hydravions de Brindisi (08.1915-02.1916), puis le centre d’aviation maritime de Bizerte (04.1916-09.1916). Retour au ministère de la Marine (10.1916-08.1917) avant de commander le CAM de Corfou (Grèce) d’août 1917 à mars 1919, qu’il dissout. Il commande le Régulus (05.1919-08.1921), revient au SC/Aéro (11.1921-09.1924) avant de commander l’Aéronautique maritime en 1ère région à Cherbourg (10.1924-06.1926). Il est commandant en second du cuirassé Jean Bart (12.1926-05.1928), chef d’état-major de la Majorité générale de Cherbourg (06.1928-09.1932) Capitaine de corvette du 25.01.1919. Capitaine de frégate du 17.08.1922. Retraite 25.10.1934. Officier de la Légion d’honneur du 13.07.1923 |
| | | SCHOETERS CHRISTIAN Amiral
Nombre de messages : 7734 Age : 70 Localisation : ghislenghien Date d'inscription : 10/07/2011
| Sujet: Re: aeronaval en 1914+18 Dim 7 Juil 2019 - 7:19 | |
| BYASSON Louis, Édouard. - Lieutenant de vaisseau du 1.11.1901
20 mai 1870 à Paris, MSAC 14 avril 1911 à Coignières (78). Ecole navale 1888. Il est le premier marin à passer le brevet de pilote de l’AéCF, le 9 août 1910, avec le n° 175. Il est le chef incontesté d’une petite phalange d’enseignes de vaisseau, brevetés la même année. Du 11 au 18 septembre 1910, il prend part au meeting de Bordeaux où il remporte le 1er prix des passagers et le 4e prix des officiers. Il se fait remarquer le 18 octobre 1910, en plein orage en bouclant un raid Vincennes-Mourmelon-Vincennes sur Maurice Farman. Il réitère ce raid le 21 octobre 1910. On le charge ensuite de rechercher à Toulon, un emplacement propice à l’établissement d’un aérodrome pour la marine. Le 21 décembre 1910, Louis Byasson prend part au prix Lazare Weiller, à bord d’un biplan, sur le parcours Buc-Blois et retour. Son voyage s’annonce bien mais après avoir couvert 100 km, une panne d’allumage l’oblige à atterrir, son appareil tombe de 15 mètres de haut et se brise complètement. Il n’a pas eu le temps de passer les épreuves du brevet militaire. Il prend en mains le 26 décembre le premier aéronef acquis par la Marine, un Maurice Farman, basé à Buc. Il se tue malencontreusement dans un accident aérien, aux commandes d’un MF de l’Armée. Une stèle commémorative est visible à Coignières, en bordure de la RN 10, côté sud. Byasson est l’auteur d’un traité sur la navigation aérienne. Chevalier de la Légion d’honneur du 25 janvier 1909. |
| | | SCHOETERS CHRISTIAN Amiral
Nombre de messages : 7734 Age : 70 Localisation : ghislenghien Date d'inscription : 10/07/2011
| Sujet: Re: aeronaval en 1914+18 Dim 7 Juil 2019 - 7:46 | |
| Grall Hervé Quartier-maître électricien du 01.10.1911 . Né le 15 avril 1890, Plougastel (Finistère), décédé le 19 août 1985, Sarzeau (Morbihan). Engagé dans la Marine en 1905 comme électricien, Affecté sur la Foudre en novembre 1913, breveté pilote par l’AéCF n° 1666 le 10.07.1914 à Villacoublay. Ne passe pas les épreuves du brevet militaire. Est qualifié sur hydravion le 02.09.1914. Détaché à Nice en août. Est envoyé à l’escadrille Nieuport de Port-Saïd en Egypte (11.1914 à 01.1916), il échappe par son énergie à une capture par les troupes ottomanes. Il est l’un des rares pilotes d’avant-guerre à servir sans discontinuer, à Argostoli (01.1916 à 04.1917), à Lorient (05.1917 à 09.1918), puis Saint-Raphaël pour le cours de chef de section et à nouveau Lorient (03 à 06.1919). Moniteur à Hourtin (07.1919 à 03.1920) et Fréjus-Saint-Raphaël jusqu’en septembre 1923. Il entre alors au Bureau Veritas, réclamé par son ancien chef, le CF de L’Escaille. Second maître 09.05.1915, maître 01.07.1917, premier maître 01.04.1919, maître principal de réserve 04.12.1923 Grall (Hervé), 87272-2, quartier-maître électricien chef de poste de T. S. F. (pilote aviateur) est promu d'office au grade de second maître : s'est distingué par l'exécution ponctuelle des ordres reçus sous un feu violent. A fait preuve des plus belles qualités, a manoeuvré, avec hardiesse pour sauver l'appareil qui lui était confié et, avec l'aide de son passager, a réussi à faire un prisonnier. [Paris, le 9 mai 1915). |
| | | Xavier MONEL Amiral
Nombre de messages : 11706 Age : 82 Localisation : 01480 MESSIMY SUR SAÔNE Date d'inscription : 23/07/2013
| Sujet: Re: aeronaval en 1914+18 Dim 7 Juil 2019 - 12:23 | |
| Bonjour et merci Christian. Amitiés. Xavier |
| | | FONTENAI CHRISTIAN Amiral
Nombre de messages : 3281 Age : 78 Localisation : Koksijde Date d'inscription : 19/05/2010
| | | | Xavier MONEL Amiral
Nombre de messages : 11706 Age : 82 Localisation : 01480 MESSIMY SUR SAÔNE Date d'inscription : 23/07/2013
| Sujet: Re: aeronaval en 1914+18 Lun 8 Juil 2019 - 17:17 | |
| Bonjour Christian.
Mais, bien sûr ; on se remémore… Amitiés.
Xavier |
| | | SCHOETERS CHRISTIAN Amiral
Nombre de messages : 7734 Age : 70 Localisation : ghislenghien Date d'inscription : 10/07/2011
| Sujet: Re: aeronaval en 1914+18 Jeu 11 Juil 2019 - 7:02 | |
| 1912 10 mars 1912 : François Denhaut réussit plusieurs amerrissages et décollages avec son "Poisson Volant". Il est financé par Jérôme Donnet et Henri Lévêque. 20 mars 1912 : Un décret du président de la République crée le Service de l'Aviation maritime, qui donne droit un aérodrome établi sur le littoral (le futur Fréjus-Saint-Raphaël) et un ancien croiseur bâtiment-base d'aviation La Foudre, des bâtiment de flottille et du matériel volant. 15 avril 1912 : Le CF Fatou est nommé à la tête de l'Aviation maritime. Il commande aussi La Foudre, bâtiment central d'aviation. 1er mai 1912 : Le ministre de la Marine autorise l'achat d'un hydroplane Breguet monoplan et d'un Nieuport à flotteurs doubles. Le Farman offert par les Français de Monaco sera transformé. 26 août 1912 : L'hydravion à coque de Denhaut se distingue au rallye organisé par la Marine. Il est piloté par l'EV (en congé) Conneau. Impressionné par les performances de l'hydravion de Nieuport, le ministre de la Marine décide d'en commander un second. 15 octobre 1912 : Le LV Hautefeuille prend le commandement du premier Centre d'Aviation maritime, situé à Fréjus-Saint-Raphaë 8 mai 1914 : René Caudron aux commandes d'un biplan Caudron Type J réussit le premier décollage français depuis un bâtiment de guerre, La Foudre et vient amerrir un peu plus loin. 10 juillet 1914 : Création du Service central de l'Aéronautique à Paris. 2 août 1914 : La première guerre mondiale éclate, L'Aéronautique maritime aligne 25 appareils disparates et ne possède ni ballons, ni dirigeables. |
| | | SCHOETERS CHRISTIAN Amiral
Nombre de messages : 7734 Age : 70 Localisation : ghislenghien Date d'inscription : 10/07/2011
| Sujet: Re: aeronaval en 1914+18 Sam 13 Juil 2019 - 7:17 | |
| salut a tous je prend de l'avance 19 septembre 1918 : Mise en service de l'HMS Argus, premier porte-avions au monde avec un pont entièrement plat capable de faire décoller ou atterrir des avions à roue. 25 octobre 1918 : Le LV Guierre décolle avec un monoplace Hanriot d'une plate-forme montée sur la tourelle de 305 mm numéro 2 du cuirassé Paris. 9 novembre 1918 : Le LV Teste se blesse en tentant de décoller du pont du cuirassé Paris avec un Hanriot HD.2. 11 novembre 1918 : Armistice de la première guerre mondiale. L'Aéronautique maritime dispose de 36 centres d'aviation mettant en oeuvre environ 1.260 hydravions, 20 centres de ballons captifs, auxquels s'ajoutent 50 chalutiers porte-ballons mettant en oeuvre 200 aérostats. Elle possède également 12 centres de dirigeables totalisant 37 appareils souples. Le personnel volant comprend 630 pilotes et 693 observateurs d'avions et d'hydravions ; 104 pilotes et 175 hommes d'équipage de dirigeables ; 239 observateurs de ballon captif. Le personnel non volant est réparti comme suit : 6.800 hommes dans les centres d'aviation ; 1.662 hommes dans les centres de ballons captifs ; 2.657 hommes dans les centres de ballons dirigeables. |
| | | SCHOETERS CHRISTIAN Amiral
Nombre de messages : 7734 Age : 70 Localisation : ghislenghien Date d'inscription : 10/07/2011
| Sujet: Re: aeronaval en 1914+18 Lun 15 Juil 2019 - 9:44 | |
| salut a tous |
| | | calamar1942 Amiral
Nombre de messages : 9506 Age : 83 Localisation : Espagne,spanje,empuriabrava Date d'inscription : 01/11/2009
| Sujet: Re: aeronaval en 1914+18 Mar 16 Juil 2019 - 10:26 | |
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| | | FONTENAI CHRISTIAN Amiral
Nombre de messages : 3281 Age : 78 Localisation : Koksijde Date d'inscription : 19/05/2010
| | | | SCHOETERS CHRISTIAN Amiral
Nombre de messages : 7734 Age : 70 Localisation : ghislenghien Date d'inscription : 10/07/2011
| Sujet: Re: aeronaval en 1914+18 Mar 16 Juil 2019 - 15:16 | |
| non Christian car de nos jours, ils sont pilote de CANADAIR et pas des kamikazes" des hommes du feu, et travaillent aussi au Canada et autres régions avec de vieux appareils qu'ils bichonnent ces hydravions servent toujours a amener du courrier ou autre matériel lourd (ok maintenant plus modernes) mais la base est née avant 1914-1918. Regarde ces hydravions de 1940-1945 sont encore (trés peut et volent toujours)
Dernière édition par SCHOETERS CHRISTIAN le Mar 16 Juil 2019 - 15:24, édité 2 fois |
| | | Xavier MONEL Amiral
Nombre de messages : 11706 Age : 82 Localisation : 01480 MESSIMY SUR SAÔNE Date d'inscription : 23/07/2013
| Sujet: Re: aeronaval en 1914+18 Mar 16 Juil 2019 - 15:19 | |
| Bonjour les amis.
Que tout cela est instructif ! Merci, Christian. On en apprend, des choses… Amitiés.
Xavier |
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| Sujet: Re: aeronaval en 1914+18 | |
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