Kriegsmarine

Robert

Pour la Krigsmarine l'année 1940 peut se diviser en trois période au printempsl'Opération Weserübung, en étéla conquête de l France et de ses coôtes et en automne le temps heureux des U.Boote. Dès le début des hostitilités l'amiral Raeder s'inquiéta de la sir-uation straégique des importations de la plus grande part des minerais de fer nécessaires à son industrie métallurgique, soit environ les quinze millions de tonnes annuels provenant essentiellement des mines fe fer du nord de la Scandinavie. Il était clar que ces besoins alleient encore augmenter très fort pour les besoins de la guerre.
En hiverseul le port de Narvket un port finlandais sont libre de glace. Ces pays étant neutres il était donc nécessairesd'empruner des eaux territoriales neutres ce que les Allemand nepouvaient pas risquer. Raeder demanda donc à Hitler de faire accepter et autoriser par le gouvernement norvgien, alors plus ou moinsamical avec l'Allemagnd, le stationnement d'une force navale de défense de son trafic à Trondheim.
De son côté, cette situation n'avait pas échappé à Winston Churchil, alors Premier Lord de l'Amirauté de lancer une opération contre le trafic allemand au long des côtes norvégiennes. D'autrepart, durant le calme de la drôle de guerre qui régnait sur le font de France proposa à son gouvernementue attaque sur le nord de la Norvègeainsi que sur les puits de pétroles de Russie, rien de loins, et excusez du peu et comprenez le refus des ministres eux même en discorde sur les opérationsà prévoir. de plus le desroyer HMS Cossak libéra 299 prisonniers civils alliés au prix de cinq matelots allemands tués. Cette attaque eu un grand retentissement de propagande organisee par le Dr Goebels de qui freina les intetions du gouvernement britannique.
C'est Hitler qui prit la decisiosn d'envahir la Norège le 8 avril en prenan de vitesse les alliés qui avaient commendé trois jours plus tôt le mouillage d'un grand champ de mines en prélude à une invasion. Cette opération dura jusqu'au 7 juin quand le général français Bethouart décida de rapatrier ses troupes en France pour les besoins du front françaisbet le départ des britanniques retournés dans leur île à cause du rembarquement de Dunkerque.

Une conclusion de cette bataille qui ne fut comprise que par un peit nombre de généraux alliés qui ne l'appliquèrent que plus tard fut qu'un débarquement ne peut se faire que sous l'ombrelle d'une puissante supériotité aérienne. Ce ne fut pas oublié par les généraux US d-et les amiraux de l'US Navy dans le Pacifique, mais pas à Dieppe en 1942
L'opération Weserübung. Coûta à la Kriegsmarine neuf magnifiques destroyers un croisuer tout neut, le Blücher et un cuirassé de poche endommagé.

comme d’habitude au poil merci Robert

Salut Robert

un supplément rappel sur L'opération Weserübung.



Bataille du détroit de Drøbak

Le Blücher
commence sa carrière comme navire-école dans la mer Baltique. Sa première et dernière mission de combat, fut lors de l'invasion de la Norvège le 9 avril 1940 pendant l'opération Weserübung qui se termine par sa perte.

Le 9 avril 1940 à 3 h 40, le Blücher entre dans l'Oslofjord.

À 4 h 40 il est éclairé par des projecteurs norvégiens.

À 5 h 21, il est touché par les obus de 280 mm de la forteresse d'Oscarsborg. Les impacts tombent sur le poste de contrôle de tir avant, rendant les canons inutilisables.


Un des trois canons de 280 mm Krupp de la forteresse d'Oscarsborg


À 5 h 25, le Blücher est touché par les canons de 280 mm de Drøbak. Ce second tir touche le hangar de l'hydravion. Le combustible de l'Arado Ar 196 se répand et provoque un incendie.

À 5 h 30, le croiseur lourd est touché par deux torpilles, lancées de la forteresse de Kaholm Nord. Ce troisième tir est fatal. Les torpilles atteignent la salle des machines provoquant la perte de contrôle du navire qui part à la dérive.

À 6 h 22, le Blücher coule à proximité d'Askholmen (no).



L'épave, à 90 mètres de fond, renferme encore les corps de nombreux marins

Christian très bon complément d’informations sur le sujet de Robert

Il nous faut ici citer la Luftwaffe car elle porait de looudes responsabilités pour la bonne réalisation de cette opération.
C'est ici que Goering, ce fat et orgueuilleux sybarite montra son incompétence pour la haute fonction qu'il occupait. Les amiraux allemands, concient de la puissance de la Royal Nay comparée à celle de la Kriegsmarine exigeait une supériorité aérienne sur la mer du Nord et de la Manche durant les opérations.Il laissa presque tout le commandement des opérations de la Luftwaffe à deux généraux qui n'étaient pas toujours d'accord. Il croyait aussi que son aviation ne ferait qu'une bouchée des défenses de la Royal Air Force.
Jusque là, la Luftwaffe n'avait eu à faire qu'à des petites aviations démodée ou à l'Armée de l'Air française, en voie de réorganisation et ne disposait que de très peu d'appareils capables de poser un vrai problème aux Messerscmitt 109 allemands. La Royal Air Force au contaire très bien organisée et commandement avait conseré la majorité de ses excelents chasser en Grande Bretagne pour défendre le pays comme l'exigeait le commandant de son Fighter Command, l'Air Marshal Hugh Dowding, un officer qui était aussi sérieux et compétent que Goeing ne l'était pas.
Le "Dicke" comme le surnommaient ses pilotes promit don à son ami Hitler de liquider la Raf en une dizaine de jours, il appela l'Adler Tag, le jour du début de ses opération. Le 16juillet, le colonel Jozef "Beppo" Scmidt, une de ses amis et protégés qu'il avait nommé commandant du service de renseignements de la Luftwaffe lui remmit ue document la "Studie Blau" Cette étude était particulièrement présomptueuse et erronée, notamement dans ses trois derniers paragraphes, le commandement de la RAF, son organisation, et ses capacités d'opération avec des conclusions qui estimaient la Luftwaffe largement suprieurs à la Luftwaffe. Le document ne faisait même pas allusion au service terrestre de l'Observer Corps, très efficient en permanence ni à son réseaude radar très efficent. au radar.Le document n'évoquait même pas les communications radio des contrôleurs de vol comme le faisait la RAF dans laquelle chaque escadron avait un Intelligence Officer. C'est sur ces bases que le "Gros" promit de nettoyer la RAF du ciel en une bonne dizaine de jour. Ce fut ainsi que débuta la Bataille d'Angleterre dans le ciel d'un ber été lumineux. Onsait ce qu'il en fut.

salut a tous

Joseph Beppo Schmid


Un ami proche de Hermann Göring , Schmid a commandé la Branche du renseignement militaire de la Luftwaffe ( Abteilung 5 en tant que chef IC) du 1er janvier 1938 au 9 novembre 1942.

Adolf Galland

a ensuite critiqué Schmid pour ne rien faire pour améliorer la faible qualité des services de renseignement.
 Fin 1942, il fut nommé à la tête de la division "Général Göring" en Tunisie, connue sous le nom de Kampfgruppe Schmid .
Sur ordre personnel de Göring, Schmid est sorti de la poche tunisienne .
 Promu Generalmajor le 1er février 1943 et Generalleutnant le 1er juillet 1944, il reçut le commandement du 1er Fighter Corps (15 septembre 1943 - 15 novembre 1944).
Il a été nommé commandant de la Luftwaffenkommando West , anciennement Luftflotte 3 le 23 novembre 1944
.
Ses qualités de leader ont été contestées jusqu'à la fin de la guerre, tandis qu'Antony Beevor l'a appelé "l'officier de renseignement le plus désastreux que la Wehrmacht ait jamais produit".
Schmid a commandé les forces allemandes impliquées dans l' Opération Bodenplatte le 1er janvier 1945.
Les unités allemandes chargées de la Défense du Reich ont combattu sous sa direction


Née
 24 septembre 1901
Göggingen , Wurtemberg , Empire allemand  

Décédés
30 août 1956 (54 ans)
Augsbourg , Bavière , Allemagne de l'Ouest

Ce sont Robert et Christian qu’on aurait du nommer aux renseignements.

Pour le lancement de l'opération Otarie, La Luftwaffe qui devait anéantir la RAF commença sa bataille d'Angléterre. Mal lui en prit car lle tomba alors sur un dversaire bien plus coraiace qu'elle le croyait et aussi Beppo Schmd, car elle n'eut pas seulement à faire avec les Spitfire et Hurricane du Fihter Command bien enyrainés aux contrôles radar, mais aussi avec les bombardiers Blenheim et Hampden du Bomber Command qui chaque nuits attaquait les ports de Rotterdam à Boulogne ou s'improvisait la flotte prévue pour l'invasion. Les Anversois furent souvent réveillés par ces appareil qui attaquaient le ports d'Anvers, ses bassins et l'Escaut. Contrairement aux iddées de Beppo, la RAF était non seulement mieux organisée que la Luftwaffe mais aussi mieux commandée. De ce fait l'opération fut d'abord retadrdée puis remise sine die.
Un des bombardements d'Anvers fut l'occasion de l'attribution dune Victoria Cross; la plus haute distinction des forces armées britanniques. Dans la nuit du 15 au 16 septembre de Handleym Hampden P 1855 du Scquadron 83 encaissa un coup direct dans un de ses réservoirs d'essence qui s'enflama qui s'enflama, forçant le mitrailleur à sauter en parachute L'intérieur du fuselage devin un enfer. Le sergent John Hannah qui était radion et mitrailleur avant avaittvu que le navigateur avait également sauté. Il parvint alors déclencher les exctincteurs, malgré de gravecs brûlures pemettant au pilote de rentrer à la base.

Robert et tous nos anciens connaissent cette phrase de Churchill prononcée le 20 août 40. «  jamais dans l’histoire des conflits tant de gens n’ont dû autant à si peu »
Une pensée des matafs pour ces pilotes courageux de la bataille d’Angleterre. C’était ce qui manque le plus aujourd’hui la fraternité des mecs
de toutes nationalités pour un même combat: la liberté.

Voici l'oiseau oublié dans mon message précédent :
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Le A 10 " Bochum " en attente à Anvers, avec un des curieux camouflages de la Kriegsmarine