Qui sont les pirates et comment opèrent-ils ?

MIKE a écrit:

...
Rien n'est fixé pour l'instant l'affaire est toujours a l'instruction avec comparution tous
les 30 JOURS DEVANT la chambre du conseil qui peut décider de lever le mandat
d'arret et le libérer
...

Et c'est bien ce qui me fait peur !

Bon, maintenant, imaginons que la chambre du conseil la prochaine fois le libère, qu'est ce qu'il se passera à ce moment là ?

On le ramène en Somalie au frais du contribuable ou on lui donne l'asile (et à toute sa famille avec) en Belgique au frais du contribuable toujours ???

MIKE a écrit:

...
pourquoi mettre des gants avec ces types
...

tout à fait d'accord, dès qu'un skiff essaie d'attaquer un navire alors pas de pitié et

MIKE a écrit:

...
que le général us agisse quant on déclare la guerre on doit s'attendre a une riposte
...

Mike le général est un militaire et ce n'est pas lui qui décide !

HE OUI OLIVIER

VOILA QUAND UN Systéme ne fonctionne plus

On annonçe avec fracas qu'on a découvert des empreintes il apparaitrait qu'il n'en
est rien d'ailleurs les memes qui montraient leurs gueules a la télé on les entend
plus c'est vrai qu'ils sont occupés avec des affaires d'hélicoptère

réforme des polices avec démantèlement gendarmerie et on retrouve des généraux
de gendarmerie a la tete que comprendre dans ce pays

tes 2 HYPOTHÈSES SONT BONNES si il est condamné ce sera une peine trés

légére pas la peine de faire tout ce tralala

A+

ILVAS se retrouver dehors avec un bracelet

pendant que les associations de bien pensants payés par l'état vont l'aider

je l'ai déja dit dans un pays dirigé par des C... il ne faut rien attendre de bon

regarde les posts pour la pension si cela se confirme tout ceux qui ont pris la prime

perdraient toutes leurs années pour la pension joli de l'armée sans qu'on leur ai dit encore une honte


A+

2/02/2011

Des pirates somaliens abandonnent une de leurs bases au Puntland

Des pirates somaliens ont abandonné une de leurs bases principales dans la région semi-autonome du Puntland, de crainte d'en être délogés par les forces de sécurité locales, ont rapporté mercredi des pirates et des habitants de Garaad.

Les chefs des pirates ont connu leurs heures de gloire ces dernières années, se déplaçant au volant de 4X4 rutilants et occupant de belles villas, mais leurs excès ont fini par leur aliéner une bonne partie de la population locale.

"Des habitants et l'administration du Puntland ont obligé les pirates à quitter le littoral du district de Garaad", a déclaré à Reuters un homme d'affaires, Abdikadir Yusuf.

"A présent, pas un seul navire n'est à l'ancre au large du district. Les treize bateaux qui se trouvaient ici ont été transférés à Hobyo et à El Dhanane, qui n'est qu'à 30 km d'ici. Ils sont partis non seulement avec leurs bateaux, mais aussi avec leurs voitures de luxe", a-t-il ajouté.

Mohamed Ahmed Alim, responsable de la région du Galmadug, a confirmé que les pirates étaient arrivés dans son territoire.

"Ça s'inscrit dans leurs tactiques de sécurité. Mais ce sera une initiative temporaire, ils retourneront à Garaad", a estimé Andrew Mwangura, directeur du Programme d'assistance aux marins pour l'Afrique orientale.

Les pirates ont dit s'être retirés après le largage de tracts par des habitants qui leur fixaient un ultimatum. "Des forces du Puntland étaient prêtes à attaquer notre base et des habitants se sont aussi tournés contre nous", a dit à Reuters un pirate du nom de Mire arrivé à Hobyo en provenance de Garaad.

Source : Reuters

7/02/2011

On en apprend tous les jours un peu plus sur les méthodes des pirates

On les savait très professionnels et très organisés. C’est chose confirmée tous les jours. En tout cas les dernières interrogatoires menés par le renseignement indien sur les 15 pirates arrêtés sur le Prantalay 14 sont édifiants, tel que le raconte la presse locale.....


Lire la suite sur ---> bruxelles2.eu

Ce qui confirme bien les dires du Cdt Carl Gillis du Louise-Marie.

Pirates entrainés et anciens militaires pour beaucoup ...

15/02/2011

Les pirates de plus en plus équipés

Ils sont de plus en plus organisés et se dotent d'équipements sophistiqués. Ils, ce sont les pirates somaliens qui étendent leur zone d'action à l'est de Madagascar.

La piraterie se développe au fil des temps si bien que la lutte contre ce fléau s'annonce difficile. Il se trouve en effet que, ces derniers temps, ces écumeurs de mer sont de mieux en mieux équipés. Ils ont recours à des moyens ultramodernes. Leurs bateaux sont équipés d'arsenal de guerre de pointe et de matériels de communication sophistiqués, à savoir des téléphones satellitaires.

Aussi utilisent-ils de plus en plus de bateaux-mère pour l'approvisionnement des esquifs. L'usage de cette nouvelle stratégie permet aux pirates de renforcer leur force de frappe et d'aller plus à l'est, dans l'océan Indien et au sud dans le canal du Mozambique. D'après le QG de l'opération européenne EuNavfor Atalanta, au 8 février, sont 29 navires et 681 marins otages entre les mains des pirates somaliens.

Parmi ces bateaux se trouve le M/V Aly Zolfecar. L'on vient d'apprendre que les pirates somaliens ont transformé ce navire comorien en «mother ship». Ce bateau a une vitesse de croisière de six noeuds. Ce qui permet largement aux pirates de conduire des opérations au nord-est de Madagascar. Pas plus tard que le 8 février, ils se sont attaqués au M/V Delmas. Fort heureusement, leur tentative a échoué. Pour rappel, le M/V Aly Zoulfecar a été capturé le 31 octobre dernier au nord-ouest de Moroni. Parmi ses membres d' équipage se trouvent quatre Malgaches. Le sort des membres d'équipage de ce bateau reste incertain pour le moment.

Par ailleurs, l'on sait que l'Afrique du Sud vient de déployer une frégate, le SAS Mendi (F-148). Cette frégate va patrouiller dans le canal de Mozambique entre Madagascar et la côte orientale de l'Afrique et aider à lutter contre les pirates somaliens, sachant que chaque année, plus de 16.000 bateaux empruntent cette voie maritime. .

Source : orange

18/02/2011

Les pirates somaliens se tournent de plus en plus vers l'Asie

Washington - Les pirates somaliens réussissent à contourner les forces internationales qui les traquent en s'aventurant de plus en plus loin dans les eaux asiatiques, a mis en garde jeudi l'amiral américain Robert Willard, chef de la région militaire du Pacifique.

"Il est remarquable que les forces maritimes combinées de 28 pays présentes dans le golfe d'Aden n'aient pas été capables de résoudre le problème" de la piraterie somalienne, s'est indigné l'amiral Willard qui s'exprimait devant l'Asia Society, un centre de réflexion de Washington.

La campagne internationale de lutte contre les pirates n'a eu pour résultat que de les faire "s'aventurer plus loin dans l'océan Indien, à des centaines de milles", a-t-il souligné. L'amiral a noté que les pirates constituaient une menace particulière pour les Maldives, un archipel peu peuplé de 1.192 îles coralliennes de l'océan Indien, principalement connu comme destination touristique.

La piraterie pose également des problèmes dans le sud de l'Inde et jusqu'à la mer de Chine méridionale, a souligné l'amiral.

Il a estimé que la solution face à la piraterie n'était pas à chercher en mer. "Je ne pense pas que l'on éliminera cette menace aux extrémités des routes maritimes où (les pirates) mènent leurs opérations", a-t-il dit, estimant qu'"il faut plutôt aller vers le centre de gravité, la source, dans les pays de la Corne de l'Afrique, et y mettre un terme".

Source : AngolaPress

22/02/2011

Des rebelles islamistes passent un accord avec les pirates somaliens

Les rebelles islamistes d'Al Chabaab ont passé un accord avec les pirates somaliens, a-t-on appris mardi de sources proches des pirates. Ces derniers ont promis de reverser aux rebelles une partie des rançons – à hauteur de 20% - réclamées aux propriétaires de navires. Les insurgés, qui contrôlent les grands ports du sud de la Somalie, dont Kismayo, ont également obtenu que les bateaux capturés mouillent à Haradhere, un port dont ils ont pris le contrôle à la fin de l'année dernière après s'être alliés à un autre groupe rebelle, Hizbul Islam.

Cet accord a été négocié en échange de la libération de plusieurs chefs de gangs arrêtés par Al Chabaab.

Les pirates somaliens gagnent des millions de dollars grâce aux rançons et parviennent toujours à capturer régulièrement des navires en dépit de la présence de bâtiments de guerre dépêchés par de nombreux pays dans le golfe d'Aden.

Source : Reuters

bonjour a tous

partii islamistes font accord avec pirates et si ils ont des accointances avec organisations style al quaida les lois américaines contre le terrorisme s'appliquent

parfait ça promet

a+

MIKE a écrit:

bonjour a tous

partii islamistes font accord avec pirates et comme ils ont des accointances avec al quaida les lois américaines contre le terrorisme s'appliquent

parfait ça promet

a+

bonjour mike

je crois que les



vont foncer dans le lard maintenant, car ils ont une



contre eux

bonne après midi

à samedi

thierry

oui thierry et ce serait pour l'instant une mauvaise décision tous les
processus de révolution en cours dans les pays arabes vont etre interrompus

un ennemi commun rassemble, tous les dictateurs vont hurler a une attaque contre l'islam et en profiter pour reprendre la main et briser les révolutions

il faudrait qu'ils attendent une stabilisation dans les pays qui essayent de récupérer
leur liberté la situation actuelle est unique dans l'histoire il faut leur laisser
une chance d'établir des démocraties

A+

22/02/2011

Antsiranana : Les pirates somaliens accostent

Une embarcation a accosté au port d'Antsiranana, hier. Six individus se trouvaient à bord, dont deux pirates somaliens.

Les bandits des mers ne manquent plus d’audace. Hier, vers 11 heures, une embarcation à moteur hors-bord a accosté au port d’Antsiranana. Six personnes se trouvaient à bord dont deux pirates somaliens, deux marins, un ressortissant malgache et un Comorien. Ce dernier serait le commandant du Zoulfecar, un cargo battant pavillon indien, arraisonné par les pirates entre Moroni et Dar-es-Salam, le 3 novembre 2010. Quatre marins malgaches se trouvaient à bord lors de la capture, dont Hassani Bao, Dodo Léonard, Abdou Ali et Zobi. Les autorités maritimes malgaches n’avaient aucune nouvelle d’eux jusqu’à hier.

Le Zoulfecar est tombé en panne pendant plusieurs jours, maintenant. Depuis, il dérivait. Après vérification, l’embarcation des six individus qui ont débarqué au port d’Antsiranana, hier, est bel et bien l’une des vedettes rapides du cargo qui fait office de bateau-mère aux pirates, depuis des semaines. Les deux pirates qui accompagnent les quatre marins auraient fait en sorte d’atteindre la terre ferme pour trouver les moyens de réparer leur navire et se procurer des vivres et du carburant.

Une vingtaine d’otages

Les gardes-côte ont inspecté l’embarcation que les deux pirates, envoyés par leurs comparses pour trouver de l’aide, utilisent.

À les entendre, cinq de ses occupants sont en bonne santé bien qu’ils soient épuisés, à l’exception du commandant du Zoulfecar que les deux bandits auraient battu avec une chaîne, chaque fois qu’il ne leur obéissait pas au doigt et à l’œil.

Les pirates qui ont accosté à Antsiranana hier mettent en avant qu’ils seraient venus en paix. Ils affirment avoir balancé toutes leurs armes par dessus bord. Jusqu’à hier soir, ils étaient toujours restés à Antsiranana. Ils auraient même amorcé des négociations avec les autorités sur place pour trouver les moyens de faire repartir leur bâtiment.

Dernièrement, le port d’attache, le Zoulfecar, a été localisé à une soixantaine de kilomètres au large d’Antsiranana.

Aux dernières nouvelles, il y aurait encore 20 otages à bord, dont trois femmes. L’une d’elles serait souffrante. Le bateau serait surveillé par une douzaine de pirates armés jusqu’aux dents.....

Source : lexpressmada.com

17/03/2011

Nouvelle tactique. Les pirates accélèrent la reconversion du bateau piraté en bateau-mère

Les pirates somaliens, jamais à court d’idée, viennent d’affiner leur tactique de bateau-mère. On savait qu’ils utilisaient les bateaux piratés comme bateau-mère, navire de soutien ou de renfort. Mais souvent après un certain laps de temps et un renfort de pirates. Ce qui permettait notamment aux forces anti-pirates de repérer le navire et lancer l’alerte. Aujourd’hui, ils semblent vouloir prendre, d’une part, reconvertissant immédiatement le navire piraté en bateau-mère – ce qui peut avoir l’effet de la surprise – ; d’autre part, en investissant en nombre le navire (pour éviter toute mutinerie des marins otages). Ainsi le MV SINAR KUDUS, navire indonésien avec 20 marins à bord, a été capturé par 30 à 50 pirates, mercredi (16 mars), alors qu’il était en chemin de Singapour vers Suez, à environ 320 miles au nord-est de l’ile de Socotra, précise le QG de l’opération européenne anti-piraterie (EUNAVFOR Atalanta). NB : L’incident s’est produit à 14° Nord et 59° Est (Yemen).

Fait plutôt inhabituel, dans les 24 heures de l’attaque, le bateau piraté a été reconverti en bateau-mère, pour lancer une autre attaque. Un skiff avec 5 pirates à bord s’en est détaché.
Objectif : un vraquier battant pavillon liberian, le MV EMPEROR. Mais l’attaque a échoué du fait des gardes embarqués à bord du navire.

Sopurce : bruxelles2.eu

12/06/2011

Témoignage exclusif : une prise d'otages racontée de l'intérieur

Pendant 132 jours, Adam a négocié le sort des otages d'un navire pris par des pirates somaliens. En limitant la rançon.

Quelle que soit la langue dans laquelle Adam [tous les prénoms de ce récit ont été modifiés, ndlr] s'exprime, son débit est lent, persuasif. Son métier est d'obtenir la libération d'otages contre la plus petite rançon possible, mais d'abord d'obtenir leur libération, vivants, entiers.

Ils ne sont qu'une poignée dans le monde, presque tous anglo-saxons, et ils se connaissent bien. Des hommes, la plupart anciens des forces spéciales. Ils s'invitent aux mariages de leurs enfants. S'entraident, bien sûr.

Adam est l'un d'entre eux. Aucun pays n'est épargné par les enlèvements crapuleux, terroristes, ou les deux à la fois. Trois ou quatre sociétés dans le monde se partagent ce marché en pleine expansion. Elles sont mandatées par les assurances ou les entreprises, parfois par des gouvernements, des familles ou des ONG.....


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