Kriegsmarine

Salut Robert

Attention :
Lire " LA CAM de Dunkerque"
et pas la Bam de Dunkerke

explication:
Les Centres d’Aviation Maritime (CAM) étaient des unités de combat de l'Aéronavale française durant la Première Guerre mondiale.
Ils sont les précurseurs des bases d'aéronautique navale (BAN) actuelle

Les CAM existants en 1917-1918 étaient les suivants :
En métropole :
Dunkerque,Saint-Pol-sur-Mer, Boulogne, Le Havre, Cherbourg, Guernesey, Tréguier, La Penzé, Camaret, Lorient, La Pallice, Bayonne, Canet-Plage, Sète,Saint-Mandrier, Fréjus, Antibes, Ajaccio, Bastia.

Les Postes de combat

Les PC se répartissent ainsi :
En métropole : Calais, Dieppe, Fécamp, Port-en-Bessin, L’Île-Tudy, Le Croisic, Hourtin, Cazaux, Socoa, Calvi, Cap Janet (Marseille), Nice

Vers la fin de la guerre, l’Aéronautique maritime compte en 1918 environ 650 hydravions et avions, 200 ballons et 40 dirigeables.
Dès l’armistice de 1918 signé, les hommes sont démobilisés et le personnel, d’environ 11 000 début 1918, est ramené à un effectif de 1 250.
Les CAM ferment les uns après les autres. Seuls six d’entre eux subsisteront, quoique avec une activité réduite : Fréjus, Cherbourg-Chantereyne, Brest-Laninon, Rochefort, Hourtin et Bizerte

Felixstowe F.5

Bonjour et merci, à nos deux amis, et compères, qui se complètent si harmonieusement, pour notre plus grand plaisir.
Amitiés.

Xavier

 Au temps pour les cloches!. Heureusement que Chistian est là pour veiller au grain. Passons sur BAM qui n'est qu'un lapsus calami mais j'ai mérité une  carte rouge pout le CAM de la part de mes amis français d'ARDHAN.
Il y eu aussi un ZAN (Zone d'armée du Nord) de Dunkerque au cap Antifer, premier commandant l'amiral Ronarc'h de glorieuse mémoire.,mais il est sans intéret pour le prgésent sujet (je peux y revenir si nécessaire).

Bonjour Robert.

Merci d'avoir posté ce croquis.
C'est très explicite.
Amitiés.

Xavier

OK Robert

La voici, j'espere. bien à vous. Roberti
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Voici une vue aérienne qui correspond une partie du plan.

Salut a tous
uneb parenthése


Le conflit achevé, il n’est pas une famille française qui n’ait un ou plusieurs de ses membres, tombés sur le front terrestre. De plus les « médias » de l’époque, tresseront des couronnes de lauriers (mérités) aux « poilus » de FOCH, JOFFRE ou de PETAIN, ainsi qu’aux « as » de l’Aéronautique militaire (NUNGESSER, FONCK, GUYNEMER, etc…) mais méconnaîtront totalement les sacrifices endurés par la Marine.
Il faut quand même parler ici, du dur et fastidieux métier de marin-aviateur, dans des missions de surveillance, effectuées loin de tout regard et dont personne ne parlera après guerre.
Lorsqu’un appareil de l’Aviation maritime est forcé d’amerrir pour cause de panne, son sectionnaire vient alors se poser (quand il le peut) à ses côtés, afin de lui porter aide. Si aucun secours ne peut être donné, l’hydravion posé sur l’eau, dérive alors avec ses occupants, au gré des vents et des courants. Pour exemple, on peut citer les deux cas suivants :
- En janvier 1918, un hydravion en patrouille dans le Nord-Finistère, est contraint d’amerrir sous la tempête et est perdu de vue par ses sectionnaires. Durant 2 jours, le CAM de Camaret auquel cet appareil appartient, reste sans nouvelle. En fait, l’hydravion sous un fort vent de sud a dérivé au travers de la Manche et les deux membres d’équipage sont recueillis par un cargo en mer d’Irlande, après avoir dérivé sur plus de 150 milles…..
- En juillet 1918, l’EV1 LANGLET, forcé d’amerrir au large de Marseille, dérive durant plusieurs jours avec le SM mécanicien DIEN. Grâce à l’ingénieuse transformation du tube anémométrique de l’appareil en alambic de fortune, ils arrivent à surmonter leur soif, et sont recueillis au bout de 11 jours à Piana en Corse...
D’autres accidents se terminent plus tragiquement, exemple celui du LV PRIEUR (Observateur) et de son pilote (Mtre JULIEN). Le 11 avril 1917, à bord d’un FBA, ils sont en reconnaissance au large de Fréjus. A la suite d’une panne, le FBA est contraint d’amerrir. Le sectionnaire retourne à Fréjus afin de demander des secours. Mais on ne retrouve pas les 2 aviateurs. Les recherches aériennes et navales vont se poursuivre vainement durant 2 jours. Ce ne sera que le 24 mai (soit près de 40 jours plus tard) que la carcasse du FBA sera retrouvée disloquée dans des rochers de la côte espagnole, sans aucune trace des 2 hommes (certainement morts de soif).

Quelques mots sur la Reichmarine qui fut en fait l'épine dorsale de la Kriegsmarine qui sera créée en 1935 après la prise du pouvoir par le Chancelier Hitler.
L'Empire allemand avait sollicité un armistice, comme chacun le sait, le 11 1918 novembre 1918, Il lui fut accordé et le traité de paix fut signé à Versailles le 28 juin 1919.Il était très dur pour lesAallemands sous l'insistance d'une Franc revancharde qui avait été dévastée par les lignes du front. En bref, une petite armée professionnelle de 150.000 hommes uniquement et sans contingent de service militaire. , interdiction d'aviation militaire et de constructions d'appareils militaires. Pour la marine
huit vieux pre-dragnoughr complètement démodés, six vieux croiseurs et interdiction de construire des croiseurs de plus de 1.000 tonnes.
Dès la demande d'armistice la Royal Navy avait fait interner la Hochseeflotte avec une réserve limitée de carburant sous les canons de la Home Fleet dans la baie de Scapa Flow pour éviter un résurgence des mutineries spartakistes qui avait pu êtrre rprimes lors des denier jours de guerre.
Le Kaizer ayant abdiqué et été remplacé par une répulique dite république de Weimar elle ne pouvait plus porter le titre de marine impériale et en attendant la signature du traité de paix elle devintla Vorläufige Reichs Marine, soit marine provisoire de l'état.
(A suivre : La Reichsmarine et l'admiral Raeder)

Bien dit Christian, le SA Rn'existait pas encore et bien des équipages ont eu une triste fin malgré les efforst que aisaient leurs unités pour tenter de les retrouver.  Certains fur sauveé par le message envoyé par un desaons voyageurs embarqués das l''appareil Salut Christian

Bonjour les amis.

Que c'est captivant !
Merci, les amis.
Amitiés.

Xavier